La canicule et les marchands de l’apocalypse

La canicule et les marchands de l’apocalypse

La canicule de 2025 en France : un phénomène climatique naturel ou une arme politique ? 

En ce mois de juillet 2025, la France traverse une nouvelle vague de chaleur intense, avec des températures dépassant régulièrement les 35°C, voire frôlant les 40°C dans certaines régions. Les médias, les politiques, et les activistes climatiques s’empressent de qualifier cet épisode de « signe du réchauffement climatique anthropique », alimentant un narratif alarmiste qui semble servir davantage les agendas politiques que la science. Pourtant, une analyse critique et historique, enrichie par des témoignages d’experts comme Samuel Furfari, Daniel Husson, et François Gervais, révèle que de telles canicules ne sont ni nouvelles, ni nécessairement liées à l’activité humaine. Pire encore, le climat est devenu un outil de contrôle et de manipulation pour les gouvernements, exploitant les peurs collectives pour justifier des politiques coûteuses et intrusives. Beaucoup de climatologues affirment qu’il n’y a pas lieu de s’affoler et que l’origine du changement climatique n’est pas exclusivement anthropique. Voici une exploration approfondie de ces arguments qui éclaireront ce débat.

Une canicule familière : le précédent de 1976

Le tweet de @platinium230, relayant une vidéo de l’INA, nous rappelle opportunément que la France a déjà connu des épisodes similaires. En 1976, le pays a souffert d’une sécheresse et d’une canicule exceptionnelles, avec des températures avoisinant les 35°C en juin, et des records atteignant 40°C en juillet. Cette période, marquée par des restrictions d’eau et des récoltes compromises, a été l’une des plus chaudes du XXe siècle en Europe. Pourtant, à l’époque, personne ne parlait de « réchauffement climatique anthropique ». Les climatologues de l’époque, comme ceux d’aujourd’hui, reconnaissaient que de tels événements faisaient partie des cycles naturels de la planète.

La vidéo de l’INA montre des images d’archives où des agriculteurs, des citoyens, et même des autorités tentaient de gérer les conséquences d’une chaleur inhabituelle, sans pour autant attribuer la faute à l’homme. Ce parallèle avec 2025 est frappant : les mêmes scènes de thermomètres grimpants, de fontaines asséchées, et de discours officiels alarmistes se répètent, mais cette fois, elles sont enveloppées dans un discours sur l’urgence climatique.

Le climat comme arme politique : une écodictature en marche

Depuis les Accords de Paris de 2015 et l’adoption du Pacte vert européen, le changement climatique est devenu un levier politique majeur. En France, le gouvernement utilise ces épisodes de canicule pour justifier des mesures drastiques, comme l’interdiction des véhicules thermiques d’ici 2035, la taxation carbone, ou encore des restrictions d’usage de l’eau. Ces politiques, présentées comme indispensables pour « sauver la planète », ont un coût économique et social considérable. Par exemple, le Pacte vert européen est estimé à 1 000 milliards d’euros sur une décennie, avec des répercussions directes sur les factures d’électricité et les budgets des ménages.

Mais derrière ces mesures se cache une réalité plus cynique : le climat est devenu un prétexte pour accroître le contrôle étatique. Les restrictions d’eau, les limitations de vitesse, ou encore les campagnes de communication sur la « sobriété énergétique » servent à modeler les comportements des citoyens, souvent au détriment de leurs libertés. En 2025, alors que la canicule fait la une des journaux, les voix critiques sont marginalisées, accusées de « négationnisme climatique » ou de « populisme ». Pourtant, de nombreux climatologues, comme ceux cités dans des études récentes, affirment que l’origine du changement climatique n’est pas exclusivement anthropique. Des facteurs naturels, comme les variations solaires, les cycles océaniques (comme El Niño), ou encore les éruptions volcaniques, jouent un rôle significatif.

La canicule sert également d’excellent VRP pour les marchands d’énergie dites alternatives, notamment le solaire et l’éolien. Ces industries, extrêmement subventionnées par nos impôts, s’appuient sur les discours alarmistes pour justifier leurs ventes, malgré leur inefficacité intrinsèque et leur dépendance à des compensations fossiles. La terre a connu des périodes de glaciation et de réchauffement tout au long de son histoire, et il n’y a rien d’étonnant à cela, ce qui remet en question l’urgence artificielle créée autour de ces événements.

Samuel Furfari, ingénieur et docteur de l’Université Libre de Bruxelles, spécialisé dans les technologies énergétiques et la géopolitique de l’énergie, dénonce dans une interview sur TVL (La politique climatique de l’UE est une écodictature – Le Zoom – Samuel Furfari – TVL) une véritable « écodictature » orchestrée par l’Union européenne. Il explique que la politique énergétique européenne a basculé en 2016, soumise à la politique climatique, abandonnant le bon sens et la rationalité au profit d’une précarité énergétique volontaire. Selon lui, cette volte-face est due à l’influence de la chancelière Merkel et des écologistes allemands, qui ont imposé l’Energiewende (transition énergétique) à toute l’Europe, malgré les avertissements de certains pays membres. Furfari cite Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne, qui a expliqué qu’il fallait rendre l’énergie chère pour obliger les gens à changer de comportement, entraînant une destruction organisée de la compétitivité économique de l’UE. Il pointe du doigt les subventions massives aux énergies renouvelables, qui ne sont pas viables sans soutien financier, et critique l’absence de débat au sein des institutions européennes, où les voix dissidentes sont muselées.

Les voix dissidentes : pas d’affolement nécessaire

Plusieurs experts, souvent ignorés par les médias mainstream, soulignent que les canicules ne sont pas un phénomène nouveau. Par exemple, des recherches publiées dans des revues scientifiques montrent que des périodes de chaleur intense ont déjà eu lieu dans l’histoire de la Terre, bien avant l’ère industrielle. En 2003, une canicule similaire à celle de 2025 a causé des milliers de morts en Europe, mais elle a été suivie par des hivers rigoureux, rappelant que le climat est cyclique et non linéaire.

Daniel Husson, physicien et enseignant-chercheur à l’Université de Strasbourg, dans une interview (Un vrai scientifique dénonce les contre-vérités sur le climat – Le Zoom – Daniel Husson – TVL), affirme que le sujet du climat est devenu une « religion totalitaire dangereuse ». Il critique le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), soulignant que son mandat n’est pas de dire la vérité sur le climat, mais d’alerter sur les méfaits des hydrocarbures. Husson démontre que les prédictions alarmistes, comme une hausse de température de 1,5 à 4,5°C d’ici la fin du siècle, sont basées sur des modèles datant de 1896, et non sur des données actuelles. Il argue que l’augmentation de la température globale est de l’ordre d’un degré depuis 160 ans, et que cette hausse est mal comprise, avec des phénomènes naturels comme les cycles solaires et océaniques jouant un rôle crucial. Il réfute également l’idée que le CO2 est la cause principale du réchauffement, insistant sur le fait que les océans, avec leur capacité calorifique immense, influencent bien plus le climat que l’atmosphère.

François Gervais, physicien et ancien professeur à l’université de Tours, dans une autre interview (Transition écologique : 40 milliards €/an pour rien ? – Le Zoom – François Gervais – TVL), va plus loin en affirmant que les politiques de transition écologique, comme celles menées en France, sont inefficaces et coûteuses. Il estime que les 40 milliards d’euros alloués annuellement à la transition écologique en France n’auront aucun impact significatif sur le réchauffement global, car les émissions de gaz à effet de serre de la France ne représentent que 0,8 % du total mondial. Gervais explique que les modèles climatiques surestiment la tendance au réchauffement, avec un écart de 500 % entre les prévisions les plus basses et les plus élevées, et que les observations réelles montrent une hausse bien moindre. Il critique également l’ajout d’énergies renouvelables intermittentes, comme l’éolien et le photovoltaïque, qui renchérissent les coûts sans réduire les émissions, car elles nécessitent des compensations par des énergies fossiles comme le gaz naturel. Selon lui, l’augmentation du CO2 a même des effets bénéfiques, comme le verdissement de la planète, qui aide à nourrir une population mondiale croissante.

Relativiser le phénomène

Il est crucial de relativiser l’ampleur de la canicule de 2025. Oui, il fait chaud, mais les infrastructures modernes (climatisation, réseaux d’eau, systèmes d’alerte) sont bien mieux équipées qu’en 1976 pour y faire face. De plus, les décès attribués à la canicule sont souvent exagérés, car ils incluent des personnes âgées ou vulnérables qui auraient pu succomber à d’autres causes. En comparaison, les vagues de froid, comme celle de 1956 en France, ont causé des milliers de morts, sans pour autant déclencher d’hystérie collective.

Les experts cités soulignent que les phénomènes climatiques extrêmes, comme les incendies ou les inondations, ne montrent pas d’augmentation significative sur les 30 dernières années. Husson rappelle que les mégafeux sont souvent liés à des phénomènes naturels comme El Niño, et non au CO2, tandis que Gervais note que les événements météorologiques extrêmes sont restés stables depuis trois décennies. Ces observations contredisent l’idée que le réchauffement climatique anthropique est la cause principale de ces événements.

En conclusion, la canicule de 2025, bien que réelle, ne doit pas être instrumentalisée pour justifier des politiques climatiques coûteuses et inefficaces. Les voix dissidentes, comme celles de Furfari, Husson, et Gervais, rappellent que le climat est complexe, et que les solutions imposées par les gouvernements européens risquent de causer plus de dommages que les problèmes qu’elles prétendent résoudre. Il est temps de sortir de l’échoanxiété et de revenir à une approche rationnelle et scientifique du climat.

Alors, si vous êtes en vacances, profitez-en et n’écoutez pas les Cassandres qui répondent à des agendas dans lesquels votre rôle est cantonné à celui d’esclaves. Ayez peut-être une pensée pour ceux qui ne le sont pas et habitent dans un immeuble sans climatisation et qui subissent cette vague de chaleur aussi péniblement qu’ils ont vécu l’inutile confinement…

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