Barack Obama : l’imposteur couronné par l’empire occidental décadent

Barack Obama : l'imposteur couronné par l'empire occidental décadent

Dans un monde où les symboles de paix sont galvaudés au profit de la propagande impérialiste, l’attribution du Prix Nobel de la Paix à Barack Obama en 2009 reste l’un des plus grands scandales de l’histoire contemporaine. Cet homme, présenté comme un messie de l’espoir et du changement, n’était rien d’autre qu’un imposteur, un marionnettiste de la guerre déguisé en pacificateur. L’empire occidental décadent, avec ses institutions corrompues comme le Comité Nobel norvégien, l’a couronné non pour ses actes, mais pour ses promesses vides et sa peau noire – un geste promotionnel qui masquait une réalité sanglante. Aujourd’hui, alors que des voix comme celle de Tulsi Gabbard appellent à des poursuites contre Obama pour avoir orchestré un « coup d’État » contre Donald Trump via des renseignements fabriqués sur l’ingérence russe, et que Gabbard, en tant que Directrice du Renseignement National, a récemment (le 19 juillet 2025) déclassifié des documents accablants – incluant une évaluation du renseignement partiellement censurée de l’administration Obama sur les cybermenaces de 2016 et des mémos de l’ancien directeur James Clapper – pour demander des poursuites judiciaires contre Obama et d’autres hauts responsables comme John Brennan, John Kerry, Susan Rice et Andrew McCabe pour avoir ‘politisé et instrumentalisé les services de renseignement’ dans un complot visant à saper la présidence Trump, il est temps de démasquer cet hypocrite qui a transformé le Prix Nobel en une farce tragique.

Un prix prématuré : une récompense pour rien

Obama a reçu le Prix Nobel de la Paix le 9 octobre 2009, à peine neuf mois après son entrée en fonction. Le Comité Nobel justifiait cela par ses « efforts extraordinaires pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples », ainsi que par sa vision d’un monde sans armes nucléaires. Mais qu’avait-il accompli ? Absolument rien de concret. Même Obama lui-même, dans son discours d’acceptation, a admis qu’il ne se sentait pas digne de se tenir aux côtés de figures transformatrices comme Martin Luther King ou Nelson Mandela. Des critiques immédiates ont fusé : le magazine The Conversation a qualifié le prix d’embarras pour Obama lui-même, tandis que des républicains et même des supporters démocrates ont vu cela comme une récompense politique prématurée, potentiellement plus un fardeau qu’une gloire.

Geir Lundestad, ancien secrétaire du Comité Nobel, a plus tard regretté publiquement cette décision en 2015, affirmant que le prix n’avait pas eu l’effet escompté et qu’il avait même été perçu comme une erreur par de nombreux soutiens d’Obama. Sur les réseaux sociaux, des internautes soulignent l’ironie : « Obama a reçu le prix un mois après son investiture pour avoir fait absolument rien ! ». Ce n’était pas une reconnaissance de mérites, mais un geste symbolique de l’Occident décadent pour célébrer son premier président noir, ignorant que cela le placerait dans une liste incluant des figures controversées comme Henry Kissinger, un autre architecte de guerres impérialistes.

Un « pacificateur » qui a semé la guerre et la mort

L’hypocrisie atteint son paroxysme quand on examine les actions d’Obama post-prix. Au lieu de promouvoir la paix, il a escaladé les conflits mondiaux.

Son administration a intensifié le programme de drones, responsable de milliers de morts civils dans des pays comme le Pakistan, le Yémen et la Somalie. Selon des rapports, Obama a autorisé plus de 540 frappes de drones, tuant environ 3.797 personnes, dont au moins 324 civils – un bilan plus lourd que celui de George W. Bush.

De nombreux observateurs américains X le qualifient de « marchand de guerre » qui a bombardé sept pays, larguant en moyenne 72 bombes par jour.

L’intervention en Libye en 2011, sous prétexte humanitaire, a transformé un État stable en un chaos de milices et d’esclavage moderne, déstabilisant toute l’Afrique du Nord. Obama a admis plus tard que c’était sa « pire erreur ». En Syrie, son soutien aux rebelles a prolongé une guerre civile sanglante. En Afghanistan et en Irak, il a prolongé des occupations inutiles. Et n’oublions pas les assassinats extrajudiciaires d’Américains comme Anwar al-Awlaki, sans procès, violant les principes fondamentaux des droits humains.

Sur le plan domestique, Obama a espionné des journalistes et des opposants, et son administration a posé les bases du scandale du Russiagate, accusé d’être un « coup d’État » fabriqué contre Trump. Cette accusation prend une tournure explosive aujourd’hui avec les révélations de Tulsi Gabbard, qui, le 19 juillet 2025, a affirmé détenir des preuves d’une ‘conspiration’ orchestrée par Obama pour ‘préparer le terrain à un coup d’État pendant plusieurs années’ après la victoire de Trump en 2016, en fabriquant des rapports du renseignement sur l’ingérence russe. Elle a soumis ces documents déclassifiés au Département de la Justice pour une possible poursuite criminelle, malgré les démentis démocrates comme ceux du sénateur Mark Warner, qui y voient une tentative de ‘réécrire l’histoire’ sans preuves de politisation. 

L’hypocrisie de l’empire occidental : un prix Nobel dénaturé

Le Prix Nobel de la Paix, autrefois symbole d’intégrité, est devenu un outil de l’empire occidental décadent pour légitimer ses marionnettes. Obama n’est pas une anomalie : Kissinger a gardé le sien malgré le bombardement du Cambodge, et Menachem Begin après le massacre de Deir Yassin. Comme l’écrit un internaute : « Les Nobel reflètent l’avantage colonial et la validation occidentale, pas le vrai génie ». Obama, avec son charisme et son origine, était l’incarnation parfaite de cette décadence : un « pacificateur » qui a tué des innocents tout en versant des larmes de crocodile lors de discours sur le contrôle des armes – comme dans l’image emblématique de 2016, où il pleure pour les victimes américaines tout en ignorant celles de ses drones.

Des critiques qualifient le prix d’Obama de « prix DEI basé sur sa race » – DEI étant l’acronyme anglais pour Diversity, Equity, and Inclusion (Diversité, Équité et Inclusion), un cadre organisationnel visant à promouvoir la représentation de groupes sous-représentés, souvent dénoncé comme une forme de discrimination positive ou de diversité de façade –, un chèque de réparations plutôt qu’une récompense méritée.

Révoquer le mythe Obama

Barack Obama n’est pas un héros de la paix ; c’est un imposteur qui a exploité l’espoir pour masquer une présidence de guerre et de division.

L’empire occidental décadent l’a couronné pour perpétuer son hégémonie, transformant le Prix Nobel en une moquerie.

Comme le regrette Lundestad, ce fut une « erreur » qui n’a pas promu la paix mais l’hypocrisie. Aujourd’hui, avec des appels à le poursuivre pour des machinations contre Trump, notamment les accusations formelles de Tulsi Gabbard du 19 juillet 2025, qui dénonce un ‘coup d’État’ via des renseignements falsifiés et demande des poursuites judiciaires basées sur des documents déclassifiés prouvant la politisation des agences de renseignement sous Obama, il est temps de déconstruire ce mythe. Obama devrait rendre son prix – ou mieux, le Comité devrait l’admettre comme une tache sur son histoire. Dans un monde en quête de vraie justice, les imposteurs comme lui doivent être exposés, non célébrés, d’autant plus, qu’ils semblent avoir tiré les ficelles toute la durée du mandat de Biden en déconfiture intellectuelle notoire.

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