La France sombre dans une spirale de violence d’une sauvagerie inouïe, devenue si banale qu’elle paralyse la société. Les agressions, jadis exceptionnelles, sont désormais le lot commun, portées par des filières criminelles toujours plus audacieuses, comme la séquestration, le chantage ou les attaques de fourgons pénitentiaires. Les cibles ? Les plus faibles : femmes, enfants, personnes âgées, mais aussi les institutions mêmes de l’État, défiées par des « narco-racailles ». Face à cette dérive, les réponses du gouvernement, à l’image des propositions absurdes d’Emmanuel Macron, frisent le ridicule, dilapidant des milliards à l’étranger au lieu de protéger les Français.
Une violence brutale, un quotidien gangréné
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 950 homicides en 2023, un record hors attentats, selon le ministère de l’Intérieur. Les coups et blessures volontaires ont grimpé de 26 % entre 2010 et 2019, les violences sexuelles signalées ont doublé. Cette escalade s’accompagne d’une banalisation glaçante. Une enquête CNEWS révèle que 70 % des adolescents ne considèrent plus une agression physique comme grave, et les témoins, trop souvent, se taisent. Le criminologue Alain Bauer décrit une France où la violence supplante la loi : un regard de travers, un mot mal placé, et c’est le passage à tabac, parfois mortel. Des métros aux écoles, aucun lieu n’échappe à cette fureur.
Séquestration, chantage et narco-attaques : la criminalité s’organise
Les filières criminelles se professionnalisent. La séquestration explose, comme l’illustre Pierre Noizat, ex-chef de la brigade de répression du banditisme, évoquant des victimes torturées chez elles pour des extorsions. À Paris, le 13 mai 2025, la fille et le petit-fils du PDG de Paymium, société de cryptomonnaie, ont réchappé d’une tentative d’enlèvement en pleine rue par des hommes cagoulés, armés, dans une camionnette maquillée. À Palaiseau, le 1er mai 2025, le père d’un entrepreneur du même secteur a été kidnappé en plein jour, preuve d’une audace ciblée.
Le chantage, dopé par le numérique, fait des ravages. À Brest, un adolescent s’est suicidé après un chantage en ligne, piégé par des escrocs exploitant des images intimes, rapporte ELLE. À Sannois, le maire Bernard Jamet a été victime d’un chantage à la webcam par des « brouteurs ». À Sète, une jeune femme, séquestrée pour une dette liée au trafic de drogue, a dénoncé des viols, révélant l’emprise des réseaux criminels.
Pire encore, les institutions sont défiées. Le 17 avril 2024, l’attaque d’un fourgon pénitentiaire à Incarville, visant à libérer un détenu, a choqué par sa violence : deux agents tués, une organisation quasi-militaire. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, pointe la piste des « narco-racailles », des criminels liés au trafic de drogue, opérant avec une impunité croissante. Cette attaque, digne des cartels brésiliens, marque un tournant : l’État lui-même est sous assaut.
Les plus vulnérables massacrés
La violence s’acharne sur les plus faibles. Les femmes subissent un enfer : 172 000 cas de violences conjugales et 135 000 agressions sexuelles hors couple par an. À Chevilly-Larue, le 9 mai 2025, une Martiniquaise de 45 ans a été assassinée par son mari, laissant deux orphelines. Les enfants sont tout aussi exposés : toutes les trois minutes, un mineur subit une agression sexuelle. À Murs-Erigné, un père a tué sa fille de 13 ans dans un acte prémédité annoncé en ligne. Le lynchage de Shemseddine à Viry-Châtillon en avril 2024, tabassé à mort par des adolescents, incarne une cruauté juvénile débridée. Les personnes âgées, isolées, endurent des maltraitances physiques et psychologiques, souvent tues par honte. Le numéro 3977, censé les protéger, reste un pansement sur une plaie béante.
D’autres cas glacent le sang. À Toulouse, la streameuse sud-coréenne Jinnytty a été frappée et insultée en plein live, une agression gratuite sous les yeux de milliers de spectateurs. Ces actes, loin d’être isolés, révèlent une France où la peur règne, où la barbarie s’exerce sans retenue.
Un État impuissant, des mesures grotesques
Face à cette apocalypse, l’État brille par son incompétence. Le plan 2025, doté de 85,1 millions d’euros pour lutter contre les violences faites aux femmes, est une goutte d’eau dans un océan de sang. Mais le summum du ridicule vient d’Emmanuel Macron, qui, confronté à la surpopulation carcérale, propose d’envoyer des détenus à l’étranger. Cette idée, rapportée par TF1 Info, est aussi irréaliste qu’absurde : comment croire qu’un pays incapable de sécuriser ses prisons peut orchestrer des transferts internationaux ? Pendant ce temps, des milliards sont engloutis dans des conflits étrangers, comme le soutien à l’Ukraine, au détriment de la sécurité des Français. Ces sommes colossales pourraient financer des prisons, des forces de l’ordre, des programmes de prévention. Au lieu de cela, le gouvernement préfère des gesticulations médiatiques, abandonnant ses citoyens à leur sort.
Un sursaut ou l’abîme
La France, jadis symbole de sécurité et de la douceur de vivre, s’effondre sous le poids d’une violence décomplexée, digne des pires heures du Brésil. Les femmes, les enfants, les personnes âgées, mais aussi les institutions, sont livrés à une barbarie qui ne connaît plus de limites. Les filières criminelles, des séquestrations aux attaques de fourgons, prospèrent sur l’impuissance d’un État englué dans des priorités absurdes. Un sursaut est vital : sanctions implacables, démantèlement des réseaux, protection des vulnérables, réallocation des ressources aux Français. Sans cela, la France deviendra un no man’s land où la loi du plus cruel régnera, abandonnant ses citoyens à une terreur sans fin.
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