L’État va s’attaquer aux pièces vides de nos maisons

L’État va s’attaquer aux pièces vides de nos maisons

Dans un contexte de crise du logement qui s’éternise, le gouvernement français semble avoir trouvé une nouvelle cible : les Français qui osent posséder des logements jugés « trop grands ». Une étude récente de l’INSEE révèle qu’un quart des ménages vivent dans des résidences principales largement sous-occupées, c’est-à-dire disposant d’au moins trois pièces de plus que nécessaire. Mais derrière ces statistiques se cache une campagne de culpabilisation orchestrée par les médias et les autorités, qui vise à remettre en question le droit fondamental à la propriété privée. Est-ce le début d’une ère où l’État décide de la taille « acceptable » de votre foyer ?

Les chiffres de l’INSEE : une réalité ou un prétexte ?

Selon l’étude publiée par l’INSEE le 8 juillet 2025, 25 % des résidences principales en France (hors Mayotte), soit 7,6 millions de logements, sont en « sous-occupation très accentuée ». Cela signifie qu’ils comptent au moins trois pièces excédentaires par rapport à une norme théorique : une pièce pour le salon, une par couple, une par personne de plus de 19 ans, et des règles spécifiques pour les mineurs. Parmi ces logements, 93 % sont des maisons individuelles, souvent d’une superficie d’au moins 100 m², et 75 % sont occupés par des personnes âgées de 60 ans ou plus. Le phénomène touche particulièrement les régions rurales comme la Bretagne (36 % de sous-occupation), où les ménages, souvent des couples sans enfants ou des personnes seules, restent attachés à leur bien après le départ des enfants.

Cette sous-occupation a augmenté de 22 % en 2006 à 25 % en 2022, liée au vieillissement de la population. Les agriculteurs (44 %), les cadres (27 %) et les artisans (28 %) sont les plus concernés. Pourtant, seulement 36 % de ces ménages estiment leur logement trop grand, et à peine 9 % envisagent de déménager. Pourquoi ? Parce que ces espaces « vides » représentent souvent des souvenirs de famille, des bureaux ou des pièces pour accueillir des proches. Mais pour le gouvernement, cela semble être un gaspillage inacceptable face à la pénurie de logements en zones tendues.

Les médias mainstream n’ont pas tardé à relayer l’information avec un ton culpabilisant : « Des millions de Français vivent dans un logement beaucoup trop grand », titre 20 Minutes. Le Figaro et BFM TV évoquent « au moins trois pièces de plus que nécessaire », tandis que Capital insiste sur ceux qui « ne veulent surtout pas en partir ». Cette couverture médiatique synchronisée laisse peu de place au doute : il s’agit de préparer l’opinion à des mesures plus coercitives.

Vers des politiques intrusives : taxes et réquisitions en vue ?

La Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) mène actuellement une vaste opération de révision des valeurs cadastrales, non mise à jour depuis 1970. Officiellement, il s’agit d’ajuster les taxes locales à la réalité économique, mais cela pourrait ouvrir la porte à des surtaxes sur les « pièces superflues ». Des voix critiques, comme celle de l’actrice Béatrice Rosen sur X, dénoncent une propagande venue de l’Union européenne pour culpabiliser les propriétaires, surtout les seniors, et les pousser à vendre ou à payer plus. « Préparer la population à accepter de nouvelles taxes sur les pièces ‘superflues’, et in fine, accepter d’être réquisitionné », alerte-t-elle.

Sur les réseaux, les réactions fusent. Des utilisateurs évoquent la réquisition des logements vides par l’État sans compensation, tandis que d’autres mettent en garde contre la suppression du droit de propriété, rappelant que « les meilleures dictatures ont commencé par-là ». Boulevard Voltaire titre même : « Logements ‘sous-occupés’ : l’État dénombre les chambres vides, et c’est mauvais signe ». Des propositions transpartisanes au Parlement visent déjà à recenser les biens vacants pour les céder à des associations, avec sanctions fiscales à la clé.

Ces idées ne sont pas nouvelles. En avril 2024, le gouvernement avait annoncé vouloir expulser les locataires « trop riches » des HLM pour libérer des places, ce qui nous parait juste. Cependant, aujourd’hui, l’offensive semble s’étendre aux propriétaires privés, sous prétexte de solidarité avec les sans-abris ou les migrants.

Cette pression fiscale s’intensifie encore avec les droits de succession, souvent qualifiés de « scandale » par les critiques du système. En France, ces taxes progressives peuvent atteindre 45 % pour les héritages en ligne directe au-delà de 1,8 million d’euros, avec un abattement limité à 100.000 euros par enfant, jugé insuffisant face à l’inflation immobilière. Pour les familles modestes, héritant d’une maison familiale évaluée à 300.000 euros par exemple, cela représente des dizaines de milliers d’euros à payer, forçant souvent la vente du bien pour couvrir les frais, transformant ainsi un patrimoine sentimental en fardeau financier. Ce mécanisme, perçu comme un « racket organisé par l’État », spolie particulièrement les classes moyennes qui n’ont pas les moyens d’optimiser fiscalement comme les grandes fortunes, et bafoue le droit de propriété garanti par l’article 17 de la Déclaration des droits de l’Homme de 1789. Une réforme urgente est appelée, avec des propositions pour rehausser les abattements et réduire les taux sur les petites successions, afin de préserver la transmission familiale.

L’addition de ces mesures – taxation potentielle des pièces vides et droits de succession élevés – constitue une forme d’expropriation de fait, chassant les Français de propriétés acquises au prix d’une vie de labeur et déjà soumises à de multiples impôts (taxe foncière, TVA à l’achat, frais de notaire, etc.). Combinées, elles créent un effet cumulatif dévastateur : les propriétaires âgés, culpabilisés pour leurs espaces « inutiles », pourraient être surtaxés sur ces pièces, tandis que leurs héritiers, accablés par des droits de succession prohibitifs, sont contraints de vendre pour payer l’État. Ce double mécanisme non seulement érode la propriété privée, mais prive les familles de leur ancrage patrimonial, favorisant une société de locataires précaires au profit d’une redistribution opaque souhaitée par les mondialistes du WEF.

La remise en question de la propriété privée : l’agenda mondialiste

Cette culpabilisation n’est pas isolée ; elle s’inscrit dans une remise en question plus large de la propriété privée, promue par des élites mondialistes. Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial (WEF), l’a formulé sans ambiguïté en 2016 : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (« You will own nothing and you will be happy« ). Cette phrase, issue d’un essai sur l’économie de partage post-Covid, vise un monde où les biens sont loués plutôt que possédés, sous couvert de durabilité et d’égalité. Critiquée comme une attaque contre la liberté individuelle, elle est souvent associée à l’abolition de la propriété privée, rappelant des idéologies totalitaires.

Les mondialistes du WEF prônent des vies confinées dans de petits appartements urbains, tandis qu’eux-mêmes jouissent de vastes domaines. Schwab lui-même, avec une fortune estimée à 170 millions de dollars, vit dans le luxe. Des figures comme Bill Gates possèdent des centaines de milliers d’hectares agricoles, et des milliardaires comme Mark Zuckerberg ou Jeff Bezos construisent des bunkers luxueux pour se protéger des crises qu’ils prédisent – ou qu’ils contribuent à créer. Le gouvernement français, quant à lui, vit luxueusement dans les palais de la République, tels que l’Élysée, dont le budget annuel dépasse les 110 millions d’euros aux frais des contribuables, avec des dépenses en hausse spectaculaire pour des voyages, réceptions et autres extravagances, comme les 21 millions d’euros dépensés en 2023 pour les déplacements et réceptions. Cette hypocrisie est flagrante : pendant que l’on culpabilise les Français pour une chambre vide, les élites accumulent des propriétés immenses et des refuges fortifiés, loin des contraintes imposées au commun des mortels.

Résister à l’intrusion étatique

Cette « lubie » gouvernementale n’est pas seulement une question de logement ; c’est une attaque contre l’autonomie des citoyens. En culpabilisant les propriétaires pour des pièces « vides », l’État pave la voie à des interventions plus intrusives, alignées sur un agenda mondialiste qui méprise la propriété privée. Comme le rappelle Béatrice Rosen, « c’est pour ‘votre bien' ». Mais les Français, attachés à leur foyer, ne se laisseront pas si facilement déposséder. Il est temps de défendre le droit de vivre comme on l’entend, sans que Big Brother ne compte nos chambres.

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