Aïe caramba, encore raté !!

Aïe caramba, encore raté !!

Le 10 septembre 2025, la France a été le théâtre d’une mobilisation nationale baptisée « Bloquons Tout ! », un cri de colère contre les politiques du gouvernement Bayrou, accusé de creuser les inégalités fiscales en épargnant les grandes fortunes tout en imposant des sacrifices aux classes moyennes et populaires. Dès ses prémices, ce mouvement citoyen, initialement porté par une indignation populaire spontanée, a été récupéré par l’extrême gauche, transformant des revendications légitimes en un chaos orchestré qui a saccagé, comme à son habitude, les centres-villes de nombreuses grandes villes françaises.

Inspiré du style des Gilets Jaunes, il a réuni entre 175.000 et 200.000 participants à travers le pays, avec 550 rassemblements et 262 blocages, perturbant transports et circulation, mais au prix d’incidents violents et de divisions idéologiques profondes.

Un parallèle évident avec les gilets jaunes : de l’élan populaire au détournement violent

Ce scénario rappelle irrésistiblement le mouvement des Gilets Jaunes de 2018, qui avait débuté comme une révolte spontanée contre la hausse des prix du carburant et les difficultés économiques des Français ordinaires, avec un soutien massif de l’opinion publique. À l’origine, des rassemblements pacifiques et festifs sur les ronds-points symbolisaient une colère authentique contre les élites urbaines. Mais rapidement, des groupes d’extrême gauche, comme les antifas et les black blocs, ont infiltré les cortèges, déviant les revendications vers des thèmes idéologiques tels que l’anti-capitalisme, la dénonciation du racisme et de la violence policière, éloignés des préoccupations initiales des citoyens. Ce détournement a conduit à une escalade de la violence, avec des rues incendiées et des vitrines brisées dans des villes comme Paris, transformant une protestation légitime en anarchie perçue, et faisant chuter le soutien populaire. L’extrême gauche a ainsi saccagé l’image du mouvement, diluant sa force originelle et le discréditant aux yeux de l’opinion. De la même manière, « Bloquons Tout ! » a vu ses blocages de routes et de transports publics dégénérer en échauffourées, avec 473 interpellations nationales, dont 203 à Paris, et des dispersions musclées par les forces de l’ordre. Les centres-villes de Paris, Lille, Rennes et d’autres métropoles ont subi des dégradations, des jets de projectiles et des gaz lacrymogènes, confirmant le modèle destructeur de ces récupérations politiques.

Des drapeaux Palestiniens au lieu de tricolores : la main-mise de LFI

Un détail symbolique saute aux yeux dans les cortèges : l’absence quasi totale de drapeaux français, remplacés par une profusion de drapeaux palestiniens flottant au vent. Cette omniprésence d’un symbole étranger dans une manifestation censée défendre les intérêts des Français ordinaires illustre parfaitement la main-mise de La France Insoumise (LFI) et de ses alliés sur le mouvement. Au lieu de brandir le bleu-blanc-rouge pour unir autour de revendications nationales comme les inégalités fiscales, les manifestants ont détourné l’événement vers des causes internationales, diluant encore plus l’essence citoyenne du « Bloquons Tout ! ». Ironie amère : on voit plus de solidarité avec des conflits lointains qu’avec les souffrances quotidiennes des classes moyennes françaises, prouvant une fois de plus comment l’extrême gauche impose son agenda idéologique et son fond de commerce.

Une sécurisation colossale pour l’Élysée : le courage en paroles de macron

Face à cette mobilisation, les autorités ont déployé des moyens considérables pour sécuriser l’Élysée, avec pas moins de 80.000 policiers et gendarmes mobilisés à travers le pays, dès la veille au soir, pour protéger des sites symboliques et prévenir toute escalade. Ce dispositif massif rappelle les craintes d’un assaut sur le palais présidentiel, comme lors des Gilets Jaunes. À l’époque, en 2018, Emmanuel Macron avait lancé un défi bravache : « Qu’ils viennent me chercher !« , une phrase prononcée avec assurance pour défier les manifestants. Mais derrière cette bravade, la réalité était bien différente : un hélicoptère était prêt à l’exfiltrer de l’Élysée lors de l’acte du 8 décembre 2018, révélant un courage plus verbal que concret. Sept ans plus tard, sous Bayrou, le même réflexe sécuritaire domine, transformant le siège de la présidence en forteresse imprenable. On ironisera sur ce « venez me chercher » qui sonne creux quand les blindés et les CRS forment un rempart impénétrable grâce, notamment, aux nouveaux chars d’assaut du gouvernement, les Centaures (90 véhicules commandés par la Gendarmerie nationale).

Centaure VIPG de la Gendarmerie Nationale

Un mot d’ordre initial oublié : l’appel au boycott

Dès le lancement du mouvement, un mot d’ordre clair avait été donné : « ne pas consommer, ne pas payer en cartes bancaires, restez chez vous », visant à priver les banques de commissions et à ralentir l’économie sans violence physique. Des initiatives locales, comme des remises pour paiements en espèces chez certains commerçants, ont émergé, mais l’impact global a été nul. Les banques ont rapporté une activité « tout à fait normale », sans recul notable des transactions par carte, confirmant que cet appel au boycott n’a pas été massivement suivi. Finalement, les Français ont préféré manifester dans la rue plutôt que de s’isoler chez eux, rendant cet aspect du mouvement inopérant.

En conclusion, tout ça pour rien. Malgré les perturbations et les saccages, le « Bloquons Tout ! » n’a pas ébranlé le gouvernement, dilué par des récupérations idéologiques et des symboles détournés, laissant une colère citoyenne intacte mais inaboutie.

Pourtant, la pression monte tout de même inexorablement et les Français ne se sentent pas écoutés.

Des blindés devant l’Élysée…

Les éternels ANTIFAS (milice violente d’extrême-gauche) s’en prennent à une jeune femme qui agite un drapeau français.
Le mode opératoire, toujours le même et savamment répété lors de leurs réunions préparatoires, consiste à haranguer la personne en lui criant « Tout le monde déteste les fachos ! » Ici à Montpellier (34).

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