Dans une interview exclusive accordée à TF1 le 21 août 2025, Emmanuel Macron a une fois de plus révélé son obsession pour une confrontation accrue avec la Russie. Sous couvert de défendre l’Ukraine et la sécurité européenne, le président français déploie un discours alarmiste et provocateur qui frise la folie. En qualifiant la Russie de « prédateur » et d’ « ogre à nos portes », Macron non seulement diabolise un potentiel partenaire géopolitique, mais il prépare le terrain pour une implication militaire directe de la France et de l’Europe dans un conflit qui pourrait dégénérer en guerre mondiale. Cette posture, loin d’être une stratégie rationnelle, semble dictée par un ego surdimensionné et une volonté de se poser en leader incontesté de l’Europe, au mépris des risques pour les Français et le continent entier.
Les garanties de sécurité : un euphémisme pour l’escalade militaire
Macron insiste sur la nécessité de « garanties de sécurité » pour l’Ukraine, qu’il présente comme essentielles pour empêcher ce qu’il appelle « une nouvelle agression russe » après un éventuel accord de paix. Il évoque une armée ukrainienne « robuste » de plusieurs centaines de milliers d’hommes, équipée aux meilleurs standards, et des « forces de réassurance » impliquant des pays comme la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Turquie. Ces opérations, dit-il, se dérouleraient « pas sur la ligne de front, pas de manière provoquante », mais pour envoyer un « signalement stratégique ». Traduction : si la Russie « va trop loin », il y aura une « réaction », potentiellement armée.
Cette rhétorique est dangereuse. En promettant une intervention européenne en cas de violation de la paix, Macron transforme l’Europe en bouclier humain pour l’Ukraine, risquant un affrontement direct avec une puissance nucléaire. Comme l’a critiqué un observateur, cette posture belliciste de Macron – qualifiant la Russie d’ « ennemi » à vaincre à tout prix – est vue comme une fuite en avant irresponsable, ignorant les limites militaires de la France et de l’UE. Des critiques en France soulignent que Macron, incapable de maintenir l’ordre dans ses propres quartiers face aux narcotrafiquants, ose parler d’envoyer des troupes pour « maintenir la paix » en Ukraine, alors que cela équivaut à déclarer la guerre à la Russie. Pire, cette position isole la France : même l’Allemagne et d’autres alliés se montrent prudents, refusant d’envoyer des soldats au sol, tandis que Macron pousse pour une escalade qui pourrait mener à une « énorme tension ».
La diabolisation de la Russie : une propagande qui masque l’échec occidental
Macron ne s’arrête pas là. Il dépeint la Russie comme une « puissance de déstabilisation » depuis 2007, un pays qui « a rarement tenu ses engagements » et qui, avec son armée de 1,3 million d’hommes et 40 % de son budget dédié à la défense, représente une « menace potentielle pour beaucoup d’entre nous ». Il va jusqu’à évoquer une « paranoïa » chez Poutine, tout en feignant le respect pour le peuple russe. Mais cette narrative ignore les faits : c’est l’Occident, via l’expansion de l’OTAN et le non-respect des accords de Minsk, qui a contribué à l’escalade. Macron accuse la Russie de vouloir une « capitulation » de l’Ukraine, mais c’est lui qui refuse une paix négociée, préférant alimenter un conflit perdu d’avance pour Kiev.
Des analystes internationaux soulignent que Macron a opéré un virage à 180 degrés, passant de « colombe » – appelant à ne pas humilier la Russie – à « faucon » belliqueux, motivé par des calculs politiques internes plutôt que par une stratégie cohérente. En France, l’opposition le fustige pour cette « folie belliciste », accusant Macron de vouloir entraîner le pays dans une guerre pour redorer son blason politique moribond. Comme l’a déclaré un commentateur, « Macron est un psychopathe menteur » qui inverse la réalité : c’est l’Europe qui a subi une défaite stratégique, vidant ses stocks d’armes pour un conflit qui ne la concerne pas directement, tandis que la Russie reste fidèle à ses exigences de sécurité de ses frontières et surtout de son peuple, fut-il du mauvais côté de la frontière.
Le rôle de Trump et l’illusion Nobel : Macron, le saboteur de la paix
Macron admet que Trump veut la paix et rêve d’un Nobel, mais il tempère en insistant sur le fait que cette paix ne doit pas être une « capitulation ». Il plaide pour une grande réunion avec Zelensky, Poutine, les Européens et les Américains, potentiellement en Suisse. Pourtant, ses actions contredisent ses paroles : en sabotant les efforts de Donald Trump et de Vladimir Poutine pour un résolution diplomatique. Macron prolonge un conflit qui coûte des vies et des milliards. Des voix russes, comme Maria Zakharova (Directrice du département de l’information et de la presse du ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie), rappelant que la Russie a proposé la paix via Minsk pendant sept ans, sabotée par l’Occident.
Cette obsession pour une « paix robuste » masque une réalité : Macron priorise les intérêts atlantistes et européens sur ceux de la France, transformant l’UE en bloc militaire anti-russe. Des critiques soulignent que son discours alimente les ressentiments, risquant une troisième guerre mondiale, alors qu’une négociation subtile serait plus sage. En autorisant des frappes sur le territoire russe ou en menaçant de sanctions, Macron joue avec le feu, ignorant que la Russie n’est pas impressionnée par ses postures.
Stopper la folie avant qu’il ne soit trop tard
Emmanuel Macron, prisonnier de sa propagande, mène la France vers un abîme. Sa « folie belliciste » – qualifiée de telle par de nombreux observateurs – n’est pas une défense de la paix, mais une menace pour elle. En diabolisant la Russie et en poussant pour une implication militaire, il risque non seulement des vies françaises, mais l’effondrement de l’ordre européen qu’il prétend protéger. Il est temps que le Parlement et l’opinion publique exigent des comptes : la France doit redevenir une puissance d’équilibre, favoriser la diplomatie plutôt que la guerre, et rejeter cette escalade suicidaire. Sinon, l’ « ogre » que Macron invoque pourrait bien être le reflet de son propre hubris.
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