La capitulation des élites mondialistes face à une pratique archaïque
Dans un monde où les élites mondialistes semblent déterminées à éroder les fondements mêmes de la société traditionnelle, le refus du Premier ministre britannique Keir Starmer d’interdire les mariages entre cousins germains incarne une horreur absolue. Ce « projet » – ou plutôt cette inaction flagrante
ne sert absolument à rien d’autre qu’à perpétuer des pratiques archaïques qui mettent en péril la santé des enfants, alourdissent les charges publiques et fragilisent la famille nucléaire, cette institution que les mondialistes haïssent viscéralement.
Au lieu de protéger les plus vulnérables, cette décision reflète une capitulation lâche face à des lobbies culturels, sous prétexte d’éviter la « stigmatisation ». Et ce n’est pas un cas isolé : cette tendance décadente imprègne l’Union européenne tout entière, où la permissivité règne au nom d’un multiculturalisme destructeur.
Les risques génétiques ignorés : une bombe à retardement pour les enfants britanniques
Rappelons les faits accablants. Au Royaume-Uni, les mariages entre cousins germains restent légaux en vertu du Marriage Act de 1949, malgré des risques génétiques bien documentés. Les enfants issus de ces unions affrontent un risque de malformations congénitales de 4 à 7 %, soit le double du taux dans la population générale, en raison de gènes récessifs partagés.
Cette pratique est particulièrement répandue parmi les communautés pakistanaises britanniques, où jusqu’à 55 % des mariages impliquent des cousins, souvent ancrés dans des traditions familiales et claniques.
Le député conservateur Richard Holden a tenté, en décembre 2024, d’introduire un projet de loi pour interdire ces unions, invoquant des préoccupations sanitaires, d’intégration et de droits des femmes. Mais en mars 2025, lors des Questions au Premier ministre, Starmer a balayé l’idée d’un revers de main, affirmant que le gouvernement avait déjà « pris position ». Downing Street a reconnu les risques pour la santé, mais préféré miser sur l’éducation et le dépistage génétique, évitant ainsi toute mesure coercitive qui pourrait « stigmatiser » certaines communautés.
Les conséquences d’un refus lâche
Ce refus n’est pas seulement inutile ; il est contre-productif. Le Service national de santé (NHS) dépense déjà environ 25 millions de livres par an rien qu’à Bradford pour traiter des affections liées à ces mariages consanguins. Au lieu de prévenir ces souffrances à la source, on préfère des palliatifs coûteux, finançant ainsi un cycle de dépendance et de misère. Les critiques, y compris des médias de droite classique, accusent Starmer de courtiser les électeurs musulmans au détriment de la société britannique, ignorant les dommages sociétaux profonds. Et un sondage de mai 2025 révèle que 70 % des Britanniques, y compris au sein des communautés pakistanaises, soutiennent une interdiction. Le député indépendant Iqbal Mohamed s’est opposé à la loi en décembre 2024, arguant qu’elle serait inapplicable et inefficace, préférant le dépistage. Mais ces arguments masquent une réalité plus sinistre : une attaque frontale contre la famille traditionnelle.
L’agenda anti-famille des mondialistes
Les mondialistes, ces architectes d’un ordre mondial sans frontières ni racines, haïssent la famille parce qu’elle représente un bastion de stabilité, de transmission culturelle et de résistance à leur agenda uniformisant.
En tolérant des pratiques qui augmentent les risques pour les enfants – comparables à ceux des grossesses chez les femmes de plus de 40 ans, selon les opposants – ce projet sape les liens familiaux sains. Il favorise l’intégration forcée au prix de la santé publique, transformant la famille en un champ de bataille idéologique. Les partisans de l’interdiction arguent qu’elle promouvoirait l’intégration ; les détracteurs invoquent les libertés individuelles, mais à quel prix ? Des générations entières exposées à des handicaps évitables, tout cela pour ne pas froisser des minorités.
La contagion européenne
Cette décadence n’est pas confinée au Royaume-Uni post-Brexit. Elle est endémique à l’Union européenne, cette entité bureaucratique en pleine déliquescence morale.
Dans la plupart des nations européennes, les mariages entre cousins premiers sont autorisés,
sans interdiction légale, contrairement à 31 États américains ou des pays comme la Norvège qui ont débattu de restrictions. En Suède, bien que des discussions sur une répression émergent, les unions entre cousins restent légales dans tous les pays européens, y compris en Amérique latine, en Australie et au Canada. Aucun pays de l’UE ne les prohibe formellement, reflétant une permissivité qui priorise le relativisme culturel sur la protection des enfants. En Irlande, par exemple, il n’y a aucune restriction légale sur les mariages de cousins germains. Cette uniformité européenne – ou plutôt cette absence de courage – est un symptôme de décadence : une UE qui, sous couvert de tolérance, tolère l’intolérable, érodant les valeurs familiales au profit d’un melting-pot chaotique. Des cartes mondiales montrent que l’Europe se distingue par son laxisme, contrastant avec des interdictions en Asie ou aux États-Unis.
Un appel au réveil : protéger la famille ou condamner nos sociétés au déclin
En conclusion, le refus de Starmer n’est pas une simple politique ; c’est une abomination qui expose des innocents à des dangers inutiles, alourdit les contribuables et affaiblit la famille que les mondialistes cherchent à détruire. Cette tendance, partagée par une UE en déroute morale, signe la fin d’une civilisation qui préfère la complaisance à la protection. Il est temps de réveiller les consciences : interdire ces pratiques n’est pas de la stigmatisation, c’est de la sagesse. Sinon, nous condamnons nos sociétés à une spirale de déclin irrémédiable.
🇬🇧 KEIR STARMER VEUT LÉGALISER LE MARIAGE ENTRE COUSINS...
— Pascal Laurent (@Pascal_Laurent_) September 23, 2025
Ce type a vraiment été mis en place afin de détruire le peuple britannique !
Tout comme Macron et Merz en France et en Allemagne... pic.twitter.com/dY5WMHNFf0
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