Confiscation des avoirs russes : la France joue avec le feu

Confiscation des avoirs russes : la France joue avec le feu

L’Assemblée nationale française a voté majoritairement – 288 pour, 54 contre – pour confisquer les avoirs russes gelés et les jeter dans le brasier ukrainien. Sous le regard impavide de Yaël Braun-Pivet, Paris a cru frapper un grand coup contre Moscou. Erreur tragique. Cette résolution, même non contraignante, est une déclaration de guerre économique qui pourrait réduire l’économie française en cendres, fracturer l’Europe et nous précipiter tous dans un chaos géopolitique irréversible. Pendant que les parlementaires se gargarisent de leur « solidarité », les conséquences s’annoncent cataclysmiques. Voici le futur que ces irresponsables viennent de nous léguer.

Une économie française au bord de l’abîme

Saisir les 230 milliards d’euros d’actifs russes prétendument hébergés en France ? Un rêve de justicier qui tourne au cauchemar économique. Florian Philippot a raison de crier à la « honte » : ce vote hurle au monde que la France n’est plus un sanctuaire pour les investisseurs. Si Paris peut piller des fonds souverains sous couvert de vertu, qui osera encore placer un centime dans une nation où le droit de propriété devient une blague ? La Chine, avec ses 1 000 milliards d’euros de réserves en Europe, l’Arabie saoudite, les fonds souverains asiatiques – tous pourraient fuir, déclenchant une hémorragie financière.

Les retombées ? Une crise de confiance dans l’euro, déjà à bout de souffle avec des taux à 3,51 % pour les obligations françaises, et une dette publique (110 % du PIB) qui deviendra insoutenable. Les banques françaises, exposées via Euroclear, risquent des pertes colossales si Moscou contre-attaque en saisissant les actifs européens en Russie – estimés à 288 milliards par le Kremlin. TotalEnergies, Renault, déjà fragilisés, pourraient être rayés du marché russe. Et les Français ? Préparez-vous à des hausses d’impôts, des coupes dans les services publics, et une inflation dopée par la panique. Les 288 députés mondialistes viennent de vendre votre avenir pour une poignée d’applaudissements.

L’Europe : un château de cartes prêt à s’effondrer

Ce vote n’est pas qu’une folie française : il menace de faire imploser l’Union européenne. Les 300 milliards d’euros gelés par le G7 et l’UE, concentrés chez Euroclear en Belgique, sont une patate chaude que Paris veut maintenant dévorer. Mais l’unité européenne, déjà fissurée, ne tiendra pas. L’Allemagne, prudente sur une confiscation totale, pourrait claquer la porte ; la Hongrie et la Slovaquie, souverainistes prudentes, bloqueront toute action concrète. Pendant ce temps, la Pologne et les Pays Baltes, hystérisés à l’extrême, pousseront pour une escalade que l’UE, sans armée crédible ne peut assumer.

Et si ça passe ? La Russie ripostera – saisie des actifs occidentaux, coupure des dernières livraisons de gaz ou de matières premières cruciales, la liste n’est pas exhaustive. Les pays de l’Est, en première ligne, deviendront des champs de bataille économiques, tandis que l’Allemagne, dépendante des exportations, plongera dans la récession. L’UE, au lieu de « punir » Moscou, s’autodétruira, laissant la Grande-Bretagne, hors du jeu, ramasser les miettes en attirant les investisseurs effrayés par ce Far West juridique.

Une escalade géopolitique explosive

Sur la scène mondiale, ce vote est un baril de poudre avec la mêche allumée. Macron, qui, il y a peu, affirmait que saisir les avoirs violait le droit international, a cédé aux sirènes bellicistes. Mauvais calcul. Moscou, avec ses 5 000 ogives nucléaires et une économie dopée à 6,7 % de son PIB pour la guerre, ne pliera pas : elle frappera là où ça fait mal. Une offensive accrue en Ukraine ? Des missiles sur des dépôts d’armes occidentaux ? Une alliance militaire avec la Chine, furieuse de voir ses propres réserves menacées ? Tout est sur la table. La France, qui fanfaronne avec son « parapluie nucléaire » (290 ogives), deviendra une cible prioritaire dans une guerre qu’elle n’a ni les moyens ni la possiblité de mener.

Trump, lui, regarde en riant. Avec son « plan de paix » en gestation – un cessez-le-feu laissant la Russie victorieuse –, il pourrait abandonner l’Ukraine et l’UE à leur sort, renforçant son isolationnisme. L’Europe, divisée et affaiblie, deviendra un pion inutile dans un monde dominé par Washington, Moscou et Pékin.

La France au bord de la révolte

À l’intérieur, ce vote est la goutte d’eau qui va faire déborder le vase. Le Rassemblement national, en s’abstenant, et la gauche, en votant contre, ont flairé le vent : les Français n’en peuvent plus de payer pour une guerre qui n’est pas la leur. Sur X, les réactions fusent : « On vole les Russes, et nous, on crève » ; « Macron vend la France à Zelensky ». Les classes moyennes, étranglées par la vie chère, pourraient rallumer les Gilets jaunes – imaginez des manifs monstres contre un gouvernement qui préfère Kiev à ses hôpitaux. Bayrou, déjà chancelant, et Macron, obsédé par sa grandeur, risquent de tomber sous la colère populaire.

Quelles conséquences pour ce vote ?

Dans un an, voici le tableau prévisible : l’euro s’effondre sous la défiance, les investisseurs désertent, la Russie met un embargo sur ses exportations vitales, et des émeutes éclatent à Paris, Berlin, Varsovie… L’UE, incapable de s’entendre sur l’usage des fonds confisqués (armement ? reconstruction de l’Ukraine ?), s’enlise dans des querelles. La Roumanie, au bord de la guerre civile après l’éviction du candidat populiste Georgescu, inspire une vague protestataire – Italie, Hongrie, France, Allemagne, Espagne, Portugal, Pays-Bas… basculent dans le camp souverainiste. L’Europe, au lieu de triompher, devient une mosaïque de nations brisées, vulnérables face à un monde qui ne l’attend plus.

Un acte de folie collective

Ce vote du 12 mars n’est pas un « soutien héroïque » à l’Ukraine : c’est une roulette russe avec cinq balles dans le barillet. La France, en pionnière de cette confiscation, risque l’effondrement économique, l’isolement diplomatique et la révolte interne. L’Europe, en suivant, signe sa désintégration. Les 288 parlementaires ont cru écrire l’Histoire ; ils viennent d’allumer la mèche d’un désastre.
Si personne ne stoppe cette folie, attendez-vous à en payer le prix – et il sera exorbitant.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

NOUS CONCERNANT
NOUS CONCERNANT
MultiPol 360
À l’heure où tout semble s’effondrer dans les sociétés humaines et où ceux qui prônaient un Nouvel Ordre Mondial unipolaire découvrent avec rage que la majorité des peuples du monde n’acceptent plus la dictature occidentale, notre équipe a décidé de vous présenter ce monde en mutation en analysant les faits principaux qui sont soit occultés soit manipulés par les médias aux ordres. Nous couvrons l’essentiel de l’actualité française et internationale sans que vous perdiez votre temps à chercher parmi les milliers d’informations qui nous sont proposées chaque jour. Aujourd’hui, ceux qui veulent s’informer pour approcher la vérité et résister à la désinformation du Système ont un nouvel outil à leur disposition : Il s’appelle MultiPol360. Nous sommes heureux de le mettre à votre disposition. Bienvenue dans le monde multipolaire de demain !

NOS CONSEILS DE LECTURE

Vous y trouverez des conseils de lecture qui vous aideront à mieux comprendre les enjeux de la géopolitique et des interactions qui gouvernent notre monde.