La propagande anti-Poutine et anti-Trump : l’État profond panique !

Dans un futur proche, imaginable dès les premiers mois de la seconde présidence de Donald J. Trump, une scène surréaliste se déroulera à Mar-a-Lago ou à la Maison Blanche : une délégation de l’intelligentsia européiste, ces faucons belliqueux de Bruxelles et de Paris, viendra pleurnicher aux pieds du président américain. Leur complainte ? Pas assez de sang versé en Ukraine ! Ces élites, imprégnées d’une idéologie atlantiste obsolète, supplieront Trump de relancer la machine de guerre, arguant que la « démocratie » exige plus de sacrifices. Mais Trump, fort de son alliance tacite avec Vladimir Poutine, sifflera la fin de la récré. Ce scénario prospectif, ancré dans les dynamiques actuelles, marque le crépuscule d’une guerre proxy que le monde entier rejette, sauf l’Union européenne qui s’accroche désespérément à son agenda destructeur.

La rencontre : des pleurnichards européens face à un Trump inflexible

Imaginez la scène : Ursula von der Leyen, Emmanuel Macron, et une cohorte « d’intellectuels » va-t-en-guerre comme Bernard-Henri Lévy ou des représentants de l’OTAN, débarquent aux États-Unis, les yeux larmoyants. Ils implorent Trump de maintenir les livraisons d’armes, d’imposer de nouvelles sanctions, et de bloquer toute négociation avec Moscou. « L’Europe est en danger ! », clameront-ils, évoquant des scénarios apocalyptiques d’invasion russe jusqu’aux portes de Berlin. Mais Trump, pragmatique et businessman dans l’âme, les renverra à leurs illusions. « La guerre est finie, les gars. On a gaspillé assez d’argent et de vies », leur assènera-t-il, rappelant ses promesses de campagne pour un règlement rapide du conflit.

Ce face-à-face n’est pas de la science-fiction. Trump a déjà annoncé qu’il mettrait fin à la guerre en 24 heures, en forçant Kiev et Moscou à la table des négociations. Poutine, de son côté, a exprimé une ouverture similaire, soulignant que la Russie n’a pas intérêt à une escalade infinie. Ensemble, ces deux leaders « éveillés » – comme les qualifie un post viral sur X (voir ci-dessous) – s’opposent à la « mafia de l’oligarchie mondialo-cosmopolite » qui propage une propagande anti-Poutine et anti-Trump hallucinante pour maintenir le statu quo.

L’avertissement à Zelensky : quitte ta panoplie de chef de guerre !

Au cœur de ce revirement, un avertissement clair a été lancé à Volodymyr Zelensky : abandonne ta tenue de combat kaki et habille-toi dignement. Trump, connu pour son franc-parler, a publiquement critiqué l’apparence de Zelensky, le comparant à un « vendeur » en sweat-shirt plutôt qu’à un chef d’État. 

« Mets un costume, Volodymyr, et comporte-toi comme un leader prêt à négocier, pas comme un acteur en quête de subventions », aurait-il déclaré lors d’un appel récent. 

Ce n’est pas anodin : c’est un signal que l’ère des poses héroïques est terminée. Donald Trump lui avait d’ailleurs déjà fait la remarque lors de son dernier entretien au Bureau ovale le 28 février dernier, ce à quoi, Zelensky avait répondu qu’il en porterait un lorsque la guerre serait terminée : peut-être que la suggestion de Trump, n’était qu’une façon subtile de lui faire comprendre que l’heure était venue…

Trump et Poutine ont sifflé la fin de la récré, transformant Zelensky en un pion obsolète d’une partie d’échecs où les « éveillés » prennent le dessus sur les « endormis ».

Ce thème résonne puissamment dans une courte vidéo (ci-dessous), qui dénonce la propagande orchestrée par les élites pour monter les « moutons » contre les « éveillés ». Titrée « Éveillés et Endormis », elle illustre comment le système sème la peur chez les dormeurs pour les retourner contre ceux qui voient au-delà du voile. Les éveillés, comme Trump et Poutine, dérangent parce qu’ils brisent la « paix artificielle » maintenue par la guerre perpétuelle. Zelensky, avec sa panoplie de guerre, incarne cet endormissement collectif, manipulé par des forces qui préfèrent le chaos à la paix.

Le monde entier en a assez : seule l’UE s’accroche à la guerre

Le monde entier en a assez de cette guerre : seuls l’UE fait tout pour la conserver ! Cette affirmation, criante de vérité, capture l’essence du décalage. Des sondages globaux montrent une fatigue générale : 70 % des Américains veulent un cessez-le-feu immédiat, tandis que dans les pays du Sud global – Inde, Brésil, Afrique du Sud – plus de 80 % voient le conflit comme une querelle occidentale imposée. Même en Russie, la population aspire à la paix, et Poutine a multiplié les offres de négociations.

Mais l’UE ? Elle persiste, pompant des milliards dans une cause perdue. Von der Leyen et ses alliés, obsédés par une « victoire stratégique » illusoire, ignorent les coûts humains : plus de 500.000 morts ukrainiens, des villes ravagées, et une économie européenne en berne avec l’inflation galopante due aux sanctions. Pourquoi cette obstination ? Parce que l’UE, marionnette de l’oligarchie cosmopolite, craint le « grand réveil » : une paix qui exposerait l’inutilité de son projet supranational et l’échec de sa russophobie viscérale. Ces manipulateurs voleurs ont peur que les peuples se réveillent et rejettent leur narrative.

Les conséquences : un nouvel ordre mondial éveillé

Dans ce scénario prospectif, la rencontre se solde par un échec cuisant pour les belliqueux européens. Trump impose un accord : gel des lignes de front, neutralité ukrainienne, et fin des sanctions. Zelensky, contraint et forcé, range sa tenue militaire pour un costume civil, symbolisant la capitulation. L’UE, isolée, voit ses leaders discrédités, avec des soulèvements populaires contre les « endormis » de Bruxelles.

Ce tournant marque la victoire des éveillés sur les dormeurs. La propagande anti-Trump et anti-Poutine s’effondre, révélant une oligarchie terrifiée par la vérité. Le monde respire enfin, libéré d’une guerre inutile. Mais gare à l’UE : si elle persiste, elle risque l’implosion, prouvant une fois de plus que les vrais belliqueux ne sont pas à Moscou ou Washington, mais au cœur de l’Europe bureaucratique. La récré est finie – place à la paix réelle.