Un récent article du New York Post, publié le 21 avril 2025, met en lumière une réalité troublante : la fortune d’Antony Fauci, figure centrale de la gestion de la pandémie de Covid-19 aux États-Unis, a doublé entre 2019 et 2023, passant de 7,6 millions à 15 millions de dollars. Ce bond spectaculaire, survenu pendant les « pires moments des confinements draconiens », selon le PDG d’Open The Books, John Hart, soulève des questions graves sur les motivations de cet homme et son rôle dans la promotion de politiques alignées sur l’Agenda 2030 du Forum économique mondial de Davos. Derrière son image de « docteur de la nation », Fauci apparaît comme un acteur clé d’une entreprise mondiale qui, sous couvert de santé publique, a servi des intérêts idéologiques et financiers, au détriment des libertés individuelles et de la vérité scientifique.
Une fortune bâtie sur les restrictions et la souffrance
Alors que des millions de familles et de petites entreprises américaines luttaient contre les fermetures d’écoles, les pertes d’emploi et les restrictions économiques imposées pendant la pandémie, Antony Fauci, en tant que principal conseiller médical de la Maison Blanche, a vu ses actifs financiers s’envoler. Selon les documents obtenus par Open The Books, Fauci a empoché plus de 3,5 millions de dollars rien qu’en 2023, sa première année de retraite officielle, grâce à des discours rémunérés à hauteur de six chiffres (par exemple, 100 000 dollars par intervention pour des groupes comme l’American Health Insurance Plans – AHIP) et la vente de son autobiographie, On Call: A Doctor’s Journey in Public Service, pour 5 millions de dollars à Penguin Random House. Ces revenus s’ajoutent à son salaire de 480.654 $ en 2022, le plus élevé de toute la bureaucratie fédérale américaine, surpassant même celui du président des États-Unis.
Cette prospérité financière contraste brutalement avec les souffrances endurées par le public. Les politiques que Fauci a vigoureusement défendues – confinements stricts, fermetures d’écoles et mandats de vaccination – ont eu des conséquences dévastatrices. Les petites entreprises ont été décimées, les enfants ont subi des retards éducatifs et sociaux, et les libertés individuelles ont été piétinées sous prétexte de « sécurité sanitaire ». Pendant ce temps, Fauci, protégé par une sécurité financée par les contribuables à hauteur de 15 millions de dollars entre janvier 2023 et septembre 2024, « frottait les coudes » avec des élites lors d’événements prestigieux, insensible aux difficultés des citoyens ordinaires.
Un rôle central dans la suppression de la théorie de la fuite en laboratoire
L’article du New York Post révèle également le rôle controversé de Fauci dans la suppression de la théorie de la fuite en laboratoire concernant l’origine du Covid-19. Un mémo du Congrès a confirmé que Fauci a « incité » la publication de l’article The Proximal Origin of SARS-CoV-2, utilisé pour discréditer cette hypothèse et imposer une narrative officielle selon laquelle le virus aurait une origine naturelle. Cette manipulation, dénoncée par la nouvelle page covid.gov de l’administration Trump, s’inscrit dans une stratégie plus large visant à contrôler les récits scientifiques et à étouffer les voix dissidentes. En agissant ainsi, Fauci a non seulement sapé la transparence scientifique, mais il a également contribué à une polarisation accrue, alimentant la méfiance envers les institutions de santé publique.
Un pion de l’Agenda 2030 de Davos
Le parcours de Fauci pendant la pandémie ne peut être dissocié de l’Agenda 2030 du Forum économique mondial de Davos, un projet global qui promeut une gouvernance centralisée, une surveillance accrue et une redéfinition des libertés individuelles sous couvert de « développement durable » et de « santé mondiale ». Fauci, en tant que conseiller médical de premier plan, a participé à des événements comme The Davos Agenda en 2022, où il a discuté de la réponse à la pandémie avec des dirigeants mondiaux et des PDG de l’industrie pharmaceutique, tels que Stéphane Bancel de Moderna. Ces discussions, axées sur une « réponse globale » à la crise, ont souvent ignoré les réalités locales et les besoins des populations, privilégiant une approche uniformisée qui a servi les intérêts des élites économiques et politiques.
L’Agenda 2030, avec ses objectifs de « santé pour tous » et de « coopération internationale », a trouvé en Fauci un fervent défenseur. Ses appels répétés à une « réponse globale » face à une « pandémie mondiale », comme rapporté dans ses interventions à Davos, ont préparé le terrain pour des politiques qui ont centralisé le pouvoir au niveau supranational, au détriment des souverainetés nationales. Les confinements et les mandats de vaccination, qu’il a ardemment soutenus, ont non seulement renforcé le contrôle étatique sur les citoyens, mais ont également ouvert la voie à des systèmes de surveillance de masse, comme les passeports vaccinaux, qui s’alignent parfaitement avec les ambitions de Davos de créer une société hyper-contrôlée.
Un enrichissement personnel au service d’une idéologie mondialiste
L’enrichissement de Fauci, qui a coïncidé avec la mise en œuvre de ces politiques, soulève des questions sur ses motivations. Alors qu’il prônait des mesures restrictives ayant des « conséquences négatives collatérales » – qu’il a lui-même reconnues dans une interview de 2023 – Fauci profitait de la crise pour bâtir sa fortune personnelle. Ses discours rémunérés, ses prix (comme le Calderone Prize de l’Université Columbia, doté de 50.000 dollars) et la vente de son livre montrent un homme qui a su tirer parti de sa position pour accumuler des richesses, tout en imposant des politiques qui ont appauvri des millions d’Américains. Cette hypocrisie est d’autant plus frappante que sa femme, Christine Grady, est restée jusqu’en avril 2025 la principale bioéthicienne des National Institutes of Health (NIH), percevant un salaire de 243 749 dollars en 2023, ce qui a permis au couple de maintenir un lien direct avec les institutions publiques tout en profitant de revenus privés.
Une menace pour la démocratie et la liberté scientifique
Le rôle de Fauci dans la gestion de la pandémie et son alignement avec l’Agenda 2030 de Davos ont des implications profondes pour la démocratie et la liberté scientifique. En supprimant des théories alternatives sur l’origine du Covid-19, il a contribué à un climat de censure où le débat scientifique a été étouffé au profit d’une narrative officielle. Ses politiques, qui ont privilégié les intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques et des élites mondialistes, ont également exacerbé les divisions sociales, comme il l’a lui-même admis dans une interview de 2023 à CNN, où il déplorait la « division politique » ayant entravé une réponse unifiée à la pandémie.
Pire encore, Fauci a incarné une forme de technocratie autoritaire, où des experts non élus ont imposé des mesures draconiennes sans véritable reddition de comptes. Ses liens avec des institutions comme le NIH, qui ont financé des recherches controversées sur le gain de fonction à Wuhan, et son refus initial de reconnaître ces financements, comme le souligne un post sur X datant d’avril 2025, renforcent l’idée qu’il a agi en coulisses pour protéger des intérêts autres que ceux du public.
Un symbole de la dérive mondialiste
Antony Fauci, loin d’être un simple scientifique dévoué, s’est révélé être un acteur clé de l’Agenda 2030 de Davos, utilisant la pandémie de Covid-19 pour promouvoir des politiques qui ont servi les intérêts des élites au détriment des citoyens ordinaires. Son enrichissement personnel, qui a doublé sa fortune à 15 millions de dollars pendant que des millions souffraient, est un symptôme de cette dérive. En supprimant la vérité sur les origines du virus et en imposant des mesures liberticides, Fauci a non seulement trahi la confiance du public, mais il a également contribué à une entreprise mondialiste qui menace les fondements mêmes de la démocratie et de la liberté scientifique. L’administration Trump, en retirant sa sécurité financée par les contribuables et en dénonçant son rôle dans la crise, semble avoir pris la mesure de cette menace. Mais le mal est fait : Fauci restera dans l’histoire comme un symbole des dérives d’une technocratie alignée sur des agendas idéologiques mondiaux.
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