La France gronde comme un volcan prêt à exploser. Les Français, épuisés par des années de mépris élitiste, de taxes écrasantes et de politiques punitives déguisées en « transition écologique », ne se contentent plus de murmurer leur frustration. Le ras-le-bol est palpable, transversal, et il s’organise. D’un côté, le retour tonitruant des Gilets Jaunes, ce mouvement populaire qui avait paralysé le pays en 2018 contre la hausse des carburants et l’injustice sociale. De l’autre, l’émergence des « Gueux« , un collectif porté par l’écrivain Alexandre Jardin, qui dénonce l’écologie punitive et les factures d’énergie qui doublent, menaçant artisans, pêcheurs et paysans de ruine totale. Aujourd’hui, ces deux forces convergent en un front uni, prêt à renverser l’ordre établi.
Ce n’est plus une simple protestation : c’est le prélude à une insurrection populaire, où le peuple reprend le pouvoir par la rue, car les urnes ont été confisquées.
Les racines de la colère : un peuple saigné à blanc
Tout commence par un sentiment partagé par des millions : « C’est Nicolas qui paie. » Ce slogan, viral sur les réseaux, incarne le quotidien des classes moyennes et laborieuses, écrasées par des impôts exorbitants pour financer des aides sociales démesurées, une immigration incontrôlée et des cadeaux aux ultra-riches. Les Français en ont marre de voir leurs fins de mois se transformer en survie, tandis que les élites parisiennes, à l’image du gouvernement Bayrou, imposent un budget 2026 d’austérité draconienne : 43,8 milliards d’économies sur le dos des travailleurs. Ajoutez à cela les Zones à Faibles Émissions (ZFE), qui interdisent aux voitures modestes d’entrer dans les villes, forçant les gens à choisir entre manger et se déplacer. Et les factures d’électricité qui explosent sous prétexte de « PPE3« , la loi de programmation énergétique, doublant les coûts pour des ménages déjà exsangues.
Ce n’est pas de l’écologie, c’est du racket organisé. Les artisans ferment boutique, les boulangers jettent l’éponge, et les pêcheurs artisans bloquent les ports contre une Europe qui les étrangle. Le gouvernement, paniqué, avoue en off : « Cela ressemble à une tentative pour faire renaître les Gilets Jaunes. » Et pour cause : les sondages montrent un soutien massif, comme en 2018 où 82 % des Français appelaient de leurs vœux la révolte. Mais cette fois, c’est pire. La défiance envers les politiques, les médias et l’Union Européenne atteint des sommets.
Les gens ne croient plus aux promesses : ils veulent des actes, ou plutôt, ils veulent tout balayer.
La fusion des mouvements : gilets jaunes + gueux = révolution inévitable
Les Gilets Jaunes reviennent en force, six ans après leur soulèvement initial. Des appels à une « Grève Générale » le 10 septembre circulent, avec des blocages nationaux annoncés. Sur les réseaux sociaux, les posts fusent : « Ras-le-bol fiscal, mépris des élus, paupérisation générale – check ! » Mais ils ne sont plus seuls. Les « Gueux », lancés par Alexandre Jardin, agrègent les secteurs économiques les plus touchés : paysans, artisans, pêcheurs. Leur manifeste est clair : stopper les ZFE, annuler la PPE3, et instaurer des référendums d’initiative populaire pour que le peuple ne soit plus « viré » après les élections.
Cette agrégation n’est pas fortuite : c’est une convergence des luttes authentique, loin des récupérations partisanes. Les Gilets Jaunes apportent leur expérience des ronds-points et des blocages, les Gueux leur organisation sectorielle et leur appel à la dignité nationale. Ensemble, ils forment un bloc imparable. Sur les réseaux, les voix s’unissent : « Ce sera les Gilets Jaunes puissance 10 ! »
Et le gouvernement tremble, car il sait que septembre 2025 pourrait marquer le début d’une vague européenne : si les Français bougent, les autres suivront.
Les risques de détournement : vigilance contre les infiltrations de l’extrême gauche
Cependant, cette fusion explosive porte en elle un risque majeur : celui d’être phagocytée par des éléments opportunistes, en particulier de l’extrême gauche, qui pourraient faire capoter le mouvement en le détournant de ses revendications originelles. Comme lors du soulèvement initial des Gilets Jaunes en 2018, où un élan populaire spontané et apolitique contre la hausse des carburants et le coût de la vie a été infiltré par des groupes radicaux, introduisant des thèmes déconnectés comme l’anti-capitalisme exacerbé ou des dénonciations de violences policières instrumentalisées, transformant des manifestations pacifiques en émeutes violentes orchestrées par des casseurs, antifas et black blocs instrumentalisés par le pouvoir macronien. Cela avait non seulement altéré l’image du mouvement, passant d’un soutien massif à une perception de chaos, mais aussi dilué ses aspirations sincères à plus de justice et de dignité pour les classes moyennes et laborieuses.
Il est crucial de rappeler que ce mouvement fusionné des Gilets Jaunes et des Gueux est avant tout un mouvement citoyen, porté par des Français ordinaires – artisans, paysans, pêcheurs, ouvriers – sans aucune affiliation politique. Aucun parti politique, qu’il soit de gauche, de droite ou des extrêmes, n’est le bienvenu. Les groupuscules d’extrême gauche ou d’extrême droite, avec leurs agendas partisans et leurs méthodes violentes, représentent une menace directe : ils pourraient s’immiscer pour détourner les revendications vers des causes opportunistes, phagocyter l’élan populaire et transformer une révolte légitime en un gâchis orchestré, comme cela s’est vu par le passé. La vigilance doit être de mise pour préserver l’authenticité et la simplicité de cette colère qui couve, en excluant fermement toute récupération extérieure qui risquerait de faire dérailler cette insurrection naissante.
Vers l’insurrection : le peuple doit reprendre le pouvoir
Il est temps de dire stop. Les élites ont trahi : elles imposent l’austérité aux « gueux » tout en protégeant leurs privilèges. Mais les Français ne sont pas des moutons. Le mouvement des Gueux et des Gilets Jaunes n’est pas une simple manifestation : c’est un appel à l’insurrection pacifique mais ferme, à bloquer le pays jusqu’à ce que les revendications soient entendues. Exigeons le RIC pour que le peuple décide directement ! Refusons l’Europe des technocrates qui nous ruine ! Et si le pouvoir s’entête, que les rues parlent : la France n’a pas oublié 1789, et elle n’hésitera pas à rappeler qui est souverain.
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