Nous sommes le 11 mars 2025, et une bombe vient d’exploser dans le monde médical, larguée par nul autre que le Dr. Robert R. Redfield, ex-directeur du CDC. Dans une interview au podcast MAHA Initiative, ce virologue respecté a lâché une vérité que les élites globalistes – de Washington à Bruxelles, en passant par Paris – ont tout fait pour étouffer : le « Covid long » n’est, dans bien des cas, qu’un écran de fumée pour masquer les ravages des vaccins à ARNm. Pendant que les victimes s’entassent, les coupables – ces technocrates sans âme et leurs alliés pharmaceutiques – se pavanent, protégés par une immunité juridique scandaleuse. En France, Agnès Buzyn, Olivier Véran et Jérôme Salomon portent une part écrasante de ce crime contre l’humanité.
Une vérité qui dérange : les vaccins, pas le virus
Depuis qu’il a quitté le gouvernement américain en janvier 2021, Redfield soigne des patients dans son cabinet. Et ce qu’il voit est terrifiant : une vague de malades étiquetés « Covid long » – fatigue chronique, brouillard mental, douleurs musculaires – qui, en réalité, traînent des lésions causées par les injections à ARNm. « Ces gens ne souffrent pas du Covid, mais d’une blessure vaccinale », assène-t-il, brisant le mur de silence érigé par les autorités. Des années de propagande ont convaincu le monde que ces symptômes étaient la faute d’un virus insidieux, mais Redfield remet les pendules à l’heure : c’est l’aiguille, pas le microbe, qui tue à petit feu.
Et les chiffres ? Sur X, des posts évoquent des millions de cas similaires – 15 millions de « Covid long » rien qu’aux États-Unis, selon Redfield en 2024. Combien sont des victimes collatérales de Pfizer, Moderna et consorts ? On ne saura jamais, car les données brutes, celles qui pourraient prouver l’ampleur du désastre, restent cadenassées par les labos, à l’abri derrière leur immunité juridique. Redfield, écœuré, le clame haut et fort : « Je ne pense pas que l’industrie des vaccins devrait bénéficier de l’immunité. » Mais qui écoute, quand les élites ont vendu leur âme au profit ?
Les élites globalistes : architectes d’un fiasco meurtrier
Aux États-Unis, ce scandale porte la signature des technocrates démocrates et de leurs marionnettistes pharmaceutiques. Sous Biden, l’administration a imposé des vaccins à ARNm à coups de décrets, transformant des millions d’Américains en cobayes involontaires. Anthony Fauci, grand prêtre de la peur covidiste, a béni ces injections, pendant que le CDC – même sous Redfield – relayait des messages rassurants, minimisant les signaux d’alerte. L’immunité juridique accordée aux labos dès 2020, via le PREP Act, a scellé le sort des victimes : pas de recours, pas de justice, juste le silence.
En Europe, Ursula von der Leyen a transformé l’UE en vassale de Big Pharma. Des milliards engloutis dans des contrats opaques avec Pfizer – ses textos secrets avec Albert Bourla, jamais publiés – en témoignent. Bruxelles a poussé les États à vacciner à tour de bras, au mépris des premiers rapports d’effets secondaires. Et en France ? Agnès Buzyn, ministre de la Santé jusqu’en février 2020, a laissé le pays sans stocks de masques et ouvert la voie à une gestion chaotique. Son successeur, Olivier Véran, a pris le relais avec une foi aveugle dans les vaccins, imposant des campagnes massives dès 2021 malgré les alertes sur les myocardites et thromboses. Quant à Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, il a récité des chiffres lénifiants et minimisé les risques, jouant les porte-parole d’une politique qui a sacrifié les Français sur l’autel de Pfizer.
Ces trois-là ont transformé la France en laboratoire d’expérimentation. Véran, avec son pass sanitaire draconien, a fait des non-vaccinés des parias, pendant que Salomon ânonnait des slogans sur la « sécurité » des injections. Buzyn, elle, avait déjà déserté le navire avant le pire, laissant derrière elle un système de santé exsangue. Ensemble, ils ont applaudi les labos, ignoré les médecins dissidents comme Perronne et Raoult, et condamné des milliers de Français à des séquelles qu’on maquille aujourd’hui en « Covid long ».
Un avenir sombre, une lueur d’espoir
Les conséquences sont là : des familles brisées, des vies détruites, et aucune responsabilité. Les victimes, laissées pour compte, n’ont ni indemnisation ni reconnaissance, car Big Pharma est intouchable. Redfield, amer, place ses espoirs en Robert F. Kennedy Jr., nouveau secrétaire à la Santé sous Trump, pour déterrer la vérité et forcer les labos à rendre des comptes. Mais face à un système verrouillé par les globalistes, la bataille s’annonce rude.
En France, l’horizon est encore plus noir. Avec une dette publique explosive et un système de santé à l’agonie, les stigmates de la gestion de Buzyn, Véran et Salomon persistent. L’UE, elle, s’enfonce dans une militarisation absurde (150 milliards d’euros pour la défense) pendant que ses citoyens meurent des potions qu’elle leur a imposées. Cette élite déconnectée, des deux côtés de l’Atlantique, a trahi les peuples pour des profits obscènes et une idéologie mortifère.
Réveillez-vous ou périssez
Le scandale du « Covid long » n’est que la partie émergée de l’iceberg. Les élites globalistes – Biden, von der Leyen, et en France, Macron, Buzyn, Véran, Salomon – ont joué avec nos vies, sacrifiant la science sur l’autel du contrôle et de l’argent. Redfield a allumé une mèche ; à nous de faire exploser leur maison de cartes. Car si ce crime reste impuni, le prochain sera pire. Réveillez-vous, avant qu’ils ne nous achèvent tous.
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