Macron détourne l’armée : des généraux promus pour imposer la guerre !

Macron détourne l’armée : généraux promus pour imposer la guerre !

Emmanuel Macron a franchi une ligne rouge historique : il transforme l’institution militaire française en outil personnel, en milice au service de sa vision belliciste.

Par un système de promotions éclairs et de fidélités exigées, il place à la tête des armées des officiers généraux dont la fonction est ouvertement détournée : au lieu de défendre la Nation avec impartialité, ils deviennent les porte-voix d’une propagande guerrière destinée à terroriser les Français et à légitimer une escalade mortelle en Ukraine.

Le cas Fabien Mandon : l’archétype du général « macronisé »

Nommé chef d’état-major des armées (CEMA) le 1er septembre 2025, le général d’armée aérienne Fabien Mandon incarne à la perfection ce détournement de fonction.

  • Mai 2023 : il devient chef d’état-major particulier du président de la République (c’est-à-dire le conseiller militaire le plus proche d’Emmanuel Macron, celui qui porte la mallette nucléaire).
  • En à peine deux ans, il passe de général de division à général d’armée aérienne (cinq étoiles), une ascension fulgurante inédite pour un aviateur.
  • Juillet 2025 : il est directement nommé CEMA par décret présidentiel, sans que le ministre des Armées Sébastien Lecornu n’ait apparemment son mot à dire (plusieurs sources internes parlent d’un « parachutage » imposé par l’Élysée).

Ce n’est plus une promotion pour mérite opérationnel : c’est une récompense pour loyauté absolue. Mandon n’est plus un chef militaire indépendant ; il est l’exécuteur des volontés présidentielles.

Sa mission républicaine – conseiller avec objectivité, préserver le devoir de réserve – est détournée au profit d’une communication de guerre.

Une cascade de promotions suspectes : le tableau des généraux « récompensés »

Depuis 2022, une vague anormale de promotions rapides frappe les officiers proches du pouvoir :

officiers généraux

Ces promotions interviennent systématiquement après des déclarations publiques alignées sur la ligne macronienne : soutien à l’envoi de SCALP, Mirage, instructeurs au sol, etc. À l’inverse, les officiers critiques (comme le général Dominique Delawarde ou Vincent Arbaretier, mis en retraite d’office) sont écartés sans ménagement.

Le discours du 18 novembre 2025 : un sommet d’effroi organisé

Devant 8.000 maires de France, Fabien Mandon déclare :

« Il faudra restaurer cette force d’âme qui accepte de se faire mal pour protéger ce que nous sommes. […] Accepter de perdre des vies, oui, accepter de perdre nos enfants. »

Ces mots ne sont pas improvisés. Ils arrivent :

  • 48 heures après une nouvelle annonce macronienne sur l’« effort de guerre »,
  • en pleine campagne médiatique pour faire accepter l’idée d’instructeurs français en Ukraine,
  • alors que l’Élysée prépare un projet de loi sur la « résilience nationale » (réquisitions, service national rétabli, etc.).

Réactions immédiates :

  • Ségolène Royal : « Propos totalement délirants d’un général qui devrait se taire. »
  • Sébastien Chenu (RN) : « Faute gravissime. »
  • Jean-Luc Mélenchon : « Un militaire n’a pas à terroriser la population. »
  • Fabien Roussel : « Irresponsable et indigne. »
  • Même à droite, Éric Ciotti parle de « dérapage inacceptable ».

Pourtant, aucune sanction. Au contraire : l’Élysée et Matignon défendent Mandon, accusant les critiques de « faiblesse face à Poutine ». Preuve que le discours était validé, sinon commandité.

Un schéma récurrent : les généraux envoyés au front médiatique

Depuis février 2024 :

  • Janvier 2025 : le général Mille (CEMAA) déclare que « la France doit se préparer à un conflit de haute intensité d’ici 2030 ».
  • Mars 2025 : l’amiral Vaujour affirme que « la marine russe est une menace directe pour nos câbles sous-marins ».
  • Septembre 2025 : le général Burkhard (ex-CEMA) publie une tribune dans Le Figaro : « La guerre est déjà là, elle est hybride et totale. »

Tous ces officiers ont un point commun : promotions accélérées et accès privilégié à l’Élysée.

Le déni de démocratie absolu

  • Aucune consultation du Parlement sur l’envoi potentiel de troupes.
  • Aucun débat sur le réarmement massif (loi de programmation militaire 2024-2030 votée en procédure accélérée).
  • Le Conseil de défense devient une chambre d’enregistrement des décisions présidentielles.
  • Les généraux critiques sont muselés (retraite forcée, mises à l’écart).

L’armée n’est plus l’armée de la Nation : elle est l’armée d’un homme.

Le danger mortel pour la paix

En désignant la Russie comme « adversaire principal » et en évoquant ouvertement la « perte de nos enfants », ces généraux détournés de fonction légitiment une escalade qui pourrait dégénérer en conflit nucléaire. La France n’est pas menacée d’invasion. Aucun char russe ne traverse l’Europe de l’Est pour atteindre Paris (La Russie est 27 fois plus grande que la France et 4 fois plus grande que toute l’UE : elle n’a nullement besoin d’espace supplémentaire -surpeuplé qui plus est). Pourtant, on prépare les esprits à des sacrifices massifs pour un conflit par procuration.

Le refus massif et transpartisan des Français

Les sondages sont accablants et constants depuis 2024 :

Sondages

Ce refus transcende les clivages :

  • 89 % chez les électeurs LFI
  • 81 % chez les électeurs RN
  • 74 % chez les électeurs Renaissance (sic)

Dans la rue, les appels à manifester pour la paix se multiplient ainsi que lespétitions.

En Europe, même dynamique : manifestations massives en Allemagne (100.000 à Berlin en février 2025), grèves en Italie contre les livraisons d’armes, Viktor Orbán et Robert Fico qui bloquent les décisions les plus extrêmes à Bruxelles.

Emmanuel Macron a détourné l’armée française en instrument de sa politique guerrière personnelle. Par des promotions éclairs, il a acheté la loyauté de généraux dont la fonction est désormais de terroriser les Français plutôt que de les protéger.

Ce n’est plus de la défense nationale. C’est du putsch rampant habillé en « réarmement moral ».
Les Français, comme les peuples européens, hurlent leur refus. Ils ne veulent pas mourir pour Kiev, pour Washington ou pour les rêves de grandeur d’un président déconnecté. L’armée doit redevenir républicaine. Les généraux doivent retrouver leur devoir de réserve. Et la paix doit redevenir la priorité absolue.
Le peuple refuse de suivre ces va-t-en-guerre en uniforme. Et il le fera savoir, dans la rue s’il le faut.

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