Depuis son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron s’est érigé en fervent défenseur d’une France interventionniste sur la scène internationale, multipliant les postures guerrières pour se poser en leader mondial. Pourtant, cette ambition démesurée cache mal une réalité criante : son incapacité à gouverner efficacement un pays en crise, gangrené par les émeutes, les violences en banlieue et un désintérêt flagrant pour les préoccupations des Français. Derrière cette façade belliciste se profile un danger majeur pour la nation, aggravé par un état lamentable de nos forces armées, incapables de soutenir une guerre sérieuse.
Une obsession interventionniste pour masquer l’échec intérieur
Macron semble obsédé par l’idée de jouer un rôle dans tous les conflits planétaires, de l’Ukraine à l’Iran, comme si chaque crise internationale était une occasion de détourner l’attention de ses échecs domestiques. En Ukraine, il a multiplié les déclarations provocatrices, évoquant dès 2022 une possible intervention directe contre la Russie, allant jusqu’à suggérer l’envoi de troupes, une idée rapidement refroidie par la réalité des rapports de force. Plus récemment, face à l’escalade entre Israël et l’Iran, il a assuré depuis le Groenland, le 15 juin 2025, que la France pourrait participer à la défense d’Israël si nécessaire, malgré les menaces iraniennes explicites contre les forces françaises au Proche-Orient (CNEWS, 16 juin 2025). Cette posture bravache ignore superbement les 700 soldats français déployés au Liban dans le cadre de la FINUL, exposés à un risque direct d’attaque.
À l’intérieur, le tableau est désolant. Les banlieues françaises restent des zones de non-droit, marquées par des émeutes récurrentes, comme celles qui ont suivi la victoire du PSG en mai 2025, où pillages et violences ont encore éclaté sans réponse cohérente. Les forces de l’ordre, sous-équipées et démotivées, peinent à maintenir l’ordre, tandis que Macron préfère « briller » sur la scène internationale plutôt que de s’attaquer à ces crises internes. Cette déconnexion est criante : alors que les Français s’enfoncent dans l’insécurité et la précarité, le président joue les stratèges géopolitiques, une posture qui ressemble davantage à une fuite en avant qu’à une stratégie.
Un danger mortel pour les Français
Cette volonté d’interventionnisme expose la France à des risques démesurés. En Ukraine, les appels de Macron à une implication plus forte ont suscité l’ire de la Russie, qui a menacé de représailles directes. En Iran, sa posture de soutien à Israël, malgré l’absence de sollicitation officielle, place nos soldats dans la ligne de mire de Téhéran, qui a promis de frapper les soutiens occidentaux (CNEWS, 16 juin 2025). Cette escalade irresponsable pourrait entraîner la France dans un conflit global, sans que ses forces armées soient prêtes à y faire face.
S’ajoute à cela le risque que le soutien à Israël devienne l’étincelle qui mettra le feu aux poudres, servant de détonateur à des émeutes d’une ampleur largement supérieure à celles de 2023. Avec une importante communauté musulmane, parfois radicalisée, cette intervention pourrait être instrumentalisée par les Frères Musulmans dans les mosquées extrémistes, orchestrant pillages et casse à une échelle inédite. Les Français, déjà exaspérés par les hausses d’impôts et la dégradation des services publics, se retrouvent otages d’un président prêt à sacrifier leur sécurité pour polir son image.
Une armée en déliquescence
L’état de l’armée française est un scandale national que Macron feint d’ignorer. Réduite par des années de coupes budgétaires, elle manque cruellement de moyens modernes et de personnels formés. Avec seulement 200 000 soldats actifs, dont une partie déployée à l’étranger, et un équipement vieillissant (comme les Mirage 2000 dépassés technologiquement), elle est loin de pouvoir soutenir une guerre prolongée. Les experts s’accordent à dire que nos forces, bien que compétentes dans des opérations limitées comme au Sahel, seraient écrasées face à une puissance comme la Russie ou l’Iran. Pourtant, Macron continue de brandir l’épée, sans jamais admettre que son armée est un colosse aux pieds d’argile.
Un mépris pour les Français
Le désintérêt de Macron pour les préoccupations quotidiennes des Français est patent. Alors que les hôpitaux ferment, que le pouvoir d’achat s’effondre et que les infrastructures s’effritent, il préfère sillonner le globe, de l’Ukraine au Groenland, pour des sommets où il brille par des discours creux. Ses récentes déclarations sur une possible reconnaissance d’un État palestinien en juin 2025 (CNEWS, posts sur X) sont perçues comme des gesticulations diplomatiques, loin des priorités nationales. Sur les réseaux sociaux, les critiques fusent : beaucoup le taxent d’« incapable » et de « va-t-en-guerre », reflet d’une défiance croissante.
Une critique implacable
Macron ne dirige pas, il parade. Son bellicisme n’est qu’un écran de fumée pour dissimuler une gestion chaotique et un pays au bord de l’implosion. En s’aventurant dans des conflits qui ne nous concernent pas, il joue avec le feu, exposant les Français à des représailles sans pouvoir les protéger. L’histoire retiendra peut-être ce président comme celui qui a préféré les ors des sommets internationaux aux ruines de sa nation. Mais pour l’heure, c’est la France qui paie le prix de son orgueil démesuré. Le sang et les larmes ne sont peut-être plus très loin…
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