L’Union Européenne, une illusion d’unité au service d’intérêts étrangers

L’Union Européenne, une illusion d’unité au service d’intérêts étrangers

L’Union Européenne (UE) est souvent célébrée comme un projet de paix, de coopération et de prospérité. Pourtant, une analyse critique révèle une réalité bien plus sombre : l’UE est une construction artificielle, conçue sous influence étrangère, notamment américaine, et incapable d’apporter des bénéfices concrets aux citoyens des États membres. Loin de promouvoir la souveraineté des nations, elle sert des intérêts économiques et géopolitiques qui échappent aux peuples. Nous vous proposons à travers cet article structuré en deux parties, une analyse crtique mais néanmoins réaliste, de l’UE. La première partie retrace l’historique de sa création, en s’appuyant sur l’interview d’Éric Branca, auteur de L’Ami américain, par Alain Juillet, enrichie par les révélations de François Asselineau sur les origines cachées de l’UE. La seconde partie examine les dysfonctionnements actuels, montrant pourquoi l’UE est une coquille vide pour les citoyens. Enfin, une conclusion appelle à repenser l’Europe sur des bases souveraines.

Partie 1 : Les origines troubles de l’Union Européenne, un projet sous influence étrangère

L’interview d’Éric Branca par Alain Juillet, ancien patron du renseignement français (DGSE), met en lumière une vérité dérangeante : la construction européenne, loin d’être un élan spontané des nations européennes, a été profondément influencée par les États-Unis dans une logique de contrôle géopolitique post-Seconde Guerre mondiale. François Asselineau, dans sa conférence sur les origines cachées de la construction européenne, complète cette analyse en révélant des racines encore plus troublantes, marquées par des influences idéologiques nazies et une manipulation historique orchestrée pour légitimer un projet antidémocratique. Ensemble, ces perspectives montrent que l’UE, dès sa conception, a été conçue pour limiter les souverainetés nationales au profit d’intérêts étrangers.

Une Europe sous tutelle américaine après 1945

Selon Branca, les États-Unis ont profité de l’affaiblissement de l’Europe après la Seconde Guerre mondiale pour imposer leur hégémonie. Pendant la guerre, leur duplicité envers la France est frappante : ils soutiennent le régime de Vichy jusqu’en 1942 pour accéder aux marchés coloniaux, tout en marginalisant De Gaulle, jugé trop indépendant. Le plan AMGOT, prévu pour transformer la France en protectorat américain après le débarquement de Normandie, illustre cette volonté de domination. Seule l’action rapide de De Gaulle, alerté par les Britanniques (qui craignaient que l’appétit des Américains ne se retourne aussi contre leur empire colonial de l’époque), permit d’éviter cette mise sous tutelle. Des projets comme celui d’Alexis Léger, conseiller de Roosevelt, envisageaient même de démanteler la France en plusieurs zones, préfigurant la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA).

Billet AMGOT
Billet AMGOT

Asselineau ajoute une dimension cruciale : les États-Unis ont non seulement cherché à contrôler l’Europe, mais ont aussi recyclé des élites nazies pour servir leurs intérêts (Opération Paperclip notamment). Lors d’une réunion secrète à l’hôtel Maison Rouge à Strasbourg le 10 août 1944, des industriels allemands, avec la complicité de responsables américains, planifièrent la renaissance économique de l’Allemagne via un « quatrième Reich » économique, en collusion avec les États-Unis. Ce rapport, révélé par les services de renseignement américains, montre que des entreprises comme Volkswagen, Krupp ou IG Farben, impliquées dans l’effort de guerre nazi, furent intégrées dans la reconstruction européenne sous influence américaine.

Walter HALLSTEIN, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne
Walter Hallstein un fondateur de la CECA

Cette collusion explique pourquoi des figures comme Walter Hallstein, juriste nazi ayant négocié en 1938 un cadre juridique pour une « nouvelle Europe » hitlérienne, devint le premier président de la Commission européenne (1958-1967).

Jean Monnet et la genèse d’une Europe anti-souverainiste

Jean Monnet, figure clé de la construction européenne, incarne l’influence américaine. Branca note que Monnet, conseiller de Roosevelt, plaidait dès 1943 pour un « super-État » supranational, une vision alignée sur les intérêts américains de contrôler une Europe unifiée mais dépourvue de souveraineté. La CECA (1951) et le Traité de Rome (1957), portés par Monnet et Robert Schuman, furent conçus sous l’égide de réseaux transatlantiques. Asselineau précise que cette influence américaine fut systématique : des documents déclassifiés, révélés par le Daily Telegraph en 2000, montrent que les services secrets américains ont financé le mouvement européen dans les années 1950-1960. Des figures comme Schuman ou Paul-Henri Spaak étaient traitées comme des « employés » par leurs parrains américains, et l’idée d’une monnaie européenne, précurseur de l’euro, fut imposée dès 1965 par le Département d’État, en recommandant de « réprimer tout débat » jusqu’à ce que son adoption soit inévitable.

Une relecture historique manipulée

Asselineau met en garde contre une manipulation historique orchestrée pour légitimer l’UE. Il cite Viviane Reding, ancienne commissaire européenne, qui, en 2000, appelait à une « relecture de l’histoire » dans l’éducation pour contrer les détracteurs de l’UE. Cette démarche, qu’il qualifie de totalitaire, vise à réécrire l’histoire pour présenter l’UE comme un projet inéluctable. Un exemple frappant est l’instrumentalisation de Victor Hugo, souvent présenté comme le « père spirituel » des États-Unis d’Europe. Asselineau déconstruit ce mythe : dans son discours de 1849, Hugo envisageait une Europe coloniale, alliée aux États-Unis pour « civiliser » l’Asie et l’Afrique, une vision racialiste et impérialiste loin de l’idéal de paix universelle attribué à tort. Cette distorsion, reprise par des responsables comme Jack Lang ou Lionel Jospin en 2002, illustre une tentative de falsifier l’histoire pour justifier l’UE.

Des racines idéologiques nazies

Asselineau révèle une facette encore plus troublante : l’UE hérite partiellement d’idées développées sous le nazisme. Dans les années 1930, des industriels allemands et anglo-saxons, comme IG Farben, Ford ou Standard Oil, soutinrent l’accession de Hitler au pouvoir pour créer un grand marché européen sans barrières douanières, tout en luttant contre le « judéo-bolchevisme ». Hitler lui-même, dans un discours de 1936, parlait d’une « famille européenne » unie par une identité raciale, une idée reprise dans la propagande nazie des années 1940. Des expositions comme « La France européenne » au Grand Palais en 1941-1942, organisées sous l’Occupation, présentaient une Europe sans frontières, avec des réseaux de communication modernes, préfigurant les discours actuels sur l’UE.

Revue La France Européenne
Revue La France Européenne Juin 1941

La carte postale de 1942 célébrant l’« Empire européen de Charlemagne » comme précurseur de la Communauté européenne illustre cette continuité idéologique, reprise en 2000 lorsque Bill Clinton reçut le prix Charlemagne pour son soutien à l’UE.

Le soft power et la collaboration élitiste

Branca souligne le rôle du soft power américain : des syndicats comme Force Ouvrière furent financés pour contrer la CGT, et les Young Leaders ont formaté (et formatent toujours) les élites européennes à une vision pro-américaine. Asselineau complète cette analyse en montrant que la collaboration des élites françaises sous Vichy préfigure l’alignement actuel sur l’UE. Pierre Laval, dans son discours de 1942, souhaitait la victoire de l’Allemagne pour bâtir une « nouvelle Europe », une idée partagée par les autorités de Vichy lors des expositions européennes. Cette collaboration, loin d’être une soumission passive, était un projet politique actif pour une Europe unifiée sous domination étrangère. Aujourd’hui, des figures comme Robert Marjolin, qui en 1965 donnait des assurances aux Américains sur l’euro, incarnent cette trahison des intérêts nationaux.

En somme, l’UE est née d’une convergence d’intérêts américains et d’idéologies troublantes, recyclant des concepts nazis sous une façade démocratique. Cette origine explique son caractère antidémocratique et son incapacité à servir les peuples européens.

Partie 2 : L’Union Européenne aujourd’hui, une coquille vide pour les citoyens

Si les origines de l’UE révèlent une entreprise sous influence, son fonctionnement actuel confirme son échec à répondre aux aspirations des citoyens. Loin de promouvoir la démocratie, la prospérité ou la souveraineté, l’UE est une machine bureaucratique au service d’intérêts étrangers, déconnectée des réalités nationales.

Un despotisme éclairé

Asselineau cite Tommaso Padoa-Schioppa, ancien dirigeant européen, qui qualifie la construction européenne de « révolution » menée par des « banquiers, fonctionnaires et professeurs », suivant un « despotisme éclairé ». Cette absence de légitimité démocratique est structurelle : la Commission européenne, non élue, détient le pouvoir exécutif et législatif, tandis que le Parlement européen, malgré son élection, n’a qu’un rôle consultatif. Helmut Kohl, en 2002, admettait avoir imposé l’euro en Allemagne malgré 70 % d’opposition, agissant « comme un dictateur ». Ce mépris de la volonté populaire, confirmé par le rejet du « non » français au référendum de 2005, montre que l’UE est une dictature technocratique déguisée.

Une économie au service des élites

L’UE promettait la prospérité, mais ses politiques favorisent les multinationales et les grandes puissances économiques. L’euro, imposé sous pression américaine, a bénéficié à l’Allemagne mais asphyxié les pays du Sud, comme la Grèce, où l’austérité imposée par Bruxelles a détruit l’économie. Asselineau souligne que les accords de libre-échange, comme le CETA, servent les lobbies financiers (Goldman Sachs, JPMorgan) au détriment des PME et des normes sociales. La fin du chômage, promise par la propagande nazie en 1941, est un mirage : l’UE, en alignant les salaires sur les standards allemands, précarise les travailleurs, comme en témoigne le modèle Hartz en Allemagne.

Une impuissance géopolitique

L’UE ambitionnait une voix unie, mais elle reste un vassal des États-Unis. Asselineau note que l’OTAN, dominée par Washington, contrôle la sécurité européenne, tandis que des projets comme l’Eurocorps restent symboliques. La politique étrangère de l’UE, incarnée par Catherine Ashton ou Laurent Fabius soutenant des néonazis en Ukraine en 2014, montre son alignement sur les intérêts américains. Chaque année, l’UE s’abstient à l’ONU sur les résolutions condamnant le néonazisme, par solidarité avec des États baltes qui célèbrent les Waffen-SS (Notamment, Stepan Bandera, collaborateur actif des nazis encore célébré en Ukraine).

Une fracture culturelle et raciale

L’UE, en imposant une uniformisation culturelle, ignore les identités nationales, alimentant l’euroscepticisme. Asselineau cite un article du journal allemand Die Welt (2015), qui disqualifie les Grecs comme un « mélange de Slaves, Byzantins et Albanais », reprenant une rhétorique racialiste nazie. Cette vision d’une « famille européenne » excluant les « impurs » rappelle les discours hitlériens sur une Europe blanche. Le drapeau de l’Eurocorps, avec son glaive évoquant la symbolique wagnérienne, renforce cette impression d’un retour des fantômes du passé.

Un projet sans légitimité

L’UE n’apporte rien aux citoyens : inflation, crise énergétique, insécurité et surveillance généralisée dominent. Les promesses de paix sont contredites par des provocations militaires, comme le soutien à l’Ukraine contre la Russie. L’UE, héritière d’une idéologie de domination, fonctionne comme une courroie de transmission des intérêts américains et des lobbies, trahissant les peuples qu’elle prétend servir.

L’Union Européenne, née sous l’influence américaine et marquée par des racines idéologiques nazies, est une imposture. Comme le montrent Branca et Asselineau, elle a été conçue pour limiter les souverainetés nationales, manipuler l’histoire et servir des intérêts étrangers. Aujourd’hui, son caractère anti-démocratique, son alignement avec les États-Unis (il y aura-t-il un moratoire avec Donald Trump ?) et ses tendances dictatoriales la rendent illégitime. Pour redonner un sens à l’Europe, il faut abandonner cette construction supranationale et privilégier une coopération entre nations souveraines, respectueuses des peuples et de leur histoire.

Ne vous laissez pas berner par ces annonces racoleuses ! L'UE ne finance rien, c'est l'argent de vos impôts qu'elle vous rend en conservant une commission de 40 %...

La France, vache à lait de l’Union européenne : un système coûteux et injuste

La France se saigne pour le budget de l’Union européenne (UE), versant environ 25 milliards d’euros par an, soit une part colossale des 186 milliards d’euros du budget total de l’UE en 2023. En retour, elle ne récupère que 15 milliards d’euros sous forme de fonds pour l’agriculture, les régions ou autres programmes. Résultat : un déficit net de 10 milliards d’euros, englouti par Bruxelles. Pire encore, sur les 25 milliards donnés, l’UE se permet de garder une « commission » implicite : ces 10 milliards non restitués représentent une retenue de 40 % (10 ÷ 25 × 100) des fonds français, un véritable racket institutionnalisé !

La France pourrait directement financer ses propres priorités : hôpitaux, écoles, retraites ou infrastructures, sans passer par le filtre bureaucratique de l’UE. Pourquoi donner autant pour récupérer des miettes, souvent accompagnées de conditions strictes ou de projets décidés à Bruxelles, loin des besoins réels des Français ? Cette mascarade donne l’impression que l’UE nous fait une faveur en nous rendant notre propre argent, alors qu’elle s’en met plein les poches au passage.

L’argument des bénéfices de l’UE, comme le marché unique, ne justifie pas un tel déséquilibre. La France, deuxième économie européenne, a les moyens de prospérer sans subir cette ponction annuelle. Ce système, où les contribuables français subventionnent d’autres pays ou des institutions opaques, est non seulement coûteux, mais aussi humiliant. Il est temps de remettre en question cette contribution excessive et de prioriser l’argent public pour les Français, plutôt que de financer une bureaucratie européenne qui nous prend pour des pigeons.

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