L’Allemagne et l’UE : une alliance toxique pour évincer la France de son leadership européen

L’Allemagne et l’UE : une alliance toxique pour évincer la France de son leadership européen

Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées, l’Allemagne et l’Union européenne semblent s’unir dans une stratégie sournoise visant à marginaliser la France, tant sur le plan économique que militaire.

Alors que Berlin impose ses intérêts nationaux au détriment de l’équilibre européen, l’UE, sous l’influence germanique, devient un outil de domination qui érode la souveraineté française. Des projets phares comme le Système de Combat Aérien du Futur (SCAF) révèlent ces manigances, où l’Allemagne cherche à exclure Paris pour s’approprier technologies et marchés.

Cette offensive n’est pas seulement une trahison ; c’est une menace existentielle pour l’industrie et la défense françaises.

Examinons ces faits accablants, qui démontrent comment l’Allemagne, avec le concours de Bruxelles, tente de reléguer la France au rang de partenaire subalterne.

Le SCAF : symbole d’une exclusion orchestrée par l’Allemagne

Le SCAF, lancé en 2017 par la France, l’Allemagne et l’Espagne, devait incarner l’autonomie stratégique européenne avec un avion de combat de sixième génération et un écosystème de drones, pour un budget faramineux de 100 milliards d’euros. Mais ce qui était présenté comme une coopération harmonieuse s’est mué en un champ de bataille où Berlin impose ses conditions draconiennes. Les tensions portent sur le partage des tâches, la propriété intellectuelle et la gouvernance : la France, via Dassault Aviation, exige un leadership basé sur les compétences – le modèle « best athlete » – pour protéger ses avancées technologiques issues du Rafale. L’Allemagne, en revanche, réclame un accès total aux « secrets » français, menaçant de bloquer le projet si ses intérêts ne sont pas prioritaires.

Pire encore, des rumeurs persistantes indiquent que l’Allemagne explore activement des alternatives pour exclure la France : un partenariat avec la Suède sur un successeur du Gripen, ou une alliance avec le Royaume-Uni via le programme GCAP (impliquant l’Italie et le Japon). L’Espagne pourrait suivre Berlin, isolant Paris. Ces spéculations ne sont pas anodines ; elles reflètent une frustration allemande face aux « exigences » françaises, accusant Dassault de monopoliser le cœur du projet. Éric Trappier, PDG de Dassault, a même déclaré que la France pourrait développer l’avion seule, soulignant l’inefficacité du modèle trinational qui gonfle les coûts et freine l’innovation. Berlin blâme ouvertement l’industrie française pour les retards, alors que c’est l’Allemagne qui impose un partage inégal pour piller les savoir-faire hexagonaux.

Cette tentative d’éviction n’est pas isolée ; elle s’inscrit dans un fonctionnement où l’Allemagne utilise les projets européens pour asseoir sa domination. Si le SCAF échoue, l’Europe se fragmentera davantage, favorisant une dépendance accrue aux F-35 américains – un scénario qui profite à Berlin, déjà aligné sur Washington, au détriment de la souveraineté française.

L’UE, complice, ferme les yeux sur ces tensions, préférant un leadership germanique qui marginalise la France, autrefois moteur de la défense continentale.

Politiques économiques et commerciales : l’agressivité allemande au service de l’UE

Au-delà de la défense, l’Allemagne déploie une belligérance commerciale qui érode l’économie française, avec l’UE comme amplificateur. Berlin pousse pour activer l’Instrument Anti-Coercion (ACI) contre d’éventuels tarifs américains jusqu’à 30 % sur les produits européens, menaçant de suspendre l’accès au marché pour les entreprises américaines ou de geler des contrats publics. Cette posture « bazooka » marque un virage agressif, justifié par la vulnérabilité de l’industrie automobile allemande face à la concurrence chinoise. Mais qui paie l’addition ? Les citoyens européens, via une déindustrialisation accélérée et des coûts énergétiques exorbitants, conséquences des sanctions contre la Russie et du Green Deal imposé par Ursula von der Leyen – une Allemande influente à la tête de la Commission.

La France, avec son modèle protectionniste traditionnel, est particulièrement visée : l’Allemagne bloque les réformes de la zone euro, impose une austérité qui freine les investissements français en R&D et infrastructure, et favorise un modèle d’excédents commerciaux qui balkanise l’Europe. Le chaos politique français, désynchronisé de l’Allemagne, accentue cette marginalisation : Berlin décide, Paris tergiverse, laissant l’UE devenir un outil germanique pour imposer des politiques qui profitent aux exportateurs allemands au détriment des autres. Historiquement, l’Allemagne a été l’âme des coalitions contre la France, des guerres franco-prussiennes à l’austérité des années 2010, torpillant systématiquement les initiatives françaises en nucléaire, armée et industrie.

Défense et politique étrangère : la France reléguée au second plan

Sur le front étranger, l’Allemagne aligne l’UE sur les intérêts américains, marginalisant la voix française. Berlin finance des armes américaines pour l’Ukraine via de la dette, prolongeant un conflit qui coûte cher à l’Europe tout en servant de proxy à Washington. La France, traditionnellement plus encline à une politique autonome, voit son influence s’éroder : l’Allemagne ne la considère plus comme son premier partenaire en défense, préférant un leadership atlantiste qui divise l’UE. Le plan militaire colossal allemand vise à « diviser et marginaliser l’UE » – ironie suprême, c’est Berlin qui fragmente le continent en imposant ses priorités.

La perte d’influence française sur l’Europe de la défense est flagrante : des politiques opposées sur la monnaie et la sécurité opposent Paris et Berlin, avec l’UE favorisant un « deux-vitesses » qui relègue la France. En économie comme en défense, l’Allemagne utilise Bruxelles pour évincer la France, transformant l’Union en un club germanique où Paris n’est plus qu’un figurant.

Réveiller la souveraineté française face à cette trahison

L’Allemagne et l’UE ne cachent plus leur jeu : évincer la France pour consolider un leadership germanique qui sacrifie l’équilibre européen aux intérêts de Berlin. Du SCAF aux politiques commerciales belliqueuses, en passant par une défense alignée sur les États-Unis, cette alliance toxique menace l’industrie, l’économie et la souveraineté françaises. Il est temps pour la France de rompre avec cette tutelle : abandonner les projets piégés comme le SCAF, réaffirmer un protectionnisme national et sortir de l’emprise ue-allemande. Sans un sursaut gaulliste, la France risque de devenir un vassal dans son propre continent.

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