La médiocrité de Macron, Starmer, Merz, von der Leyen : une Europe en danger

La médiocrité de Macron, Starmer, Merz, von der Leyen : une Europe en danger

Dans une Europe au bord du précipice géopolitique, quatre figures incarnent une ambition démesurée alliée à une légitimité vacillante : Emmanuel Macron, président français, Keir Starmer, Premier ministre britannique, Friedrich Merz, chancelier allemand, et Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Surnommée la « bande des quatre » par leurs détracteurs, cette clique de dirigeants mal élus ou non élus prétend entraîner le continent dans une escalade belliqueuse sans consulter les peuples. Leur comportement, marqué par un machiavélisme opportuniste, une médiocrité alarmante et des casseroles judiciaires ou éthiques, révèle une démocrature rampante où les élites autoproclamées méprisent la souveraineté populaire. Cet article dénonce leur irresponsabilité et le danger qu’ils représentent pour l’Europe.

Une légitimité électorale en lambeaux

Le pouvoir de ces quatre dirigeants repose sur des bases fragiles, voire inexistantes, qui devraient les inciter à la retenue plutôt qu’à l’arrogance.

  • Emmanuel Macron, réélu en 2022 par défaut face à l’extrême droite, gouverne sur un socle électoral érodé. Avec une abstention record et une majorité relative à l’Assemblée nationale, il multiplie les passages en force, comme sur la réforme des retraites. Loin d’être un stratège brillant, Macron excelle dans les calculs machiavéliques, manipulant alliés et opinion pour se maintenir au pouvoir. Ses promesses, comme l’autonomie stratégique européenne, restent des slogans creux, jamais concrétisés. S’il était véritablement intelligent, la France ne serait pas dans un tel état de division et de défiance.
  • Keir Starmer, Premier ministre depuis juillet 2024, a remporté une majorité parlementaire écrasante avec seulement 34 % des voix, un score historiquement faible. Son triomphe reflète un rejet des conservateurs plus qu’un soutien à son projet fade. Suiviste prudent, il s’aligne sur Macron et von der Leyen sans apporter d’idées originales.
  • Friedrich Merz, chancelier depuis décembre 2024, dirige une Allemagne fracturée. Sa victoire électorale, fruit d’un rejet des sociaux-démocrates, repose sur une coalition instable. Ses discours sur l’indépendance européenne masquent un manque de vision, et son alignement précipité sur Macron et von der Leyen surprend dans un pays historiquement prudent en politique étrangère.
  • Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne depuis 2019, n’a jamais été élue par les peuples européens. Nommée à la suite d’un compromis entre Macron et Angela Merkel, elle incarne le déficit démocratique de l’UE. Son passé en Allemagne est entaché de controverses : en tant que ministre de la Défense (2013-2019), elle a été accusée de mauvaise gestion et de favoritisme dans l’attribution de contrats à des consultants externes, notamment Accenture et McKinsey, pour des millions d’euros, en contournant les règles de passation des marchés publics. Ces scandales, combinés à l’état désastreux de la Bundeswehr sous son mandat, ont conduit à son exfiltration vers Bruxelles, où elle a été « recasée » pour éviter des poursuites embarrassantes. Sa réélection en juillet 2024, avec 401 voix au Parlement européen, reste une formalité orchestrée par les élites, loin d’un mandat populaire.

Ces quatre figures, portées au pouvoir par des dynamiques de rejet, des arrangements opaques ou des combines politiciennes, n’ont ni la légitimité ni la stature pour engager l’Europe dans des choix aussi graves que la guerre. Pourtant, ils agissent comme si leur autorité était incontestable.

Une escalade belliqueuse sans mandat populaire

Le plus alarmant est leur empressement collectif à adopter une rhétorique guerrière, notamment dans le contexte du conflit ukrainien, sans consulter les citoyens. Leur voyage commun à Kiev en mai 2025, où ils ont exigé un cessez-le-feu de la Russie sous peine de sanctions, illustre leur audace irresponsable. Von der Leyen, en particulier, se distingue par un bellicisme hallucinant, poussant pour une militarisation accélérée de l’UE avec son plan « ReArm Europe » de 800 milliards d’euros, annoncé le 4 mars 2025, sans débat public d’envergure. Ces postures, qui frôlent la provocation, n’ont été précédées ni de référendums, ni de votes parlementaires approfondis.

  • En France, Macron contourne le débat démocratique avec un style autoritaire. Ses déclarations délirantes sur l’envoi de troupes en Ukraine ou l’élargissement de la dissuasion nucléaire, faites sans consultation populaire, trahissent un mépris pour la souveraineté du peuple. Son discours du 13 mai 2025, évoquant un référendum sur la fin de vie mais éludant les questions géopolitiques, en est une illustration.
  • Au Royaume-Uni, Starmer, malgré ses promesses de renouveau, n’a pas soumis ses engagements en Ukraine à un débat parlementaire clair. Son alignement servile sur Macron et von der Leyen révèle un manque d’indépendance.
  • En Allemagne, Merz rompt avec la prudence traditionnelle de son pays en soutenant les initiatives belliqueuses de von der Leyen. Son discours sur une « indépendance progressive » vis-à-vis des États-Unis, sans validation par un débat public, suscite des inquiétudes.
  • À la tête de la Commission européenne, von der Leyen se pose en cheffe de guerre autoproclamée. Son plan « ReArm Europe », qui vise à réarmer le continent face à la Russie. Ses appels à intégrer l’Ukraine et la Moldavie dans l’UE, pour contrer l’influence russe et chinoise, s’inscrivent dans une logique de confrontation sans mandat démocratique. Ses déclarations, comme celle du 9 mars 2025, sur la menace pesant sur les « valeurs européennes », servent à justifier une militarisation à marche forcée.

Cette absence de consultation populaire ou parlementaire caractérise une démocrature, où les apparences de la démocratie masquent un pouvoir confisqué par une élite déconnectée. En imposant des choix aux conséquences potentiellement catastrophiques, ces dirigeants bafouent la souveraineté populaire.

La médiocrité des élites : machiavélisme, scandales et absence de vision

Loin de l’image de génies stratégiques, Macron, Starmer, Merz et von der Leyen incarnent une médiocrité affligeante, marquée par des calculs opportunistes, des scandales et un déficit de vision.

  • Emmanuel Macron est un tacticien machiavélique, plus habile à diviser qu’à unir. Ses grandes idées, comme l’autonomie stratégique européenne, restent des incantations sans résultats. Sa gestion erratique de la crise ukrainienne, marquée par des provocations inutiles, reflète une obsession pour les coups d’éclat médiatiques. S’il était intelligent, la France ne serait pas dans un tel état de fracture.
  • Keir Starmer se révèle d’une fadeur consternante, incapable de proposer une voie originale. Son alignement aveugle sur Macron et von der Leyen trahit un manque d’audace.
  • Friedrich Merz, malgré ses discours sur l’indépendance allemande, reste prisonnier des contradictions de son parti. Sa volonté de démanteler des normes européennes, comme la directive CS3D, privilégie les intérêts économiques à court terme.
  • Ursula von der Leyen cumule médiocrité et casseroles. Son mandat à la Défense allemande a été marqué par un état désastreux de l’armée et des accusations de favoritisme dans l’attribution de contrats. À Bruxelles, elle a été critiquée pour son rôle dans l’achat opaque de vaccins Pfizer, notamment pour avoir dissimulé des échanges avec le PDG Albert Bourla, qualifiés de « maladministration » par la médiatrice européenne Emily O’Reilly. Sa gestion centralisée et autoritaire, dénoncée par ses propres commissaires, a fragmenté son équipe, plusieurs d’entre eux quittant leurs postes avant la fin de son premier mandat. Son bellicisme, illustré par « ReArm Europe » et son soutien inconditionnel à l’Ukraine, s’accompagne d’un virage à droite, avec des concessions aux partis conservateurs et une alliance tactique avec des figures comme Giorgia Meloni.

Cette médiocrité se manifeste aussi dans leur gestion désastreuse de la communication. L’incident du train de Kiev, où une vidéo les montrant dissimuler des objets a alimenté des rumeurs, illustre leur amateurisme. Bien que démenties, ces allégations ont terni leur crédibilité.

Une Europe au bord du chaos : l’urgence de la démocratie

En s’arrogeant le droit de parler au nom de l’Europe sans consulter les peuples, Macron, Starmer, Merz et von der Leyen risquent de précipiter le continent dans une spirale guerrière. Leur rhétorique belliqueuse alimente la défiance, comme en témoignent les critiques de l’opposition française ou des mouvements nationalistes en Europe de l’Est.

L’absence de référendum ou de débat parlementaire sur des questions aussi graves que l’engagement militaire ou la militarisation de l’UE est une trahison de la démocratie. Comme le souligne le professeur François-Xavier Millet, un référendum doit poser une question claire pour être légitime. Or, ces dirigeants privilégient l’opacité et les décisions autoritaires, renforçant l’impression d’une démocrature.

Face à cette dérive, il est impératif de redonner la parole aux citoyens. Un référendum sur la politique étrangère européenne, ou un débat parlementaire transparent, restaurerait la légitimité des décisions. Les peuples d’Europe, marqués par les guerres passées, méritent mieux que des dirigeants mal élus ou non élus, aux calculs mesquins et aux passés troubles, qui jouent avec leur avenir.

La « très grande médiocrité » de Macron, Starmer, Merz et von der Leyen réside dans leur paradoxe : des leaders faibles, élus par défaut ou imposés par des arrangements opaques, mais suffisamment arrogants pour prétendre redessiner la géopolitique européenne sans mandat. Leur machiavélisme, leurs scandales et leur bellicisme irresponsable les disqualifient pour affronter les défis du XXIe siècle. L’Europe ne pourra sortir de l’ornière qu’en renouant avec la souveraineté populaire, loin des combines d’une élite défaillante.

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