En France, la laïcité est censée être un principe neutre et impartial, garant de la séparation entre l’Église et l’État. Pourtant, à Marseille (comme malheureusement dans beaucoup de grandes villes françaises),
sous l’égide du maire socialiste Benoît Payan, elle se transforme en outil d’opportunisme électoral, discriminant ouvertement les expressions chrétiennes tout en accommodant généreusement d’autres religions.
L’annulation récente de la projection du film Sacré-Cœur dans un espace municipal illustre ce deux poids, deux mesures : un contenu chrétien est censuré au nom de la neutralité, tandis que des événements musulmans sont célébrés avec faste, sans que la laïcité ne soit invoquée. Cette hypocrisie n’est pas isolée ; elle s’inscrit dans une stratégie plus large de la gauche, qui vise à effacer les racines chrétiennes de la France pour courtiser un électorat communautaire, au détriment de l’identité nationale.
La censure du film Sacré-Cœur : Un acte de christianophobie assumée
Le 22 octobre 2025, la mairie de Marseille a brutalement déprogrammé la diffusion du docu-fiction Sacré-Cœur : Son règne n’a pas de fin au Château de la Buzine, un lieu culturel municipal. Réalisé par Sabrina et Steven James Gunnell, ce film commémore les 350 ans des révélations du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie Alacoque, mêlant reconstitutions historiques, témoignages spirituels et un message d’amour divin.
Malgré son succès au box-office – plus de 200.000 entrées cumulées et une quatrième place lors de sa sortie le 1er octobre 2025 – la projection a été interdite à la dernière minute, invoquant le principe de laïcité pour éviter tout prosélytisme dans un espace public.
Steven Gunnell, ancien chanteur reconverti, a dénoncé cette décision comme une censure pure et simple, appelant les Marseillais à se révolter pour défendre la pluralité et l’universalisme. Le film, qui suit le parcours d’une jeune femme découvrant la dévotion au Sacré-Cœur, n’est pourtant pas interdit ailleurs : il est projeté dans des cinémas privés comme le Pathé Madeleine. Cette interdiction municipale s’ajoute à d’autres obstacles, comme le refus de publicité dans les transports publics (métro, SNCF, RATP) en septembre 2025, jugé trop religieux. Des voix conservatrices, comme la sénatrice LR Valérie Boyer, ont critiqué cette mesure, soulignant l’hypocrisie d’une laïcité qui tolère d’autres formes de visibilité religieuse.

La laïcité sélective : Chrétiens censurés, musulmans choyés
À Marseille, la laïcité semble s’appliquer avec une rigueur sélective.
Tandis que le film chrétien est banni des espaces municipaux, Benoît Payan n’hésite pas à célébrer ouvertement des événements musulmans. Lors de la fête de l’Aïd-el-Kébir, le maire a participé activement aux festivités, promettant aux fidèles l’extension de mosquées sur des terrains municipaux, comme à Frais-Vallon ou aux Cèdres. « Sans vous, Marseille n’est pas Marseille« , a-t-il déclaré dans une mosquée, assurant que la ville leur « doit » ces facilités. Le conseil municipal a même validé la cession d’une parcelle dans le 13e arrondissement pour une nouvelle mosquée, sans que cela ne soulève de débat sur la neutralité républicaine.
Ajoutez à cela des manifestations culturelles comme le Festival du Kouskous, où des plats sont servis sous des drapeaux algériens et berbères, avec la présence enthousiaste du maire. Rien à signaler du côté de la laïcité : Payan est le premier à signer les autorisations et à poser pour les photos.
Cette disparité est flagrante – un film chrétien est perçu comme une menace prosélyte, mais des extensions de mosquées sur fonds publics passent sans encombre.
C’est une laïcité marseillaise opportuniste, taillée pour des alliances électorales plutôt que pour l’égalité.
L’électoralisme de la gauche : Effacer les racines chrétiennes pour survivre politiquement
Cette incohérence n’est pas un hasard ; elle découle d’une stratégie électorale cynique de la gauche, particulièrement La France insoumise (LFI), qui dépend de l’électorat musulman pour maintenir son influence. En prônant une « religion de la laïcité » rigide envers le christianisme, ces formations politiques effacent méthodiquement tout ce qui rappelle les racines judéo-chrétiennes de la France – croix, crèches publiques, ou films spirituels – tout en accommodant l’islam au nom de l’inclusion et de la diversité. Cette approche opportuniste vise à consolider des bastions communautaires, essentiels pour des partis comme LFI, qui peinent à séduire les classes populaires traditionnelles qu’ils ont trahie.
Le résultat ? Une France où les symboles chrétiens sont relégués à l’ombre, tandis que d’autres confessions bénéficient de passe-droits.
Cette déchristianisation accélérée, héritée d’idéologies révolutionnaires, dilue l’identité nationale au profit d’un multiculturalisme imposé.
Des actes antichrétiens explosent – 401 incidents de janvier à juin 2025, en hausse de 13 % –, incluant vandalismes, incendies et violences, sans que la gauche ne s’indigne outre mesure. Au contraire, elle minimise ces attaques, préférant cibler les « privilèges » historiques du christianisme.
La résistance corse : Un modèle de défense des racines chrétiennes
Juste en face de Marseille, de l’autre côté de la Méditerranée, les Corses offrent un contre-exemple inspirant. Face à une décision judiciaire ordonnant le retrait d’une croix catholique à l’entrée du village de Quasquara en Haute-Corse, des habitants ont réagi avec audace :
ils ont repeint les croix en jaune fluo pour les rendre encore plus visibles, défiant ainsi le diktat administratif.
Cette action, capturée dans une vidéo virale, symbolise une résistance farouche contre l’effacement des symboles chrétiens.
Les jeunes lycéens de Bastia et environs ont été en première ligne, se mobilisant spontanément via les réseaux sociaux sans soutien partisan. Ils ont manifesté devant leurs lycées et la préfecture, brandissant des banderoles en corse et scandant « Terra Corsa, terra cristiana » – « Terre corse, terre chrétienne ». Cette mobilisation met en lumière une identité insulaire indissociable de sa foi, face à une laïcité perçue comme antichrétienne. Dans un contexte mondial où plus de 380 millions de chrétiens subissent persécutions ou discriminations, les Corses rappellent que la défense de l’héritage chrétien peut être victorieuse par la mobilisation populaire.
Les entraves aux initiatives patriotiques : Le cas des Banquets Patriotes
Cette hypocrisie s’étend aux initiatives célébrant le patrimoine français. Le comité d’organisation des Banquets Patriotes, comme Le Canon Français – une association de passionnés sillonnant le pays pour organiser des événements mêlant terroir, traditions, musique, vins et viande locale dans une ambiance conviviale –, fait face à une censure croissante. En Bretagne, trois banquets ont été annulés sous la pression de l’extrême gauche, qualifiés de « trop franchouillards » et accusés de promouvoir un nationalisme excluant.
Les organisateurs, décrits comme une « bande de potes » dédiée au partage et à la joie, se heurtent à des menaces et des intimidations qui les obligent à capituler. Ces annulations illustrent la volonté de la gauche d’annuler tout ce qui évoque les racines de la France : un banquet patriote devient un « danger », tandis que des festivals communautaires sont encouragés. Les réactions sur les réseaux sont vives – indignation contre la « haine gratuite » de l’extrême gauche, appels à la résistance comme louer des espaces chez des agriculteurs, et dénonciations d’une soumission à des idéologies destructrices.
Vers une immigration choisie : Pour une France apaisée et fidèle à ses racines
Pour restaurer une France apaisée, il est impératif de repenser la politique d’immigration, qui doit être choisie par les Français eux-mêmes. Une pétition récente, lancée le 14 septembre 2025, a déjà récolté plus de 1,5 million de signatures en quatre jours,
dénonçant l’immigration massive et incontrôlée comme une « mécanique infernale d’effacement national ».
Elle appelle à un référendum pour instaurer une immigration filtrée, basée sur des critères de compétences, de maîtrise de la langue et d’intégration, inspirée des modèles canadien et australien. Cela inclut la remise en cause des accords de Schengen, des aides sociales inconditionnelles et des quotas imposés par l’UE.
Dans un contexte où le solde migratoire net dépasse 300.000 personnes par an, saturant les services publics et menaçant la cohésion sociale, près de 60 % des Français voient l’immigration comme un danger pour l’identité nationale – un chiffre grimpant à 80 % chez les ouvriers et ruraux. Une immigration compatible avec notre mode de vie ancestral est essentielle : tolérance zéro pour la délinquance, priorisation de l’intégration culturelle, et refus d’une submersion qui dilue les traditions françaises. Sans cela, les fractures s’aggraveront, alimentées par une gauche qui minimise ces enjeux pour préserver son électorat.
Réveiller la France pour préserver son âme
La laïcité opportuniste de Marseille que l’on retrouve dans la plupart des métropoles françaises acquises par la gauche, l’effacement des racines chrétiennes, et les résistances comme en Corse ou via les pétitions montrent que la France est à un carrefour. Il est temps de rejeter cette hypocrisie électoraliste et de défendre un héritage millénaire. En choisissant une immigration maîtrisée et en célébrant sans complexe nos traditions, nous pourrons bâtir une nation apaisée, fidèle à elle-même. Le peuple doit reprendre la main sur ses institutions pour que la France reste la France.
LES CORSES SONT EXTRAORDINAIRES !
— Pascal Laurent (@Pascal_Laurent_) October 22, 2025
Voilà ce qui se passe quand une muzza secca vient mettre le boxon... pic.twitter.com/NV142cNnxM
Les autorités macronistes ont voulu faire démonter une croix dans un village corse à la demande d’une nouvelle arrivée musulmane. Immédiatement, les corses ont décidé d’installer 100 croix supplémentaires dans l’île. Les corses ne se soumettront jamais au fascisme anti-chrétien. pic.twitter.com/yDcPlKqUEz
— JF BdeH (@JefHugo99582) October 19, 2025


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