Stop à la racaille, il faut cogner fort !

Stop à la racaille, il faut cogner fort !

COUP DE GUEULE !

France : la racaille tue, il faut la mater !

La France est au bord de l’implosion. Les rues sont des coupe-gorges, les fêtes des champs de bataille, et les Français n’en peuvent plus de vivre avec une cible dans le dos. Des gosses à peine sortis du collège poignardent pour un téléphone ou un regard mal placé. À Aix-en-Provence, un gendarme de 26 ans s’est fait cribler de 11 balles de kalashnikov par une bande de gamins de 17 et 18 ans, payés 20 000 euros pour un contrat de meurtre. Tout ça pour quoi ? Une histoire de drogue ou une vengeance contre un uniforme. Cette violence, portée par une jeunesse déchaînée et un narcotrafic hors contrôle, gangrène le pays. Les Français veulent leur vie d’avant, celle où on sortait sans peur, et ils exigent qu’on cogne fort sur la racaille. Pas demain, maintenant.

Des gamins qui jouent aux tueurs

La violence n’a plus d’âge. À Aix-en-Provence, le 10 mai 2025, un gendarme de la Garde républicaine, hors service, rentrait chez ses parents dans le quartier d’Encagnane. Vers 1 heure du matin, un fourgon noir déboule. Deux types en sortent, l’un armé d’une Kalachnikov. Le gars, 26 ans, se met à genoux, leur dit qu’il n’a « rien à voir ». Rien à faire : ils lui collent un coup de crosse, un coup de pied dans la tête, et vident leur chargeur. Onze balles dans le corps – huit dans la fesse, une dans le tibia, une dans le pied, une dans le dos. Il s’en sort par miracle, grâce à une condition physique hors norme, mais il a frôlé la mort. Les coupables ? Quatre dégénérés, dont trois mineurs : un tireur de 18 ans, un complice de 17 ans qui filmait, un tueur de 17 ans, et une gamine de 17 ans qui jouait les chauffeurs Uber pour la bande. Recrutés sur Snapchat pour 20 000 euros, ils ont agi comme des pros du crime, sans une once de remords.

Ce n’est pas un cas isolé. À Paris, pour la Fête de la musique 2025, 102 voyous ont été coffrés pour avoir tabassé et volé des fêtards. Quatorze autres, armés de couteaux, s’amusaient à racketter pour un portable ou une clope. À Crépol, en 2023, Thomas, 16 ans, s’est fait planter à mort dans un bal de village par une bande venue « casser du Français ». Ces gamins ne rigolent pas : ils tuent. En 2024, les ados sont sept fois plus impliqués dans les vols armés qu’il y a vingt ans. À Nîmes, trois mineurs ont tenté de flinguer un gendarme pour protéger leur deal. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont peur de rien, ni des flics, ni de la taule, ni de Dieu. 
Le jeune Élias est mort éventré à coups de machette de 40 cm, parce que deux barbares, déjà connus pour 15 rackets, étaient libres. Sa mère fustige Élisabeth Borne, qui ose dire qu’il faut « réfléchir » : « On n’a plus le temps ! C’est un fait de société, pas un fait divers ! »

Et ce n’est pas tout. Un nouveau jeu de tarés a fait des ravages : 145 femmes, souvent des gamines, se sont fait piquer à la seringue en pleine foule, partout en France – Paris, Metz, Lyon, Angoulême, Montpellier. À Paris, 21 cas, dont 13 dans la capitale, avec des jeunes filles envoyées à l’hosto pour des analyses toxicologiques. Douze suspects, dont certains à peine majeurs, ont été coffrés, mais le mal est fait. Des appels sur les réseaux sociaux incitaient à « piquer des meufs » pour le fun, comme un défi de psychopathes. À Metz, 17 jeunes filles, certaines de 14 ans, ont été visées. À Angoulême, quatre gars auraient fait une cinquantaine de victimes. C’est quoi, ce délire ? Des ordures qui s’amusent à terroriser, peut-être en refilant des saloperies par seringue. Les Français sont écœurés : même une fête censée être joyeuse devient un cauchemar.

Le narcotrafic : une guerre ouverte

Le trafic de drogue est le carburant de ce chaos. À Marseille, 44 morts en 2023 dans des règlements de comptes entre dealers. En 2022, 27 tonnes de cocaïne saisies, cinq fois plus qu’il y a dix ans. À Aix, l’attaque contre le gendarme sent le narcotrafic à plein nez. Les enquêteurs pensent à un « coup de force » pour prendre un point de deal, peut-être lié à la DZ Mafia, un gang marseillais qui sème la mort. Le quartier d’Encagnane, où le gendarme a été visé, est un supermarché de la dope. Les mômes, dès 12 ans, bossent pour ces réseaux : guetteurs, dealers, soldats. À Marseille, la moitié des gamins jugés au tribunal pour enfants sont mouillés dans la drogue.

Ce n’est plus seulement les grandes villes. À Sevran, les habitants abandonnent leurs HLM sous les menaces des dealers. À Audincourt, des retraités vivent dans une cabane pour fuir la racaille. Même à Incarville, un fourgon de matons s’est fait mitrailler pour libérer un caïd. Les Français n’en peuvent plus de voir leurs quartiers transformés en zones de guerre, où des gamins armés de Kalachnikovs dictent leur loi.

Immigration : un pays qui ne se reconnaît plus

Parlons cash : l’immigration massive, non choisie, a mis le feu aux poudres. Dans les banlieues, des bandes de jeunes, souvent issus des vagues maghrébines ou subsahariennes, s’entretuent pour le contrôle des deals. À Trappes, La Courneuve, Toulouse, les rixes entre ethnies opposées finissent à coups de machette ou de flingue. Mais leur violence ne s’arrête pas là : elle vise aussi les flics, les pompiers, les profs, ou n’importe quel Français qui passe par là. Sur les réseaux sociaux, les gens lâchent ce qu’ils ont sur le cœur : « Pourquoi ils viennent ici s’ils haïssent tout ce qu’on est ? » Les émeutes de 2023, après la mort de Nahel, ont mis le pays à feu et à sang : écoles incendiées, commissariats attaqués, commerces pillés. Pour quoi ? Une rage aveugle contre la France.

À Aix, le gendarme avait déjà été menacé et traité de « traître » par des voyous du quartier, qui savaient qu’il était flic. Pourquoi « traître » ? Parce qu’il représente l’État, la loi, tout ce que ces gamins méprisent. Cette haine, beaucoup la lient à une intégration ratée, à des ghettos où la France n’a plus sa place. Les Français ne veulent plus payer le prix de ces fractures. Ils veulent un pays où on ne risque pas sa vie pour porter un uniforme ou marcher dans la rue.

Les Français à cran : stop au cauchemar

Il y a quarante ans, on sortait jusqu’à l’aube, on allait au foot, on faisait la fête sans la peur au ventre. Aujourd’hui, chaque sortie est un pari. À Lisbonne, en 2024, une fête de quartier s’est finie en fusillade. À Paris, en 2025, la Fête de la musique a viré au rodéo, avec des bandes qui volaient et poignardaient pour le fun. Les parents tremblent dès que leurs gosses mettent un pied dehors, et ils ont raison : un regard de travers, et c’est l’hôpital ou la morgue. Sur X, la colère déborde : « Marre de la racaille qui pourrit tout ! », « On veut nos rues, nos fêtes, notre vie ! » Les Français ne demandent pas des miracles : juste pouvoir vivre sans peur.

Ils en ont plein le dos des juges qui relâchent les voyous, des politiques qui parlent d’« intégration » pendant que les couteaux, les haches et les machettes volent, des médias qui enrobent la vérité dans du sucre. À Aix, le tireur, déjà condamné pour drogue et rébellion, cherchait des « petites missions » sur Snapchat. Des missions pour tuer ! Et il n’est même pas majeur. Et que dire des multirécidivistes sous OQTF ? Les Français veulent que ça cesse, et ils le veulent maintenant.

Une seule solution : la tolérance zéro

Assez de blabla. La racaille ne comprend qu’un langage, le leur : les coups. À Aix, ces gamins auraient dû savoir qu’on ne touche pas à un flic sans le payer très cher. Un voyou qui tire à la Kalachnikov ? On le recherche immédiatement (quitte à faire des battues), on convoque les parents, et on le boucle pour de bon dans des établissements spécialisés pour ce type de délinquance, mineur ou pas. Un dealer qui pourrit un quartier ? On le dégage, avec son clan s’il le faut. Le narcotrafic ? On traque les caïds, on saisit leur argent et celui de son entourage s’ils ne peuvent justifier la provenance, et on les met hors d’état de nuire. L’immigration ? On ferme les portes tant que le pays n’est pas remis d’aplomb. Ceux qui veulent vivre ici respectent la loi, ou ils partent. C’est clair, c’est simple, et ça marche partout ailleur dans le monde !

Les Français ne veulent plus d’un pays où des mômes de 17 ans jouent aux tueurs à gages. Ils veulent la France d’avant, celle où on vivait sans craindre pour sa peau. Ils veulent des flics qui tapent fort, des juges qui enferment, des politiques qui arrêtent de trembler. La racaille a pris trop de place. Il est temps de lui montrer qui commande et que la peur change de camp !

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