La faillite d’Ynsect : une victoire populaire contre la malbouffe globaliste imposée
Dans un pays comme la France, berceau de la gastronomie mondiale où le fromage, le vin et le pain frais symbolisent un art de vivre ancestral, la faillite annoncée d’Ynsect sonne comme un cri de triomphe du bon sens populaire. Cette entreprise, spécialisée dans la production d’aliments à base d’insectes destinés à la consommation humaine, incarne l’échec retentissant d’une idéologie globaliste qui tente d’imposer des pratiques alimentaires aberrantes malgré le refus catégorique des Français. Subventionnée à coups de millions d’euros publics par un gouvernement français (21,3 millions d’euros) et une Union européenne déconnectés de la réalité, Ynsect s’effondre, et c’est une excellente nouvelle. Elle prouve que le peuple, attaché à ses traditions rurales et à une alimentation saine, ne se laissera pas dicter sa diète par des élites technocrates obsédées par une pseudo-écologie punitive.
Ynsect : un gouffre financier subventionné par les contribuables
Fondée en 2011, Ynsect s’est positionnée comme un pionnier de la « protéine alternative » en élevant des vers de farine pour en extraire farines et huiles destinées à l’alimentation humaine et animale. Avec des usines high-tech, comme celle d’Amiens censée être la plus grande ferme d’insectes au monde, l’entreprise a levé plus de 500 millions d’euros depuis sa création, dont une part substantielle provenant de fonds publics. Bpifrance, bras armé de l’État français, a injecté des dizaines de millions, tandis que l’Union européenne a contribué via des programmes verts. En 2023, Ynsect affichait déjà une perte nette de près de 80 millions d’euros, et malgré un endettement de 130 millions, elle a continué à recevoir des aides.
Mais le réel a rattrapé cette bulle spéculative. Placée en procédure de sauvegarde en septembre 2024, puis en redressement judiciaire en mars 2025 par le tribunal de commerce d’Évry, Ynsect a vu son observation prolongée jusqu’en septembre 2025. Des licenciements massifs (70 personnes en 2023), la fermeture d’usines aux Pays-Bas, et un financement relais désespéré de 8,6 millions d’euros n’ont pas suffi. Agronutris, une autre société similaire, suit le même chemin vers la faillite, refusant même l’aide de Bpifrance.
Ces échecs ne sont pas dus à un manque de soutien étatique – au contraire, ils révèlent l’absurdité d’un modèle économique artificiel, dopé par des subventions pour forcer une transition alimentaire que personne ne veut.
Les français refusent catégoriquement cette « nourriture » imposée
Les sondages sont sans appel : les Français sont massivement opposés à l’idée de manger des insectes. Selon une enquête YouGov de 2021, seulement un sur cinq se dit prêt à en consommer, tandis que des études plus récentes montrent que moins de 30 % des consommateurs sont enclins à tester ces produits, citant un « effet beurk » insurmontable. Malgré cela, le globalisme, incarné par l’UE et des organismes comme le Forum de Davos ou l’ONU, pousse ces aliments dans nos assiettes.
Des règlements européens depuis 2021 interdisent aux États membres d’interdire ces produits, forçant leur intégration dans les chaînes alimentaires, souvent sans étiquetage clair.
Des marques comme Innovafeed inondent les marchés français, belges, américains et canadiens d’insectes, y compris dans des produits bio et vegan, sous couvert d’écologie.
Pire, des listes révèlent que des produits quotidiens – yaourts Yoplait, glaces Carte d’Or, bonbons Haribo – contiennent déjà des additifs à base d’insectes comme le shellac ou le carmin, sans que les consommateurs en soient pleinement informés. Dans les Vosges, une petite entreprise produit même des pâtes aux grillons ou criquets, vendues à prix d’or, mais cela reste marginal et suscite le dégoût général. Les risques sanitaires ne sont pas anodins : allergies dues au chitine, potentiels OGM dans les insectes, et même des scénarios inquiétants comme le programme DARPA « Insect Allies » aux États-Unis, qui utilise des insectes pour modifier génétiquement les plantes, risquant de transformer l’agriculture en arme biologique.
Le gouvernement français et l’UE : bourreaux des paysans traditionnels
Pendant que ces startups engloutissent des millions publics, nos paysans sont laminés par des normes européennes idiotes et une gestion catastrophique des crises. Prenez la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), cette maladie bovine qui ravage les élevages français depuis juin 2025. Avec 67 foyers détectés au 6 août 2025, principalement en Savoie, les autorités imposent des abattages massifs, laissant des éleveurs ruinés et désespérés. Des syndicats comme la Confédération paysanne et la Coordination rurale appellent à la mobilisation, dénonçant un « massacre » évitable et une absence de soutien réel.
Le gouvernement Macron, avec sa ministre Agnès Pannier-Runacher, parle de « transition écologique » tout en subventionnant des usines à insectes et en imposant des normes absurdes qui étouffent l’agriculture traditionnelle : quotas, pesticides restreints, paperasse infinie. Résultat ? Une baisse des rendements due non au climat, mais à ces politiques punitives qui favorisent les importations transgéniques et la malbouffe industrielle. L’UE, avec ses alliés chez McKinsey et l’ONU, orchestre cette destruction pour imposer un contrôle alimentaire global, au détriment de notre souveraineté rurale.
La France, pays de la gastronomie, doit rester rurale et libre
La France n’est pas un laboratoire pour des expériences alimentaires transgéniques ou insectoïdes. Nous sommes le pays du terroir, des marchés locaux, des fromages AOP et des vins AOC – pas de farines de grillons ou de simili-viande qui ne décollent pas, avec des ventes en chute de 11 % en deux ans. Nous refusons cette malbouffe imposée par des élites qui méprisent nos traditions. La faillite d’Ynsect et consorts est la preuve que le peuple gagne quand il résiste : boycotts, pétitions et refus massif ont eu raison de ces aberrations.
Il est temps de sortir de cette UE destructrice, de soutenir nos paysans contre les normes folles, et de préserver une France rurale, fière de ses produits authentiques. Vive la résistance populaire – et que les insectes retournent dans les champs, pas dans nos assiettes !
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