De la CIA au strategic command : l’histoire réelle des armes climatiques

De la CIA au strategic command : l’histoire réelle des armes climatiques

Dans un monde où les théories dites « complotistes » sont souvent balayées d’un revers de main, il est essentiel de creuser les sujets tabous avec rigueur. La modification climatique, souvent associée aux chemtrails ou à des manipulations atmosphériques, n’est pas une invention farfelue. Au contraire, elle repose sur des faits historiques, des documents déclassifiés et des technologies brevetées. Basé sur une analyse approfondie, cet article explore l’intention (mens rea) et les actes concrets (actus reus) de puissances étatiques dans le domaine des armes climatiques, en s’appuyant sur des citations, des projets militaires et des brevets publics.

L’intention : une volonté historique de contrôler le climat

La mens rea, ou l’intention de modifier le climat à des fins militaires, politiques ou même eschatologiques, est bien documentée. Dès les années 1960, des figures influentes exprimaient ouvertement cette ambition.

Zbigniew Brzezinski, dans son ouvrage Between Two Ages: America’s Role in the Technetronic Era (1970), affirmait : « La modification climatique deviendra une partie d’un arsenal de techniques offensives et défensives utilisé par les États-Unis et probablement par d’autres nations également. » Brzezinski, architecte de la politique étrangère américaine, voyait dans le contrôle du ciel un outil géopolitique majeur.

Lyndon Johnson, président des États-Unis et instigateur de l’escalade au Vietnam, déclarait en 1962 à l’Université du Texas : « Qui contrôle les éléments du ciel, contrôle le monde. » Cette phrase reflète l’impérialisme américain, illustré par l’usage de l’Agent Orange au Vietnam, qui non seulement détruisait les forêts mais impactait aussi le climat local en altérant les écosystèmes.

Dès 1947, le Dr Henry G. Houghton, chercheur au MIT, annonçait : « La capacité de provoquer des pluies artificielles est désormais à notre portée. Le contrôle climatique deviendra une réalité. » Cette optimisme s’inscrivait dans les premières recherches sur l’ensemencement des nuages.

En 1977, la Convention ENMOD des Nations Unies interdisait l’utilisation hostile de techniques de modification environnementale, prouvant que ces pratiques existaient déjà – sinon, pourquoi les réglementer ? Plus récemment, en 2002, le politicien russe Vladimir Jirinovski déclarait : « Le contrôle climatique est une arme géopolitique encore plus puissante que la bombe nucléaire. » En 2015, le climatologue russe Sergey Zimov ajoutait : « Il est tout à fait possible que dans un avenir proche, l’humanité puisse contrôler à volonté les processus atmosphériques de la planète. »

Ces déclarations ne sont pas isolées ; elles s’inscrivent dans une volonté de dominer la nature, souvent liée à des objectifs malthusiens, comme la réduction de la population mondiale, évoquée par des figures comme Bill Gates.

Les actes : des projets militaires concrets

L’actus reus, ou les actes réels de modification climatique, est avéré depuis des décennies. Les États-Unis ont pionnier dans ce domaine dès les années 1940.

Projet Cirrus (1947) : Mené par General Electric en collaboration avec l’US Army et l’US Air Force, il consistait à ensemencer des nuages avec de la glace sèche (dioxyde de carbone solide) pour influencer les ouragans. Un essai a involontairement intensifié une tempête, causant des dégâts.

Opération Popeye (1967-1972) : Pendant la guerre du Vietnam, les États-Unis ont ensemencé des nuages avec de l’iodure d’argent et du plomb pour prolonger la mousson, rendant les routes impraticables pour les forces nord-vietnamiennes. Ce projet, déclassifié en 1974, a augmenté les précipitations de manière significative, bien que les résultats soient difficiles à quantifier en raison du chaos climatique.

Projet Skyfire (années 1960) : L’US Forest Service a utilisé l’iodure d’argent pour réduire les incendies de forêt en provoquant des pluies ciblées.

Projet Stormfury (1962-1983) : La NOAA a tenté d’affaiblir les ouragans en perturbant leur structure avec de l’iodure d’argent. Bien que les résultats soient mitigés, il démontre l’investissement massif dans ces technologies.

Les Soviétiques n’étaient pas en reste : de 1950 à 1990, ils ensemençaient des nuages pour améliorer les récoltes agricoles ou assurer un ciel clair lors des défilés sur la Place Rouge. Après Tchernobyl en 1986, ils ont dispersé les nuages radioactifs.

Plus récemment :

Jeux Olympiques de Pékin (2008) : La Chine a utilisé plus de 1 000 avions, canons et roquettes pour ensemencer les nuages et empêcher la pluie lors de la cérémonie d’ouverture.

Inde (2017-2018) : Des études sur la modification des moussons pour améliorer l’irrigation et réduire les inondations.

Ces exemples montrent que la géo-ingénierie n’est pas spéculative ; elle est opérationnelle et débattue internationalement, y compris pour la géo-ingénierie solaire (réfléchir les rayons solaires pour contrer le réchauffement).

Les brevets : des technologies publiques et militaires

Des dizaines de brevets confirment l’existence de technologies de modification climatique. Contrairement au secret défense, les brevets sont publics, permettant une exploitation civile tout en masquant les applications militaires.

US Patent 3,613,992 (1971) : Système d’ensemencement des nuages avec iodure d’argent, par Bernard Vonnegut.

US Patent 3,564,253 (1971) : Dispositif pour introduire des substances chimiques via fusées ou ballons, par Robert Knollenberg.

US Patent 2003/0085296 (2003) : Modification des tempêtes avec micro-ondes à haute énergie, par Bernard Eastlund (lié au programme HAARP).

US Patent 2010/0072727 (2010) : Injection d’aérosols dans la stratosphère pour réduire le réchauffement, par Nathan Myhrvold (ex-Microsoft).

Brevets chinois : Comme CN102309996A (2011) pour disperser les nuages, ou CN110023771B (2018) pour manipuler le climat par laser.

La Russie et la Chine dominent désormais ce domaine, avec des brevets sur la dispersion de cyclones ou le refroidissement global.

Les crimes d’état : preuves d’une absence d’éthique

Pour contextualiser la mens rea, rappelons que les États ont commis des actes immoraux, souvent déclassifiés des décennies plus tard, prouvant leur capacité à nuire sans scrupules.

MKUltra (1953-1973) : La CIA a testé le LSD sur des citoyens sans consentement, révélé par la Commission Church en 1975.

Incident de Pont-Saint-Esprit (1951) : La CIA a aspergé du LSD sur un village français, causant hallucinations et morts, déclassifié en 2009.

Opération Sea-Spray (1950) : L’armée US a largué des bactéries sur San Francisco, exposant 800 000 personnes.

Projet 4.1 (1954) : Étude des radiations sur les habitants des Îles Marshall après un test nucléaire.

Ces exemples montrent que les États exposent leurs propres populations à des risques pour des objectifs militaires.

Les rapports militaires : vers une domination totale

Deux rapports de l’US Air Force confirment l’ambition de « posséder » le climat.

Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025 (1996) : Envisage la modification des précipitations, orages et ionosphère pour dominer le champ de bataille, y compris la création de nuages artificiels avec nanoparticules.

Operational Defenses through Weather Control in 2030 (2009) : Propose des nanotechnologies pour créer des nuages protégeant contre les armes à énergie dirigée (lasers, micro-ondes).

Ces documents, publiés par l’Air Command and Staff College, soulignent que le contrôle climatique est à la fois offensif et défensif.

En conclusion, la modification climatique n’est pas une « théorie complotiste » mais une réalité historique et technologique. Les intentions et actes sont avérés ; il revient au public, en tant que jury souverain, de juger et d’exiger la transparence. Dans un monde où le journalisme citoyen comble les lacunes des médias subventionnés, creuser ces sujets est un devoir.

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