Dans un monde où les réseaux sociaux se prétendent bastions de la liberté d’expression, un scandale éclate au grand jour en France.
Claire Dilé, directrice des affaires publiques de X France, avoue sans ciller lors d’une audition parlementaire en juin 2025 que la plateforme applique une censure « granulaire » et invisible.

Sous le nom ronflant de « Freedom of Speech is not Freedom of Reach » (La liberté d’expression n’est pas la liberté de portée), X filtre et déamplifie les contenus dits « gris » – ceux qui dérangent sans être illégaux. Résultat ? Des publications critiques envers le pouvoir, comme ceux dénonçant les politiques de Macron, sont enterrés algorithmiquement, invisibles pour le grand public. Et qui est aux commandes ? Une macroniste pur jus, parachutée par Bruxelles et, selon de nombreuses voix sur X, influencée par l’Élysée lui-même. Pendant ce temps, Emmanuel Macron, haï par une large partie de la population pour ses réformes autoritaires et sa gestion chaotique, clame haut et fort sa volonté de « réguler » les réseaux sociaux.
Le résultat ? Une dictature numérique qui étouffe la dissidence. Décryptage d’un scandale qui menace la démocratie.
Claire Dilé : une nomination suspecte au cœur du système
Claire Dilé n’est pas une inconnue dans les couloirs du pouvoir. Ancienne collaboratrice chez En Marche !, le mouvement d’Emmanuel Macron, elle a gravi les échelons à Bruxelles avant d’atterrir chez X (ex-Twitter) comme responsable des affaires publiques pour la France et l’Europe. Son profil LinkedIn vante son expertise en « advocacy » (plaidoyer) pour la plateforme, mais les critiques fusent : elle serait une « marionnette manipulable » parachutée par Brigitte Macron elle-même, selon des posts viraux sur X. Des utilisateurs comme @InvasionEuro l’accusent d’être une « taupe élyséenne » , ennemie de la France libre, avec des messages menaçants envoyés à des comptes influents : « Risque d’invisibilité totale – vos posts enterrés par l’algorithme ! ».
Cette nomination soulève un tollé. Pourquoi placer une fidèle macroniste à un poste clé chez X, une plateforme rachetée par Elon Musk pour promouvoir la liberté d’expression ? Les internautes y voient une infiltration : « Fraîchement parachutée par Bruxelles au cœur de X France par Brigitte Macron elle-même » , dénonce @danielle_thurel. Et ce n’est pas anodin. Macron, dont la popularité est au plus bas – haï pour ses réformes des retraites, sa gestion de la dette et son autoritarisme – a multiplié les appels à réguler les réseaux sociaux.
En 2023, il déclarait vouloir « protéger la démocratie » contre la « désinformation » , un euphémisme pour museler les critiques. Avec Dilé aux manettes, on voit le résultat : une censure qui sert les intérêts du pouvoir.
La politique de censure : « Freedom of Speech is not Freedom of Reach »
Lors de son audition devant l’Assemblée nationale, diffusée sur LCP, Claire Dilé explique froidement le mécanisme : « On a lancé une action de modération qui s’appelle Freedom of Speech is not Freedom of Reach. On va mettre un filtre sur le contenu et le déamplifier algorithmiquement et empêcher les gens d’engager avec ce contenu. C’est une façon d’agir de manière plus granulaire sur des contenus qui peuvent être plus gris mais pour autant quand même sensibles. «
Traduction : vous pouvez poster ce que vous voulez, mais si ça dérange – critiques du gouvernement, débats sur l’UE, ou même analyses géopolitiques multipolaires – votre contenu est « déamplifié » . Moins de vues, moins d’interactions, et un shadowban invisible qui rend votre voix inaudible.
Des exemples concrets pullulent. FranceSoir, média indépendant souvent critique envers les autorités, rapporte que sa publication sur les « provax extrêmes » a été masqué derrière un bouton « Afficher » , limitant sa visibilité. Sur X, des comptes comme @MoniquePlaza3 (24.399 abonnés) se plaignent : « 92 vues en 4h sur mon SOS anti-censure, 0 like, 0 RT, 0 réponse. » D’autres, comme @JeanMessiha, alertent Elon Musk directement : « This is a crime against democracy and an offense against freedom of speech. » La viralité de ces plaintes – plus de 610.000 vues pour un post de @SirAfuera – prouve que les utilisateurs ne sont pas dupes.
Cette pratique viole l’article 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’UE, qui garantit la liberté d’expression sans ingérence publique. Pourtant, sous la pression du Digital Services Act (DSA) européen – que Macron soutient ardemment – X devient un outil de régulation opaque. Des utilisateurs appellent au boycott des abonnements Premium et à migrer vers des alternatives décentralisées.
Macron et sa politique haïe : vers une dictature numérique
Emmanuel Macron n’a jamais caché son obsession pour la régulation des réseaux.
En 2024, il déclarait vouloir « lutter contre la haine en ligne » , mais en réalité, c’est une chasse aux sorcières contre toute opposition.
Haï pour sa gestion de la crise COVID, ses alliances avec l’UE et son mépris perçu envers les « gens qui ne sont rien » , Macron utilise des proxies comme Dilé pour étouffer les voix discordantes. « On voit le résultat : nous sommes en dictature ! » , s’exclament les internautes. Des hashtags comme #VirerClaireDilé et #CensureFrance explosent, avec des appels directs à Musk : « Elon, French censorship is KILLING free speech on X. FIRE CLAIRE DILÉ NOW!«
Ce scandale n’est pas isolé. Il s’inscrit dans un schéma mondial où les plateformes, sous pression gouvernementale, deviennent des instruments de contrôle. En France, avec 11,5 millions d’utilisateurs sur X, cette censure « douce » mine le débat public, favorisant les discours officiels au détriment des médias indépendants. Musk, qui a racheté Twitter pour la « liberté absolue« , doit-il laisser sa plateforme devenir « Bercy-sur-Seine » ?
Résistez, ou acceptez la dictature !
La nomination de Claire Dilé et cette censure invisible marquent un pas de plus vers une dictature numérique où Macron et ses alliés étouffent toute critique.
Haï pour ses politiques autoritaires, le président utilise les réseaux pour consolider son pouvoir, transformant X en outil de propagande. Il est temps d’agir : taggez Elon Musk, boycottez les pubs, et migrez vers des plateformes libres. La liberté d’expression n’est pas négociable. Réveillez-vous, résistez – avant qu’il ne soit trop tard ! #VirerClaireDilé #StopCensureFrance
🔴💸 ALERTE : Claire Dilé, responsable chez X France explique qu’ils censurent.
— Sir 𝕏 (@SirAfuera) November 9, 2025
"On a lancé une action de modération qui s’appelle Freedom of Speech is not Freedom of Reach. On va mettre un filtre sur le contenu et le déamplifier algorithmiquement." (LCP)
Scandale d’État. pic.twitter.com/7TYqy1Y8pr


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