Le mouvement des drapeaux s’étend à l’Allemagne. Début octobre 2025, des vidéos virales montrent des milliers de drapeaux noir-rouge-or hissés de nuit sur des ponts, tours et abribus, sous le hashtag #AktionHissdieFlagge. Les participants, faisant écho aux messages britanniques, présentent cela comme une reconquête de l’identité nationale face à des politiques migratoires laxistes.
Ce phénomène, qui a débuté comme une initiative locale au Royaume-Uni, s’est transformé en un soulèvement massif, symbolisant un refus catégorique de la dilution des identités et des souverainetés orchestrées par une élite mondialiste. Des milliers de citoyens, de l’Angleterre à l’Allemagne, en passant par la France et d’autres pays, hissent leurs étendards pour réclamer la reconquête de leur souveraineté. Ce geste n’est pas seulement symbolique :
il révèle une fracture profonde entre les peuples et une oligarchie accusée de sacrifier les nations au profit d’intérêts globaux, utilisant l’immigration massive comme outil pour diviser, baisser les salaires et créer des chocs sociétaux.
Les origines britanniques : un défi à l’établissement
Tout a commencé en août 2025 en Angleterre, dans des villes comme Birmingham, Manchester, Bradford, Newcastle, Norwich et Londres. Face à des interdictions absurdes des autorités locales – souvent sous prétexte de « sécurité routière » – les citoyens ont lancé une opération pour couvrir rues, ponts, lampadaires et façades de Union Jacks et de croix de Saint-Georges. Ce geste simple, coordonné via les réseaux sociaux, répond à la frustration face à l’effacement de l’identité nationale dans les espaces publics, particulièrement dans des zones où les drapeaux étaient rares en dehors des matchs de football ou des événements royaux. L’objectif est de résister à la démonisation de l’identité britannique, souvent associée à des accusations de racisme et de colonialisme par des universitaires et des médias, tout en contrant l’immigration incontrôlée, l’insécurité croissante et l’incapacité perçue du gouvernement à défendre la population autochtone.
À Columbus en Ohio, un passage piéton arc-en-ciel, partie d’une étude fédérale sur la sécurité routière, a été couvert d’une substance noire ressemblant à du goudron, interrompant l’étude. Ces actes, souvent qualifiés de vandalisme par les médias progressistes, sont vus par les participants comme une réappropriation des espaces publics contre une agenda mondialiste qui privilégie les symboles LGBT au détriment des identités nationales traditionnelles.
Les autorités, dirigées par des partis comme le Labour ou des partis communautaires, enlèvent les emblèmes, révélant un double standard : des drapeaux palestiniens ou pakistanais sont tolérés lors de célébrations, tandis que les symboles britanniques sont traqués. À Birmingham, les conseils invoquent des préoccupations de « sécurité routière », affirmant que des drapeaux à six ou sept mètres de hauteur posent des risques. À Tower Hamlets, à Londres, le maire a promis l’enlèvement immédiat des Union Jacks. Des écoles sanctionnent même des enfants pour porter des vêtements aux couleurs de l’Union Jack. Le mouvement s’est étendu à l’Écosse, où de très nombreux drapeaux flottent à Glasgow avec des slogans clamant que si afficher son drapeau devient subversif, c’est que le pays est sous emprise étrangère. Un militant déclare : « Aux États-Unis, personne ne s’offusque de voir flotter les étoiles et les bandes à chaque coin de rue. Pourquoi en Grande-Bretagne devrait-on s’excuser de brandir ses propres couleurs ? » Les participants insistent : aimer son pays n’est ni un crime ni une idéologie extrême.
L’extension en Allemagne et en Europe : un front uni contre la dilution globale
En Allemagne, les citoyens installent des drapeaux sur balcons et fenêtres, organisant des rassemblements pour protéger leur souveraineté. Des actions similaires sont notées sur les réseaux sociaux, avec des patriotes défilant pour contrer une mondialisation qui érode l’homogénéité culturelle. Au Japon, des défilés avec l’étendard national visent à préserver l’identité locale. En Australie, des manifestations massives à Brisbane voient des foules brandir le drapeau national, réclamant un arrêt des flux migratoires qui affaiblissent l’identité locale. Même aux États-Unis, des figures influentes comme Elon Musk ont amplifié le phénomène, atteignant des dizaines de millions de vues.
Ces actions collectives dénoncent une oligarchie qui utilise l’immigration massive comme outil pour diviser les sociétés, effacer les frontières et imposer une « bouillie globale sans âme ».
Les peuples ne sont plus dupes : cette stratégie vise à rendre les nations malléables, prêtes à être remodelées au gré des intérêts d’une élite cosmopolite qui s’enrichit sur le dos des travailleurs locaux. Le mouvement lie ces préoccupations à la colère publique sur les placements massifs d’hôtels pour migrants et à l’incapacité perçue du gouvernement à aborder les préoccupations de la population autochtone.
Arrivée en France : le tricolore comme symbole de libération
En France, le mouvement explose depuis fin août 2025, avec des citoyens installant le drapeau tricolore sur fenêtres, balcons et ponts, lançant des opérations pour pavoiser massivement. C’est un cri de ralliement contre une élite qui impose une Union européenne synonyme de perte de contrôle, de guerre en Ukraine et d’injections obligatoires. Des manifestations géantes sont prévues dans une vingtaine de villes, dont Paris, avec un appel à venir drapeau en main pour chasser les dirigeants actuels. Ce soulèvement lie directement à la sortie de l’UE – le Frexit – comme unique voie pour restaurer la paix, la liberté et la souveraineté.
cri d’alarme ultime contre la brutalisation et la mutation du peuple français, accusant les élites de mener un « populicide » – un effacement délibéré du peuple autochtone au profit d’une substitution démographique.
De Villiers y livre sans filtre sa vision pour redresser le pays, résonnant parfaitement avec les aspirations des participants au mouvement des drapeaux.
Les critiques et les opposants : le rôle de l’extrême gauche et de la mafia mondialiste
Ce mouvement n’est pas sans controverses. Des organisations comme Hope Not Hate, d’extrême gauche et anti-racisme militante, le lient à l’extrême droite, accusant les participants de coopter les symboles nationaux pour provoquer la division. Hope Not Hate est financée par des trusts charitatifs comme le Joseph Rowntree Charitable Trust (£60,000), le Paul Hamlyn Foundation (£585,000), l’Indigo Trust (£3,000), et le Sam and Bella Sebba Charitable Trust, ainsi que par des syndicats ouvriers – souvent alignés à gauche – et des dons individuels. Elle est également liée au Searchlight Educational Trust (renommé plus tard en Hope Not Hate), et des rapports annuels montrent des subventions internes comme £650,000 à Hope Not Hate Limited. Critiquée pour ses liens avec des réseaux globalistes, elle est vue par certains comme complice d’une mafia mondialiste responsable de l’immigration incontrôlée. Cette immigration, outil de division sociale, maintient au pouvoir ces élites et leurs alliés dans les grandes villes françaises et européennes – Paris, Londres, Berlin – où un électorat issu de ces flux vote massivement pour des partis pro-mondialisation, perpétuant un cycle de dépendance et d’effacement culturel.
Hope Not Hate utilise ces fonds pour des campagnes qui, selon les détracteurs, minimisent les préoccupations légitimes sur l’immigration en les qualifiant de racisme. Cette organisation d’extrême gauche, avec ses connexions syndicales et caritatives, incarne pour beaucoup le mépris d’une classe dirigeante déconnectée, paniquée face à un peuple reprenant ses couleurs. En Allemagne, des débats sur l’interdiction de drapeaux arc-en-ciel contrastent avec cette campagne, soulignant une opposition à une diversité imposée qui dilue les traditions nationales.
Vers une reconquête populaire ?
Cette révolution des drapeaux grandit exponentiellement : un drapeau aujourd’hui, des milliers demain. Elle démasque une oligarchie imposant une fusion globale via immigration et effacement des frontières, menaçant les souverainetés. Les peuples refusent cette culpabilisation et cette division, bâtissant un avenir où les nations sont des bastions de liberté. Ce mouvement, un cri de ralliement contre l’occupation invisible, pourrait marquer la fin d’une ère où les élites écrasent les identités au profit d’une uniformité fade. En hissant leurs étendards, les Européens affirment : les nations ne sont pas des reliques, mais des forces vives prêtes à se dresser contre ceux qui les trahissent.
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