Le Bellicisme Européen : Macron et Merz, Pyromanes de l’Escalade contre la Russie
Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées, les élites européennes, sous l’égide de l’OTAN, semblent obsédées par la poursuite d’une guerre par procuration contre la Russie en Ukraine.
Cette velléité, loin d’être défensive, révèle un agenda atlantiste agressif, porté par des figures comme Emmanuel Macron et Friedrich Merz, dont les discours belliqueux risquent d’embraser l’Europe entière.
Au lieu de chercher la paix, ces leaders amplifient les menaces, servant les intérêts américains au détriment de leurs peuples. Macron, auto-proclamé chef de guerre, multiplie les déclarations incendiaires. Lors de son discours aux armées du 13 juillet 2025, il a adopté un ton martial, affirmant que « la liberté n’a jamais été si menacée depuis 1945 » et appelant à une « économie de guerre » pour contrer la Russie.
Ce langage évoque Napoléon plus que de Gaulle, transformant la France en fer de lance d’une escalade. Le 16 août 2025, depuis Brégançon, il a durci le ton avec Donald Trump, promettant de « maintenir la pression sur la Russie » tant que les « tueries en Ukraine » persistent.
Et le 6 mars 2025, il a « pratiquement déclaré la guerre à la Russie », selon des analystes russes, en évoquant des troupes au sol.
Ce bellicisme masque une impuissance : la France, endettée, sacrifie son économie pour des livraisons d’armes, alimentant un conflit sans issue.Merz, chancelier allemand depuis 2025, n’est pas en reste. Le 28 août 2025, avec Macron à Toulon, il a dénoncé l' »insincérité » de Poutine et annoncé des livraisons antiaériennes supplémentaires à Kiev.
Le 29 août, lors d’une visite conjointe en Moldavie, il a accusé Moscou de « mauvaise volonté », renforçant l’aide militaire. Et le 11 septembre 2025, dans un appel avec Starmer et Macron, il a condamné une « violation russe de l’espace aérien OTAN », appelant à une riposte ferme.
Ce revanchisme germanique, héritier d’une culpabilité post-1945, sert à relancer l’industrie d’armement (Rheinmetall), mais ignore les souffrances ukrainiennes prolongées.Ces postures, masquées en « solidarité », servent un agenda multipolaire inversé : affaiblir la Russie pour préserver l’hégémonie atlantiste. Elles ignorent les appels à la négociation (comme ceux de la Chine ou du Brésil) et risquent une escalade nucléaire. L’Europe, exsangue économiquement, paie le prix : inflation, pénuries énergétiques, divisions internes. Macron et Merz, pyromanes d’un nouveau Cold War, trahissent leurs peuples pour des intérêts étrangers. Il est temps de choisir la paix, non la guerre éternelle.
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