Klaus Schwab, architecte du Forum économique mondial (WEF) et symbole du Deep State qui impose des politiques arc-en-ciel aux nations, a été poussé à la démission lundi dernier. Cette décision fait suite à l’ouverture d’une enquête par le conseil d’administration du WEF, déclenchée par des allégations de malversations financières et de comportements contraires à l’éthique. Une lettre anonyme, examinée lors d’une réunion d’urgence le 20 avril, a mis en lumière des abus présumés : Schwab et son épouse Hilde auraient détourné des fonds de l’organisation pour financer des voyages de luxe, des achats immobiliers fastueux, et même des massages en hôtel. La lettre évoque également des retraits d’espèces conséquents effectués par des subalternes sur ordre de Schwab.
Au-delà des malversations financières, l’enquête vise une culture d’entreprise toxique au WEF, marquée par des accusations de comportements hostiles envers les femmes, de discriminations raciales et de licenciements abusifs. Ces pratiques ne sont pas nouvelles : en 2024, le Wall Street Journal avait déjà révélé des licenciements ciblant les employés de plus de 50 ans, des discriminations contre les employées enceintes, et une plainte pour racisme déposée par une ancienne employée, Topaz Smith, à New York. Cette plainte, réglée à l’amiable en mars 2025, avait été minimisée par le WEF.
Lors d’une réunion de crise dimanche dernier, le conseil de fondation, basé à Genève, a voté à l’unanimité pour une enquête indépendante, confiée au Comité d’Audit et Risque avec l’appui d’experts juridiques. Schwab, qui nie ces accusations et menace de poursuivre l’auteur de la lettre anonyme pour « calomnies », a préféré quitter son poste immédiatement, abandonnant l’idée d’une transition. Le WEF, tout en prenant les allégations au sérieux, souligne qu’elles restent à prouver.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte où l’administration Trump intensifie sa lutte contre les figures du Deep State, dont Schwab et le WEF font partie. Ce scandale illustre la chute d’un des piliers du mondialisme, accusé d’avoir trahi les peuples au profit d’une élite déconnectée.
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