La loge Athanor : plongée dans un scandale criminel du pouvoir politique

La loge Athanor : plongée dans un scandale criminel du pouvoir politique

La loge maçonnique Athanor, loin d’être une simple association fraternelle (comme veulent nous le faire croire les frères la truelle), s’est retrouvée au cœur d’un scandale retentissant en France, révélant une organisation criminelle impliquant des agents de la DGSE, de la DGSI, des policiers et des civils. Cette affaire, qui a éclaté en 2020, met en lumière non seulement les dérives de certaines structures opaques au sein de la franc-maçonnerie, mais aussi les prérogatives exorbitantes que s’arrogent les élites politiques et leurs réseaux, notamment un pouvoir de vie et de mort qui semble défier toute légalité et morale.

L’affaire Athanor : une organisation criminelle sous couvert maçonnique

En juillet 2020, une enquête judiciaire a mis au jour les activités de la loge Athanor, une structure affiliée à la franc-maçonnerie française, mais qui opérait comme une véritable officine criminelle. Selon les informations disponibles, cette loge, composée d’anciens agents des services de renseignement, de membres des forces de l’ordre et de civils, est accusée d’avoir orchestré des projets criminels graves, incluant des contrats d’assassinat. Le parquet de Paris a requis, en juin 2024, le renvoi aux assises de 23 personnes impliquées, dont 22 seront jugées pour des chefs d’accusation tels que l’association de malfaiteurs, le blanchiment d’argent, et la préparation d’actes criminels, notamment des homicides commandités. Une vingt-troisième personne, un ancien agent de la DGSE, est accusée d’avoir fourni des informations confidentielles à une puissance étrangère, ajoutant une dimension de trahison nationale à l’affaire.

Les investigations ont révélé des pratiques d’une gravité exceptionnelle : des contrats d’assassinat auraient été négociés pour des montants allant de 20.000 à 50.000 euros, selon certaines sources. Ces agissements, menés sous le couvert d’une loge maçonnique, soulignent une dérive inquiétante où des individus, forts de leurs connexions et de leur position, se sont arrogé des pouvoirs illimités, y compris celui de décider de la vie ou de la mort d’autrui. Cette affaire a également attiré l’attention dans le contexte de la disparition mystérieuse d’Éric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), en juin 2025, alimentant les spéculations sur des liens possibles avec des réseaux occultes.

La franc-maçonnerie en France : un réseau influent, mais opaque

La franc-maçonnerie en France compte environ 160.000 à 180.000 membres, répartis au sein de multiples obédiences, dont les plus importantes sont le Grand Orient de France (GODF), la Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Nationale Française (GLNF). Ces structures, historiquement ancrées dans les idéaux des Lumières, se présentent comme des espaces de réflexion philosophique et de progrès social. Cependant, leur opacité et leur système de cooptation ont souvent alimenté les soupçons sur leur influence dans les sphères politiques, économiques et judiciaires.

Concernant la liste des francs-maçons en France, il est difficile de dresser un répertoire exhaustif et fiable, car l’appartenance à une loge est généralement confidentielle. Toutefois, des sources historiques et journalistiques mentionnent des personnalités politiques et publiques ayant été initiées, souvent au Grand Orient de France ou à la GLDF. Parmi elles, on retrouve des figures comme :

  • Vincent Peillon, ancien ministre de l’Éducation, connu pour son engagement en faveur de la laïcité, initié au GODF.
  • Gérard Collomb, ancien ministre de l’Intérieur sous Macron, revendiqué comme franc-maçon.
  • Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, également cité comme membre influent.
  • Charles Hernu, ancien ministre de la Défense, dont l’appartenance maçonnique est largement documentée.
  • Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche, patron du groupe La Dépêche, initié en 1991 au GODF.

Des sources plus controversées, comme le Répertoire maçonnique de 1908, recensent jusqu’à 30 000 noms de francs-maçons de l’époque, mais ces données, issues d’archives antimaçonniques, doivent être prises avec précaution. Les noms de figures contemporaines comme Manuel Valls, François Hollande ou Jean-Marc Ayrault ont également circulé, bien que leur appartenance reste non confirmée officiellement. Les femmes, bien que moins représentées, sont également présentes, notamment au sein de la Grande Loge Féminine de France (GLFF), avec des figures comme Anne-Marie Escoffier, ancienne ministre déléguée à la Décentralisation.

Cependant, la discrétion entourant l’appartenance maçonnique rend impossible une liste complète et vérifiée. Les obédiences elles-mêmes ne publient pas de registres publics, et les spéculations médiatiques brouillent souvent les pistes. Ce flou contribue à alimenter les soupçons sur l’influence des réseaux maçonniques dans les cercles du pouvoir.

Une critique des prérogatives politiques : le droit de vie et de mort

L’affaire Athanor dépasse le cadre d’une simple dérive criminelle au sein d’une loge maçonnique. Elle met en lumière une question plus profonde : les prérogatives exorbitantes que s’octroient les élites politiques et leurs réseaux, notamment un pouvoir quasi-absolu sur la vie et la mort. Les révélations sur les projets d’assassinat orchestrés par des agents de l’État, sous le couvert d’une structure maçonnique, soulèvent des interrogations sur l’étendue du contrôle démocratique dans les sphères du pouvoir.

Dans le contexte français, où la franc-maçonnerie a historiquement joué un rôle influent (notamment sous la IIIe République avec des scandales comme l’affaire des fiches), l’affaire Athanor révèle une continuité inquiétante. Les réseaux maçonniques, en raison de leur opacité et de leur capacité à fédérer des élites, peuvent devenir des outils de contournement des institutions démocratiques. Lorsqu’un ancien agent de la DGSE, par exemple, utilise ses connexions pour trahir le Peuple ou organiser des assassinats, cela témoigne d’une dérive où le pouvoir personnel prime sur l’intérêt général.

Plus grave encore, cette affaire illustre une mentalité selon laquelle certains acteurs politiques et leurs alliés se considèrent au-dessus des lois. Le droit de vie et de mort, historiquement réservé aux souverains absolus, semble avoir été revendiqué par des individus au sein de ces réseaux, qui agissent en toute impunité sous prétexte de défendre des intérêts supérieurs. Cette arrogation de pouvoir est d’autant plus choquante qu’elle s’inscrit dans un contexte où les citoyens sont de plus en plus surveillés et contrôlés, tandis que les élites opèrent dans l’ombre, protégées par des structures comme Athanor.

Les responsables politiques, en tolérant ou en participant à de tels réseaux, trahissent les principes républicains qu’ils prétendent défendre. La laïcité, la transparence et la justice, souvent invoquées par des figures maçonniques comme Vincent Peillon, perdent toute crédibilité lorsque des loges comme Athanor deviennent des paravents pour des activités criminelles. Cette affaire devrait inciter à une réflexion urgente sur la régulation des sociétés secrètes et sur les mécanismes de contrôle des élites, afin de garantir que nul ne puisse s’arroger le droit de vie et de mort en dehors des cadres légaux. Ces mêmes personnes, s’arrogent le droit de dissoudre telle ou telle association Loi 1901, car elles véhiculent des valeurs incompatibles avec les règles de la communauté comme dirait Facebook…

Vers une remise en question des élites et de leurs réseaux

L’affaire de la loge Athanor n’est pas seulement un scandale criminel ; elle est le symptôme d’un mal plus profond : la dérive d’un système où les élites, qu’elles soient maçonniques ou non, s’octroient des pouvoirs illimités, y compris celui de disposer de la vie d’autrui. Cette arrogance, qui rappelle les pires excès des régimes autoritaires, est incompatible avec une démocratie moderne. La liste des francs-maçons en France, bien que difficile à établir, montre que ces réseaux continuent d’exercer une influence significative, souvent à l’abri des regards.

Pour restaurer la confiance, il est impératif de renforcer la transparence des institutions, de démanteler les réseaux opaques qui gangrènent l’État, et de rappeler aux responsables politiques qu’ils sont au service du peuple, non au-dessus de lui. L’affaire Athanor doit servir de catalyseur pour une remise en question radicale des prérogatives des élites et de leur impunité. Sans cela, le risque est grand de voir se multiplier les dérives où le pouvoir de vie et de mort devient l’apanage d’une caste intouchable.

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