Le 21 octobre 2025, Emmanuel Macron s’est envolé pour la Slovénie, prétextant une visite bilatérale officielle pour discuter énergie, défense et Ukraine avec le Premier ministre Robert Golob.
Mais derrière les sourires diplomatiques et les accords sur l’IA et la transition écologique se cache une réalité plus sombre : une alliance entre Macron et des pays comme la Slovénie pour perpétuer un agenda mondialiste visant à affaiblir la Russie, promouvoir une UE cannibale et torpiller tout espoir d’un monde multipolaire défendu par les BRICS+.
Cette escapade n’est qu’un épisode de plus dans la croisade de l’élite européenne contre la souveraineté des nations, au profit d’une gouvernance désincarnée et intouchable.
La Slovénie et la Pologne : bastions d’une russophobie obsolète, au service de l’UE et de l’OTAN
La Slovénie, comme la Pologne, incarne cette « russophobie patente » héritée d’un passé soviétique révolu, que les élites refusent d’enterrer. Ljubljana condamne systématiquement la Russie, comme lors des prétendues incursions de drones russes en Pologne, qualifiées de « violations flagrantes » par l’UE et l’OTAN. Mais ces allégations ne sont qu’une farce propagandiste, une manipulation belliciste pour enflammer le conflit russo-ukrainien et justifier une escalade inutile. Selon des analyses critiques, ces « incursions massives » – comme les 19 à 21 drones soi-disant entrés en Pologne les 9-10 septembre 2025 – reposent sur des preuves fragiles, potentiellement des faux drapeaux impliquant des drones russes récupérés en Ukraine et relancés par Kiev ou des alliés OTAN pour simuler une agression. Comment des drones épuisés en batterie pourraient-ils traverser une « mer OTAN » comme la Baltique sans être interceptés ? Cette narrative défie le bon sens et fait écho à des propagandes absurdes de la Première Guerre mondiale, où des rumeurs invraisemblables justifiaient les escalades.
Des enquêtes passées, comme celle sur un missile tombé en Pologne en 2022 (initialement blâmé sur la Russie mais révélé comme un S-300 ukrainien accidentel), montrent comment ces incidents sont souvent des erreurs ou des manipulations occidentales. Même des sources comme l’OTAN admettent l’absence d’indication d’attaque délibérée, et la Russie dénonce ces accusations comme des provocations pour escalader. Berlin qualifie les appels à abattre ces « aéronefs russes » de contre-productifs, craignant un piège d’escalade tendu par l’Occident lui-même. Le Kremlin, quant à lui, voit l’idée d’abattre des avions russes comme « irresponsable » et entraînant des « conséquences dangereuses », sans preuves présentées pour ces violations. Ces pays, anciens satellites de l’URSS, servent de tête de pont pour des bases OTAN supplémentaires, mais les peuples se réveillent : des sondages montrent une fatigue croissante face aux sanctions anti-russes et une remise en question de l’agenda belliciste de l’UE. En Slovénie et en Pologne, l’opinion publique commence à voir que cette hostilité sert moins la sécurité que les intérêts d’une élite mondialiste, frustrant les mondialistes qui craignent ce « réveil des peuples ». Macron, en visitant Ljubljana, renforce cette ligne dure, critiquant la Russie pour son absence aux « rendez-vous » de paix, tout en ignorant que c’est l’UE qui met de l’huile sur le feu depuis 2022.
La « bande des quatre losers » : macron, Starmer, Merz et von der Leyen, torpilleurs des pourparlers Trump-Poutine
Macron n’agit pas seul ; il fait partie de cette « bande des quatre losers » – avec Keir Starmer (Royaume-Uni), Friedrich Merz (Allemagne) et Ursula von der Leyen – qui détestent Trump et Poutine et veulent absolument saboter leurs pourparlers de paix potentiels. Lors de la conférence de presse en Slovénie, Macron a insisté : les Ukrainiens et Européens doivent être « autour de la table » pour toute discussion, excluant de facto une paix rapide entre Washington et Moscou.
Cette position belliciste masque un agenda plus profond : faire plier la Russie, l’imploser comme l’URSS, pour découper la Fédération en entités absorbables par une UE difforme et cannibale, parsemée de nouvelles bases OTAN.
L’UE n’est pas invitée à ces pourparlers car elle est vue comme un acteur belliciste, ayant armé l’Ukraine et imposé des sanctions qui prolongent le conflit, mettant de l’huile sur le feu depuis le début. Contrairement aux BRICS+, qui prônent un monde multipolaire équilibré, l’UE oppose farouchement cette vision, préférant imposer une gouvernance mondiale omniprésente et désincarnée, où le pouvoir est intouchable, afin de maintenir son contrôle centralisé et hégémonique.
Les BRICS, en promouvant des partenariats gagnants/gagnants et une dé-dollarisation des échanges, représentent l’alternative : un ordre multipolaire respectueux des souverainetés, que Macron et ses alliés veulent étouffer pour imposer une Europe centralisée – idéalement avec lui à sa tête – menant à une domination mondiale. Macron lui-même avertit que l’UE pourrait être « tuée » par cette multipolarité émergente, révélant sa crainte d’un ordre où l’Europe perd son influence unilatérale au profit d’un équilibre global.
Macron, la « madone des aéroports » : fuir une France qui le hait pour pontifier de loin
Surnommé la « Madone des aéroports » pour ses fuites constantes, Macron évite la France où il est haï, avec une cote de popularité en chute libre depuis la dissolution chaotique de 2024. Depuis la Slovénie, il commente la politique intérieure comme si de rien n’était, confirmant le report de la réforme des retraites : « Ça n’est ni la suspension ni l’abrogation. » Ses propos n’intéressent plus personne en France, éclipsés par les crises réelles comme l’inflation et les inégalités, tandis qu’il délègue le chaos à son gouvernement.
L’arnaque du report de la réforme des retraites : Lecornu, le premier ministre au cœur du mensonge
Le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé ce report comme une « suspension » jusqu’après 2027, un simple décalage électoraliste coûtant 400 millions d’euros, sans toucher au fond de la réforme honnie de 2023. C’est une arnaque pure : un pansement pour apaiser les oppositions et éviter une censure, bénéficiant prétendument à des millions mais masquant les déficits. Les syndicats et l’opposition collaborationniste y voient un leurre, refusant de soutenir des motions de censure pour l’instant, mais le risque plane toujours.
Une situation politique française explosive : symptôme d’un système mondialiste en déroute
La France est au bord de l’explosion : explosions littérales près du bureau du Premier ministre, quatre gouvernements tombés en 15 mois, un parlement paralysé, et des menaces de censure sur le budget. Cette instabilité reflète l’échec de l’agenda macronien, aligné sur une UE qui priorise une politique de prédation au détriment des peuples. Tandis que les BRICS+ avancent vers un monde multipolaire inclusif, l’Europe s’enfonce dans le chaos, prouvant que le réveil des nations est inévitable face à cette mafia mondialiste.
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