Dans le paysage médiatique français, dominé par des voix qui se prétendent neutres et objectives, Thomas Legrand et Patrick Cohen incarnent l’archétype des idéologues déguisés en journalistes.
Ces figures du service public, financées par l’argent des contribuables, passent leur temps à hurler au loup contre la « désinformation de l’extrême droite » et les prétendues ingérences russes dans les élections.
Pourtant, une récente révélation les montre en pleine connivence avec des cadres du Parti socialiste, complotant pour influencer les scrutins à venir – un scandale qui expose leur double jeu flagrant. Loin des minimisations lisses servies par les médias alignés, examinons comment ces deux-là utilisent leur position pour fausser le jeu démocratique, tout en accusant les autres de manipulation.
Une connivence flagrante au service des socialistes
Imaginez : deux éditorialistes vedettes de France Inter et France 5, assis dans un café parisien, discutant stratégie avec des figures du PS comme Luc Broussy et Pierre Jouvet. Les échanges, capturés sans fard, révèlent un plan clair pour torpiller Rachida Dati à la mairie de Paris et booster Raphaël Glucksmann pour la présidentielle de 2027. « On fait ce qu’il faut pour Dati », lâche l’un d’eux, sous-entendant des efforts médiatiques pour « éliminer » les rivaux.
Ce n’est pas un simple bavardage amical ; c’est une confession d’utilisation de moyens publics pour orienter l’opinion.
France Inter, payée par tous les Français, devient un outil partisan au profit des socialistes. Et quand on les confronte, ils minimisent : « J’ai juste pris un café avec deux socialistes. » Non, c’était ni plus, ni moins qu’un flagrant délit d’influencement pur, une tentative de détourner le regard du vrai crime : influencer des élections avec de l’argent public.
Ces mêmes journalistes qui traquent la « désinformation russe » à longueur d’antenne – accusant Moscou de tout, des punaises de lit aux chutes de popularité de Macron, en passant par les manifestations du 10 septembre – se révèlent ainsi être les vrais manipulateurs. Pendant que Vladimir Poutine est blâmé pour des ingérences fantasmées à 4.000 km, Legrand et Cohen ourdissent des plans locaux pour favoriser leurs alliés idéologiques. Hypocrisie totale : ils crient à la menace extérieure pour masquer leur propre biais gauchiste, financé par les impôts de ceux qu’ils méprisent.
Le système en boucle fermée : promotion mutuelle et impunité
Ce scandale n’est pas isolé ; il s’inscrit dans un écosystème où ces idéologues se protègent mutuellement.
Pensez à Caroline Fourest ou à Léa Salamé, compagne de Raphaël Glucksmann, qui reçoit des économistes alignés pour vanter des théories bidouillées – comme Gabriel Zucman, viré d’Harvard pour truquage de données. (À noter que Glucksmann, avant sa relation avec Léa Salamé depuis environ 2016, a été marié à Eka Zgouladze, une politicienne géorgienne et ukrainienne impliquée dans des réformes controversées en Ukraine et en Géorgie, notamment en tant que vice-ministre de l’Intérieur en Géorgie de 2006 à 2012 sous Mikheil Saakachvili, puis en Ukraine de 2014 à 2016 où elle a dirigé des réformes policières souvent financées par des aides occidentales (USA, UE), ce qui l’a exposée à des accusations d’être une « agente d’influence étrangère » dans le contexte des débats géorgiens sur le financement d’organisations politiques par l’étranger, comme dans les lois récentes sur les « agents étrangers » visant à réguler les ONG financées par l’Occident et liées à des figures comme George Soros ; ce lien international ajoute une couche à son profil, mais c’est surtout avec Léa Salamé que surgit un conflit d’intérêt évident, car en tant que présentatrice du 20h sur France 2, elle pourrait influencer l’opinion publique en faveur de son compagnon politique, un risque qu’ils ont eux-mêmes reconnu en promettant de le « trancher » si Glucksmann se présente en 2027 – une promesse qui sonne creux dans ce système verrouillé.
Léa Salamé, sur le service public, promeut des idées qui servent son camp, sans transparence.
Cohen et Legrand opèrent de même : ils utilisent leurs plateformes pour de l’autopromotion partisane, transformant les médias publics en machine à laver les scandales.
Et pour couronner le tout, la patronne de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci – une autre chaîne publique financée par les contribuables –, a volé au secours de ces deux « journalistes », leur apportant un « soutien total » tout en s’en prenant une fois de plus à CNews, qu’elle qualifie de « chaîne d’extrême droite » pour avoir relayé l’affaire.
Ernotte accuse CNews d’être une « chaîne d’opinion d’extrême droite » et d’ « allumer de façon scandaleuse des contre-feux », tentant ainsi de détourner l’attention des questions légitimes posées par cette connivence.
Ironie du sort, ces donneurs de leçons sur la probité et l’intégrité journalistique – qui accusent les autres de manipulation – sont eux-mêmes empêtrés dans des scandales : Ernotte fait l’objet de plaintes pour détournement de fonds publics liées à des notes de frais exorbitantes, comme un déplacement à Cannes facturé plus de 100.000 euros, ou des notes de taxi pharaoniques (2 à 3 millions d’euros de frais de taxis annuels) à France Télévisions, malgré une dotation publique massive de 2,57 milliards d’euros par an. Une « grande probité » qui frise l’hypocrisie, alors qu’ils s’alarment de coupes budgétaires mineures tout en dilapidant l’argent public pour des privilèges personnels.
Quand l’affaire éclate, ils contre-attaquent en criant à la violation de la vie privée – un écran de fumée classique. Mais filmer dans un lieu public, lors d’une discussion politique, n’est pas une atteinte ; c’est de l’investigation légitime, comme l’ont fait Élise Lucet ou d’autres sans jamais être inquiétés. Patrick Cohen menace de procès, mais les précédents judiciaires le condamnent d’avance : c’est du bluff pour intimider. Un huissier a déjà confirmé que les rushes sont conformes, sans montage trompeur.
Pourtant, ces « journalistes » se victimisent, accusant une « campagne de dénigrement » orchestrée par la droite – alors que ce sont eux qui déforment la réalité quotidiennement.
Des idéologues qui traquent la « désinformation » pour mieux la pratiquer
Legrand et Cohen se posent en gardiens de la vérité, dénonçant sans relâche l’extrême droite et les Russes comme sources de fake news. Mais qui sont les vrais désinformateurs ? Eux, qui trient les indignations : silence sur des crimes comme l’assassinat d’Irina Zarutska par un multirécidiviste, titré de manière euphémique par CNN (leur modèle ?), mais hurlements contre toute critique de leur camp. Ils accusent les autres de polariser la société, mais leur biais gauchiste alimente la division, en justifiant la violence verbale contre les « fascistes » – un terme qu’ils collent à quiconque ose contredire leur doxa.
Pire, ils incarnent le terrorisme intellectuel : en minimisant leur propre rôle dans la manipulation électorale, ils pavent la voie à une justice à deux vitesses. Si un chroniqueur de droite tenait des propos similaires, il serait lynché médiatiquement. Mais pour eux, l’Arcom et les comités d’éthique ferment les yeux, validant que « rien ne permet d’affirmer une faute ». C’est l’impunité totale pour les bien-pensants.
Vers une réaction citoyenne : plaintes et lois pour les déloger
Il est temps de briser ce cercle vicieux. Ces idéologues ne passeront plus pour des experts neutres ; la réalité les rattrape. Des associations de contribuables doivent se constituer partie civile pour détournement de fonds publics – car influencer des élections avec des moyens d’État, c’est un déni de démocratie. Des plaintes massives, des boycotts d’émissions, et des propositions de loi pour interdire ces pratiques : voilà les armes. Sans cela, Legrand et Cohen continueront à crier à la désinformation tout azimut tout en sabotant la démocratie de l’intérieur.
En fin de compte, ces deux-là ne sont pas des journalistes, mais des militants payés par nos impôts pour imposer leur vision. Ras-le-bol de leur hypocrisie : il est temps qu’ils rendent des comptes, avant que leur manipulation ne détruise ce qui reste de pluralisme en France.
Affaire Cohen-Legrand : L'incorrect publie de nouveaux extraits pic.twitter.com/xmLTb5lVpM
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) September 17, 2025
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