Sous la présidence d’Emmanuel Macron, la France traverse une crise profonde, marquée par un effondrement de sa stature internationale, une dégradation de l’image de la présidence, et des répercussions dramatiques pour les Français. L’article « Du pain et des jeux », publié le 26 mai 2025, dépeint un président isolé, ridiculisé à l’étranger et rejeté par son peuple, incapable de redresser une nation en proie à l’humiliation diplomatique, à la crise économique et à la défiance sociale. Les scandales, incidents humiliants et phrases assassines de Macron, repris par les médias alternatifs et minimisés par la presse mainstream, révèlent une déchéance nationale qui fragilise la France sur la scène mondiale et appauvrit ses citoyens. Face à ce naufrage, une opposition apathique laisse le pays dans l’impasse.
Une stature présidentielle en chute libre : la France humiliée à l’international
La présidence Macron a transformé la fonction présidentielle, jadis symbole de grandeur gaullienne, en une caricature de faiblesse. Une série d’incidents diplomatiques a exposé cette déchéance, ternissant l’image de la France.
- L’accueil humiliant à la Maison Blanche (février 2025) : Lors d’une visite à Washington, Macron a été reçu sans honneurs protocolaires. Posts sur X rapportent que Donald Trump était absent, laissant Macron saluer une foule inexistante avant d’être accueilli par une porte-parole ou un membre subalterne. Une poignée de main brutale de Trump, faisant grimacer Macron, a scellé l’humiliation. Les médias alternatifs y voient un signe d’isolement, tandis que BFMTV évoque un simple contretemps.
- Le petit doigt d’Erdogan (2018) : À Paris, Recep Tayyip Erdogan a tenu le petit doigt de Macron lors d’une poignée de main, un geste condescendant relayé sur X comme une moquerie. Le Figaro le réduit à une anecdote culturelle, mais l’image d’un président rabaissé persiste.
- Les trois chaises au Vatican (avril 2025) : Aux funérailles du pape François, une chaise prévue pour Macron a été retirée après une intervention de Trump, le laissant à l’écart. Les médias alternatifs parlent d’humiliation, tandis que The Telegraph évoque un malentendu logistique.
- Les tables géantes à Moscou (2021) et en Chine (2023) : Face à Poutine et Xi Jinping, Macron a été relégué à l’extrémité de tables démesurées, des mises en scène perçues comme des marques de mépris par les médias alternatifs. Le Monde contextualise ces choix comme des pratiques diplomatiques.
- L’incident au Burkina Faso (2017) : À Ouagadougou, un étudiant a interpellé Macron sur les pannes d’électricité universitaires. Il a répondu : « Vous m’avez parlé comme si j’étais le président du Burkina Faso, mais moi je ne veux pas m’occuper de l’électricité dans les universités. » Alors que le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré quittait la salle, offensé, Macron a ajouté, moqueur : « Du coup, il est parti réparer la climatisation. » Captée en vidéo (voir ici), cette phrase a été dénoncée comme une insulte coloniale par des médias alternatifs, tandis que Le Monde parle d’humour maladroit. Cet incident a terni les relations franco-africaines.
Ces humiliations, amplifiées sur les réseaux sociaux et par les médias alternatifs, contrastent avec les efforts de la presse mainstream pour les relativiser. Elles révèlent un président marginalisé, incapable d’incarner la grandeur française. Des phrases assassines aggravent cette image : « Des gens qui ne sont rien » (2017), « Je traverse la rue, je vous trouve du travail » (2018), ou « Les non-vaccinés, j’ai envie de les emmerder » (2022). Relayées comme preuves d’arrogance, elles alimentent la dérision internationale et la colère nationale.
Conséquences internationales : une France marginalisée
La déchéance de la stature présidentielle affaiblit la France sur la scène mondiale. Jadis puissance diplomatique, elle est désormais un acteur secondaire. L’isolement de Macron, illustré par ses déconvenues avec Trump, Erdogan, Poutine, et Xi Jinping, réduit l’influence française dans des dossiers comme l’Ukraine, où sa posture belliciste est rejetée par 73 % des Français, selon un sondage de mai 2025. En Afrique, l’incident burkinabè et d’autres maladresses ont accéléré le recul de la France face à la Russie et la Chine. Dans l’Union européenne, Macron peine à fédérer, avec des alliés comme l’Allemagne privilégiant leurs intérêts.
Cette marginalisation se traduit par des échecs concrets : perte du contrat des sous-marins australiens (2021), influence déclinante au Sahel, et incapacité à peser sur les crises migratoires ou énergétiques. Sur les réseaux sociaux, les internautes déplorent une France « ridiculisée », un sentiment renforcé par l’image d’un président moqué à l’étranger.
Conséquences pour les Français : un peuple en détresse
À l’intérieur, la présidence Macron a aggravé la crise sociale et économique. Les scandales, comme l’affaire McKinsey (influence d’un cabinet américain) ou Nestlé (eaux contaminées), renforcent l’idée d’une élite déconnectée. Un sondage de mai 2025 indique que 39 % des Français notent une dégradation financière, et 70 % estiment que le gouvernement n’agit pas pour eux.
La gestion autoritaire, marquée par des violences policières lors des manifestations contre la réforme des retraites (2023) et une défiance sanitaire (45 % rejettent le vaccin Covid-19), a fracturé la société. Les phrases assassines, comme « Je traverse la rue… », ont attisé la colère, avec 65 % des Français jugeant Macron mauvais président et 56 % exigeant sa démission. L’inflation, une dette publique de plus de 3 000 milliards d’euros et des réformes indécentes aggravent la précarité. Les JO de 2024, dénoncés comme une opération de communication coûteuse, n’ont pas masqué cette détresse. La France, autrefois phare social, est aujourd’hui fracturée, avec 72 % des Français jugeant les médias mainstream peu objectifs.
Une opposition impuissante : l’impasse politique
Face à cette déchéance, l’opposition reste inerte. Malgré des candidatures pour 2027 (Le Pen, Philippe, Mélenchon), 69 % des Français ne voient aucune alternative crédible, selon un récent sondage. Les médias alternatifs déplorent une opposition divisée, incapable de réagir au discrédit de Macron, dont l’approbation s’effondre à 4 %. Cette faiblesse prolonge l’agonie d’une France en crise.
Une nation à la dérive
La présidence d’Emmanuel Macron, marquée par des humiliations internationales, des scandales et des phrases assassines, a précipité la déchéance de la France. La stature présidentielle, jadis symbole de grandeur, est réduite à une caricature, marginalisant la France face aux grandes puissances. Les Français subissent une crise économique, une fracture sociale et une perte de confiance institutionnelle. Les médias mainstream minimisent ces dérives, tandis que les réseaux sociaux et les médias alternatifs tentent de réveiller les Français de leur torpeur. Sans opposition crédible, la France s’enfonce dans une impasse, laissant un peuple désabusé face à un avenir incertain.
Laisser un commentaire