L’allocution délirante du chef d’état-major des armées : un narratif qui prépare l’envoi des Français à la mort

Gravissime ! Le général Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées françaises, a osé déclarer publiquement que « la Russie a ouvertement désigné la France comme son premier adversaire en Europe ». Dans une conférence de presse qui frise le délire paranoïaque, il dépeint Moscou comme une « puissance de nuisance » prête à envahir l’Europe d’ici 2030, conditionnant ses citoyens à la guerre dès l’enfance. Mais qui est le vrai agresseur ici ? Ce discours n’est qu’un écran de fumée pour masquer la construction méthodique d’un ennemi fictif par le gouvernement Macron, justifiant une escalade vers une guerre suicidaire contre la Russie.

L’Ukraine ? Un simple prétexte, un rideau derrière lequel se cachent des décennies de provocations occidentales : un coup d’État fomenté par la CIA en 2014, des bombardements ukrainiens sur le Donbass pendant huit ans – c’est comme si Paris bombardait Marseille pour « leur apprendre à bien penser et surtout, bien voter » ! – et des sabotages délibérés des négociations de paix par les États-Unis et le Royaume-Uni.

Voici ce que déclarait Petro Porochenko à la Rada en mai 2014, alors Président de l’Ukraine, installé par les États-Unis.

En réalité, c’est l’OTAN qui, depuis les années 1990, n’a cessé de s’étendre vers l’Est, malgré les promesses faites à Mikhaïl Gorbatchev. Poutine lui-même a tenté à plusieurs reprises de se rapprocher de l’Europe :

  • En 2001, il propose l’adhésion de la Russie à l’OTAN (Le Point).

  • En 2003, il suggère un partenariat stratégique avec l’UE (voir ici).

  • En 2010, il plaide pour une alliance économique de Lisbonne à Vladivostok (Le Figaro).

Aujourd’hui, ce narratif belliciste nous mène droit à l’abattoir, sacrifiant des millions de vies françaises pour des intérêts atlantistes. Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard !

Bases OTAN autour de la Russie
 

L’inversion accusatoire : la France fabrique son ennemi pour justifier le carnage

Burkhard inverse tout : c’est la France qui pointe du doigt la Russie comme une menace existentielle, pas l’inverse ! Emmanuel Macron multiplie les déclarations incendiaires, appelant à « Réarmer l’Europe » face à une « Russie agressive et révisionniste » qui « déstabilise nos frontières ». Il accuse Moscou de refuser un cessez-le-feu, tout en ignorant que Poutine a posé des conditions claires pour la paix. Cette projection sert à gonfler le budget défense français de 32 à plus de 60 milliards d’euros, préparant une guerre que personne ne veut sauf les élites bellicistes.

Pourtant, Poutine répète inlassablement que la Russie, immense et riche en ressources, n’a besoin d’aucun territoire supplémentaire (plus grand État du monde avec 17 millions de km contre 551. 695 km² pour la France, soit 26 fois plus petite et 4,233 millions km² pour l’Union européenne). En 2021, il affirmait : « La Russie n’a jamais été et ne sera jamais ‘anti-Ukraine' ». En 2022, il soulignait : « Il n’y a plus d’Union soviétique, et la Russie d’aujourd’hui n’en a pas besoin ». Ces mots contredisent le fantasme d’une Russie conquérante. Au contraire, c’est l’Occident qui a créé le chaos en Ukraine, forçant Moscou à protéger ses frontières. Et maintenant, Paris nous vend cette inversion comme une « défense nécessaire » ? C’est une recette morbide pour un bain de sang inutile !

Le coup d’état du maïdan : la CIA et Victoria Nuland, architectes du chaos

Oublions le conte de fées d’une « révolution spontanée » en 2014. Le Maïdan fut un coup d’État orchestré par la CIA, avec Victoria Nuland comme cheffe d’orchestre. Une conversation téléphonique fuitée entre Nuland et l’ambassadeur américain Geoffrey Pyatt révèle comment ils choisissaient les leaders post-coup : « Yats est notre homme » disait-elle, désignant Arseniy Yatsenyuk comme Premier ministre. Nuland, alors assistante secrétaire d’État, a admis que les États-Unis avaient investi 5 milliards de dollars pour « promouvoir la démocratie en Ukraine » – un euphémisme pour un « Regime change ». Des sources comme celles de Truthout et Reuters confirment son rôle dans la sélection des leaders, transformant des protestations en renversement violent du président élu Yanukovych.

Bien sûr, les debunkers occidentaux clament que c’était « organique », pas un coup d’État. Mais les faits parlent d’eux-mêmes : des snipers mystérieux tuant des manifestants dans les deux camps pour aggraver la situation, des financements américains massifs, et Nuland sur place pour « superviser ». Ce putsch a installé un gouvernement anti-russe, déclenchant la sécession du Donbass et de la Crimée. Sans cela, pas de guerre – mais Washington voulait un pion anti-Moscou à ses frontières, et l’Europe a suivi comme un mouton.

Huit ans de bombardements : le donbass, martyrisé par Kiev – Paris bombardant Marseille ?

L’intervention russe de 2022 ? Ce n’était pas une agression gratuite, mais une réponse après huit ans de patience face aux bombardements ukrainiens sur le Donbass. De 2014 à 2022, plus de 14,000 morts, dont 3,400 civils, majoritairement dus à des tirs d’artillerie indiscriminés sur des zones résidentielles. L’OHCHR (Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme) confirme : 90% des civils tués par des obus dans des zones habitées. Kiev bombardait ses propres citoyens russophones pour « mauvais vote » – ils avaient massivement soutenu Yanukovych et refusé le coup d’État imposant Petro Porochenko. C’est comme si Macron envoyait des missiles sur Marseille parce que les Provençaux « ne pensent pas correctement » ! Poutine a attendu, négocié via Minsk, mais les accords étaient violés (Angela Merkel et François Hollande ont reconnu tous deux, qu’ils ne servaient qu’à gagner du temps afin que l’Ukraine se renforce militairement) et les civils mouraient. Moscou est venu au secours du Donbass après des années de génocide silencieux – et on accuse la Russie d’agression ? Honteux !

Les sabotages occidentaux : États-Unis et Royaume-Uni jettent de l’huile sur le feu

Poutine a tout tenté pour la paix, mais l’Occident l’a saboté. En mars 2022, un accord était proche à Istanboul : neutralité ukrainienne, garanties multilatérales, résolution pacifique sur la Crimée. Mais Boris Johnson, alors Premier Ministre britannique, a fait dérailler tout lors de sa visite à Kiev le 9 avril, disant à Zelensky que tout accord serait une « victoire pour Poutine ». Suivi par Antony Blinken ‘Secrétaire d’État aux affaires Étrangères)  et Lloyd Austin (ancien Secrétaire à la Défense) des État-Unis, renforçant le refus de négociation. Des sources comme Foreign Affairs et Responsible Statecraft confirment ce sabotage délibéré pour prolonger la guerre. Même Zelenskyy a nié, mais les faits – et les négociateurs ukrainiens comme Arakhamia – admettent que la neutralité était la clé, repoussée par l’Occident. Les États-Unis et Royaume-Uni préfèrent la guerre à la paix, sacrifiant des vies pour affaiblir la Russie (voir ici).

Poutine, rejeté malgré ses efforts pour l’amitié européenne

Dès 2000, Poutine voulait rejoindre l’OTAN comme égal. Il fut rejeté ! Il plaidait pour des partenariats avec l’UE, acceptant même une Ukraine neutre. Mais l’expansion de l’OTAN l’a isolé, transformant un ami potentiel en ennemi. L’Europe a choisi la confrontation – et maintenant, on devrait payer le prix en vies perdues ?

Parallèle avec 1914 : la propagande anti-allemande, prélude au massacre

Ce narratif belliciste contre la Russie fait écho à la propagande anti-allemande qui a précédé la Première Guerre mondiale en 1914, où la France et la Grande-Bretagne ont dépeint l’Allemagne comme un ennemi barbare et expansionniste pour justifier l’entrée en guerre. Par exemple, des affiches françaises montraient l’Allemagne sous les traits d’une brute sauvage découpant l’Europe en morceaux, tandis que des caricatures britanniques inventaient les « atrocités » allemandes – comme des invasions fictives menaçant les femmes et les familles – pour inciter à la mobilisation et à l’enrôlement.

Propagande anti-allemande Carte postale de propagande anti-allemande de la Première Guerre mondiale

Des cartes postales britanniques prédisaient même une « Allemagne en 1950 » dominant l’Europe entière, alimentant la peur d’une conquête imminente. Les Français, emportés par cette ferveur nationaliste, sont partis « la fleur au fusil » – avec enthousiasme et naïveté, convaincus que la guerre serait courte et victorieuse, comme une promenade militaire. Mais la réalité fut un carnage : près de 1,4 million de soldats français tués, sans compter les centaines de milliers de civils et les millions de blessés, pour un total de plus de 6 millions de victimes. Aujourd’hui, un monument aux morts trône dans chaque ville et village de France, rappel silencieux de cette hécatombe – des stèles gravées de noms interminables, érigées pour commémorer les pertes de la Grande Guerre et avertir des dangers de la propagande belliciste. La Russie est présentée comme les nouveaux « Huns » – un terme péjoratif utilisé autrefois pour les Allemands –, avec les médias français hurlant à la « barbarie » russe pour gonfler les budgets militaires et préparer l’envoi de jeunes soldats au front. Tout comme en 1914, cette manipulation risque de mener à des millions de morts inutiles, fondées sur des mensonges propagés par les élites mondialistes pour servir leurs intérêts géopolitiques.

Le Chef d’État-Major de l’Armée, Burkhard, veut envoyer les Français à la mort pour un mensonge géopolitique

Les dirigeants français, civils et militaires, veulent nous envoyer à la mort ! En ignorant le coup d’État de la CIA du Maïdan, les bombardements du Donbass, les sabotages anglosaxons, et les mains tendues de Poutine, Macron fabrique une guerre pour des maîtres atlantistes. C’est une trahison ! Les Français ne sont pas des pions – exigeons la paix, ou nos leaders nous enverront pour des intêrets qui ne sont pas ceux de la France.

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