Les enfants devraient pouvoir choisir librement leur genre sans limite d’âge selon l’UE

Les enfants devraient pouvoir choisir librement leur genre sans limite d’âge selon l’UE

La nouvelle offensive de l’UE contre l’identité biologique

Dans un monde où les élites supranationales cherchent à remodeler l’humanité à leur image – déracinée, interchangeable et obéissante –, la Commission européenne a franchi une nouvelle ligne rouge avec l’adoption, en octobre 2025, de sa Stratégie pour l’Égalité LGBTIQ+ 2026-2030.

Cette initiative, présentée comme un progrès pour les droits, encourage les États membres à adopter des procédures de reconnaissance légale du genre basées sur l’auto-détermination, sans interventions médicales obligatoires et, surtout, sans restriction d’âge.

En clair : un enfant, quel que soit son âge, pourrait changer de genre sur ses documents officiels sur simple déclaration, sans évaluation médicale ni consentement parental renforcé. Ce n’est pas seulement une attaque contre la famille biologique ; c’est une offensive contre les fondements mêmes de l’identité humaine, niant la réalité biologique au profit d’une fluidité imposée.

L’agenda mondialiste : éradiquer les racines humaines

Les mondialistes, ces architectes d’un ordre global sans frontières ni attaches, poursuivent un agenda clair : éradiquer les racines de l’humanité. D’abord, ils diluent les origines géographiques grâce à la submersion migratoire, transformant l’attachement à sa terre natale en un archaïsme ringard, au nom d’une mobilité forcée et d’une uniformisation culturelle, tout en imposant la religion de la laïcité pour éroder les attaches spirituelles et religieuses qui ancrent les individus dans leur héritage collectif. Ensuite, ils s’en prennent à la parentalité, promouvant des modèles familiaux déconstruits où les liens du sang cèdent la place à des constructions sociales arbitraires. Enfin, ils renient la biologie elle-même : tous les êtres vivants, des plantes aux animaux, ont une appartenance sexuelle déterminée – mâle, femelle, ou hermaphrodite dans de rares cas. L’humain n’échappe pas à cette règle naturelle, pourtant les idéologues du genre prétendent que le sexe est une « expérience » subjective, détachée du corps.

Cette négation n’est pas anodine ; elle vise à produire des individus déconnectés de leur essence, plus faciles à manipuler dans un système où l’obéissance prime sur l’autonomie.

Les troubles de genre : une minorité à traiter avec dignité, pas à imposer aux enfants

Les troubles de l’identité de genre existent, bien sûr, mais ils concernent une extrême minorité – environ 0,6 % de la population selon des études scientifiques robustes. Ces personnes méritent un traitement digne, confidentiel et médicalisé, loin des projecteurs médiatiques qui les instrumentalisent. Eux-mêmes, souvent, réclament la discrétion et se passeraient volontiers de cette publicité contre-productive qui transforme leur souffrance en étendard politique. Mais imposer cela aux enfants ?

Un enfant n’est pas armé pour affronter des interrogations existentielles sur son appartenance sexuelle.

À cet âge, ses préoccupations sont le jeu, l’apprentissage, la découverte innocente du monde – pas les fantasmes torturés d’adultes en crise identitaire. Projeter sur eux ces peurs et ces idéologies, c’est une forme de violence psychologique. Laissez-les vivre, bon sang ! Cette stratégie européenne immonde n’est qu’une boîte de Pandore, conçue pour détruire un peu plus l’humanité, la désarmer émotionnellement et la rendre totalement asservie. Et la prochaine étape ? La légalisation rampante de la pédophilie, sous couvert de « libération sexuelle » pour tous les âges.

Le double standard hypocrite : protection des adultes vs. exposition des enfants

Ce double standard hypocrite est flagrant en France. D’un côté, depuis juillet 2025, la loi impose une vérification d’âge stricte pour les sites pornographiques (reconnaissance faciale via une webcam, transmission d’une pièce d’identité, plateformes digitales), obligeant les adultes à contourner via des VPN pour accéder à du contenu explicite. Résultat : une explosion des ventes de VPN. Proton VPN a enregistré une hausse de 1000 % des inscriptions le jour du blocage de Porn*** en juin 2025, avec des pics similaires chez d’autres fournisseurs comme ExpressVPN et NordVPN. Même l’opérateur Free a offert un VPN gratuit, permettant d’accéder aux sites X sans vérification, ce qui a valu un signalement à l’Arcom pour contournement des obligations légales.

De l’autre côté, les écoles – y compris maternelles – sont poussées à dispenser une éducation sexuelle ouverte, parlant de sexe, de genre et de relations aux tout-petits qui, bien souvent, reviennent choqués à la maison. Des associations comme SOS Éducation et le Syndicat de la Famille dénoncent des contenus inadaptés dans les manuels scolaires et sites agréés par l’Éducation nationale, avec des descriptions graphiques de l’acte sexuel dès le primaire. Les plaintes de parents affluent : en 2024-2025, des polémiques ont éclaté autour de programmes accusés de traumatiser les enfants, comme des sessions en CM2 sur la sexualité jugées « scandaleuses » par SOS Éducation, ou des livres pour enfants traitant de thèmes explicites sans filtre. Des parents en colère, via des collectifs comme Parents en Colère, distribuent des tracts alertant sur ces « dérives », et des enquêtes révèlent que 5 % des élèves signalent des abus après ces cours, soulignant un risque de victimisation. Pourquoi protéger du porno tout en exposant les enfants à des discours sexualisés à l’école ? C’est une incohérence qui masque un agenda : normaliser la précocité sexuelle pour éroder les barrières naturelles.

Les scandales historiques : une complaisance intellectuelle envers la pédophilie

Ce glissement n’est pas nouveau. Rappelons l’intervention scandaleuse de Daniel Cohn-Bendit en 1982 sur Apostrophes, où il décrivait avec enthousiasme la « sexualité d’un gosse » comme « absolument fantastique », évoquant une petite fille de 5 ans le déshabillant comme un « jeu érotico-maniaque ». Cohn-Bendit, figure de Mai 68, avait déjà détaillé dans son livre Le Grand Bazar (1975) des gestes sexuels avec des enfants de 4-6 ans dans un jardin d’enfants alternatif. Gabriel Matzneff, lui, paradait à la télévision en vantant ses relations avec des mineurs, publiant des journaux intimes explicites sans être inquiété, dans une ère de complaisance médiatique. Ces exemples s’inscrivent dans un contexte historique où des intellectuels français défendaient ouvertement la pédophilie au nom de la « libération sexuelle ». La tribune du 26 janvier 1977 dans Le Monde, signée par 69 personnalités dont Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Roland Barthes, Jack Lang (plusieurs fois ministre, dont les portefeuilles de la Culture et de l’Éducation nationale, ainsi que le porte-parole du gouvernement sous François Mitterrand), Bernard Kouchner (Cofondateur de Médecins sans frontières et de Médecins du monde, il a été ministre de différents gouvernements) et Gabriel Matzneff, réclamait la relaxe de trois hommes accusés d’attentats à la pudeur sur mineurs de 13-14 ans, arguant : « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit ! »

Ils affirmaient que les enfants étaient « consentants » et critiquaient la loi comme « désuète ».

Une autre pétition en mai 1977, avec Foucault et Derrida, appelait à décriminaliser les rapports avec mineurs de moins de 15 ans. Ce mouvement, post-Mai 68, confondait pédophilie et homosexualité, promouvant une « aventure pédophilique » comme libération. Des regrets sont venus plus tard : Lang a qualifié sa signature de « connerie » en 2021, lors d’un procès en diffamation où il fut accusé d’ « imposture » et de pensées « immonde ». Cohn-Bendit a admis en 2001 que ses lignes étaient « insoutenables ».

Résister pour sauvegarder l’humanité

Aujourd’hui, cette stratégie de l’UE ravive ces spectres, en encourageant le self-ID sans âge pour les enfants (Cf.: publication de l’Open Democracy –Réseau Soros-), sous peine de sanctions financières pour les États récalcitrants (Cf.: Viktor Orbán). C’est une marche forcée vers un monde où la biologie est niée, les familles dissoutes, et l’humanité réduite à une masse informe. Résistons : protégeons nos racines, nos enfants, notre essence biologique. La boîte de Pandore est ouverte ; refermons-la avant qu’il ne soit trop tard.

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