En ce début septembre 2025, un vent de révolte souffle sur l’Europe et au-delà. Partie d’Angleterre, une vague massive d’affichage de drapeaux nationaux balaie les pays, marquant un refus catégorique de la dilution des identités et des souverainetés orchestrées par une élite mondialiste.
Les peuples, exaspérés d’être manipulés comme des pions dans un jeu de fusion globale, reprennent possession de leurs symboles pour affirmer leur droit à exister en tant que nations distinctes et indépendantes.
Cette mobilisation spontanée expose au grand jour le mépris d’une oligarchie qui impose une uniformité fade, déracinée, où les frontières s’effacent au profit d’intérêts privés et de flux migratoires massifs qui servent à briser les cohésions sociales.
Les origines en Angleterre : un défi direct à l’élite
Tout a commencé en août 2025, dans les villes anglaises comme Birmingham, Manchester et Bradford. Face à des interdictions locales absurdes sur l’affichage des drapeaux anglais et britanniques, des citoyens ordinaires ont lancé une campagne pour couvrir les rues, les ponts et les lampadaires de ces emblèmes. Ce geste, simple en apparence, frappe au cœur du système : il défie les autorités qui tentent de réprimer toute expression de fierté nationale sous prétexte de sécurité ou d’ordre public. Des milliers de personnes se sont organisées via les réseaux sociaux, collectant des drapeaux et coordonnant des actions collectives pour restaurer un patriotisme banni par les élites. L’ampleur a forcé le Premier ministre britannique à intervenir publiquement, affirmant un soutien forcé à ces affichages, tout en limitant leur légitimité à des événements sportifs – une concession qui révèle la panique d’une classe dirigeante déconnectée. Des arrestations ont eu lieu pour de simples publications en ligne ou installations de drapeaux, prouvant que brandir son étendard national est devenu un acte de résistance contre une occupation invisible par des forces qui veulent effacer les peuples.

Cette initiative s’est étendue à l’Écosse, où des dizaines de drapeaux flottent à Glasgow avec des slogans clamant la restauration du patriotisme.
Là-bas, on lit dans les rues que si afficher son drapeau devient subversif, c’est que le pays est sous emprise étrangère.
Le message est clair : les oligarques mondiaux craignent cette unité populaire qui menace leur projet de nivellement par le bas.
Le mouvement émerge d’une initiative citoyenne spontanée, motivée par la frustration des résidents face à l’effacement de l’identité nationale dans les espaces publics. Il s’est propagé dans des villes comme Birmingham, Newcastle, Norwich et Londres, via les réseaux sociaux. Les participants accrochent des Union Jacks et des croix de Saint-Georges sur des lampadaires, des ponts et des façades de maisons, transformant ces drapeaux en symboles visibles de résistance et de fierté dans des zones où ils étaient rares en dehors des matchs de football ou des événements royaux. L’objectif est de résister à la démonisation de l’identité britannique, liée à des accusations de racisme et de colonialisme par des universitaires et des médias. Il vise aussi à contrer l’immigration incontrôlée, l’insécurité croissante et l’incapacité du gouvernement à défendre la population autochtone.
L’acte d’hisser les drapeaux est présenté comme une reconquête de l’espace public et une réaffirmation de la fierté nationale face à l’autodénigrement culturel et historique. La participation publique est massive, avec des citoyens ordinaires qui réaccrochent les drapeaux après leur enlèvement par les autorités. Les promoteurs insistent sur le fait qu’aimer son pays n’est ni un crime ni une idéologie extrême. Les autorités locales, souvent dirigées par le Labour ou des partis communautaires, réagissent en enlevant les drapeaux. À Birmingham, les conseils invoquent des préoccupations de « sécurité routière », affirmant que des drapeaux à six ou sept mètres de hauteur posent des risques pour les automobilistes et les piétons.
À Tower Hamlets, à Londres, contrôlé par un parti pro-Gaza, le maire a promis l’enlèvement immédiat des Union Jacks et des croix de Saint-Georges des infrastructures publiques.
Les critiques soulignent un double standard, car des drapeaux palestiniens et des bâtiments illuminés aux couleurs pakistanaises lors de célébrations nationales n’ont pas fait l’objet d’actions similaires, avec des enlèvements seulement après des protestations de résidents juifs.
Bien que des arrestations ne soient pas explicitement mentionnées, il y a de la censure et des accusations contre les participants, avec des drapeaux réapparaissant rapidement après leur enlèvement, indiquant une tension continue et une résistance contre les actions des autorités. Le mouvement se propage au-delà du Royaume-Uni, avec des actions similaires notées sur les réseaux sociaux en Allemagne. Un militant cité dans la presse anglaise déclare : « Aux États-Unis, personne ne s’offusque de voir flotter les étoiles et les bandes à chaque coin de rue. Pourquoi en Grande-Bretagne devrait-on s’excuser de brandir ses propres couleurs ? » À Birmingham, des drapeaux ont été enlevés sous prétexte de sécurité routière, tandis que des drapeaux palestiniens ont été autorisés à rester pendant des mois. À Tower Hamlets, la promesse du maire d’enlever immédiatement les drapeaux contraste avec l’enlèvement retardé de bannières palestiniennes après des protestations de résidents juifs. Des écoles sanctionnent des enfants pour porter des vêtements aux couleurs de l’Union Jack lors de journées de célébration culturelle, excluant l’identité anglaise ou galloise des récits de diversité, ce qui est cité comme un exemple de suppression d’identité. Le mouvement est profondément lié au patriotisme, avec les participants voyant les affichages de drapeaux comme des actes de fierté nationale et de résistance contre la démonisation de l’identité britannique. Il se connecte aux sentiments anti-immigration via des références à la colère publique sur les placements d’hôtels pour migrants massifs, souvent suite à des incidents dramatiques, et à l’incapacité perçue du gouvernement à aborder les préoccupations de la population autochtone. La critique des autorités est évidente dans les accusations de double standard (tolérance pour les drapeaux étrangers versus britanniques) et dans un récit plus large d’une classe politique qui ne représente plus le peuple, alimentant la bataille culturelle du mouvement pour reconquérir l’identité et l’histoire nationales.
La propagation mondiale : un front uni contre la dilution globale
Le mouvement n’est pas confiné au Royaume-Uni. En Australie, des manifestations massives ont vu des foules brandir le drapeau national à Brisbane et ailleurs, réclamant un arrêt des flux migratoires qui servent à affaiblir l’identité locale et à gonfler les profits d’une minorité. Au Japon, des patriotes défilent avec leur étendard pour contrer une mondialisation qui érode l’homogénéité culturelle. En Allemagne, les citoyens installent des drapeaux sur balcons et fenêtres, organisant des rassemblements pour protéger leur souveraineté. Même aux États-Unis, des figures influentes comme Elon Musk ont amplifié le phénomène en affichant des drapeaux anglais, atteignant des dizaines de millions de vues et donnant une dimension globale à cette révolte.
Ces actions collectives dénoncent une oligarchie qui utilise l’immigration massive comme outil pour diviser, baisser les salaires et créer des chocs sociétaux, engraissant des mafias au passage. Les peuples ne sont plus dupes : cette stratégie vise à rendre les nations malléables, sans racines, prêtes à être remodelées au gré des intérêts d’une élite cosmopolite qui s’enrichit sur le dos des travailleurs locaux.
L’arrivée en force en France : le tricolore comme arme de libération
En France, le mouvement explose depuis fin août 2025. Des citoyens installent le drapeau tricolore sur fenêtres, balcons et ponts, lançant des opérations virales sur les réseaux pour pavoiser massivement.
C’est un cri de ralliement contre une élite qui impose une Union européenne synonyme de perte de contrôle, de guerre en Ukraine et d’injections obligatoires.
Les médias traditionnels, paniqués, multiplient les articles pour minimiser l’ampleur, mais les faits sont là : des milliers participent, affichant leur drapeau pour signifier la reprise en main du destin national.
Ce soulèvement lie directement à la sortie de l’UE – le Frexit – comme unique voie pour restaurer la paix, la liberté et la souveraineté. Des manifestations géantes sont prévues le 6 septembre dans une vingtaine de villes, dont Paris avec un appel à venir drapeau en main pour chasser les dirigeants actuels.
Un ras-le-bol universel : vers la fin de l’oligarchie ?
Cette révolution des drapeaux n’est pas un caprice : elle cristallise le dégoût des peuples pour une oligarchie qui les traite comme des consommateurs interchangeables dans une bouillie globale sans âme. En affichant leurs couleurs, les citoyens refusent la culpabilisation, la division et l’effacement de leurs héritages. Le mouvement grandit exponentiellement – un drapeau aujourd’hui, dix demain, des milliers dans un mois– et démasque ceux qui réagissent par la répression. Les peuples reprennent le pouvoir, un étendard à la fois, pour bâtir un avenir où les nations ne sont plus des reliques, mais des bastions vivants de liberté et d’unité.
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