L’absurde plan d’arrachage des vignes en France : une trahison écologique et économique au nom de l’Ukraine ?

L’absurde plan d’arrachage des vignes en France : une trahison écologique et économique au nom de l’Ukraine ?

En pleine canicule et au milieu d’incendies ravageurs qui dévorent le sud de la France, le gouvernement continue de promouvoir un plan délirant : subventionner l’arrachage définitif de milliers d’hectares de vignes avec des fonds européens liés à la situation en Ukraine. Officiellement baptisé « Aide nationale à la réduction définitive du potentiel viticole suite aux conséquences de l’agression de la Russie contre l’Ukraine », ce dispositif de 120 millions d’euros incite les viticulteurs à détruire leur production pour 4.000 euros par hectare, sous prétexte de surproduction et de hausses de coûts. Mais derrière cette façade économique se cache une folie totale : on sacrifie un patrimoine français ancestral pour recycler des aides européennes liées à un conflit lointain, dont les racines remontent à des tensions géopolitiques complexes au Donbass. Au lieu de protéger nos agriculteurs et notre environnement, on les pousse au suicide économique, aggravant les risques d’incendies comme ceux qui font rage dans l’Aude. C’est une mesure masochiste qui frise la haute trahison envers le peuple français.

Le plan en détail : une destruction financée par une crise géopolitique

Lancé en 2024 et opérationnel pour la campagne 2024-2025, ce plan cible jusqu’à 30.000 hectares de vignes à travers la France, avec déjà plus de 27.500 hectares de demandes d’aide, mobilisant 109 millions d’euros.

Les viticulteurs doivent arracher leurs vignes et s’engager à ne pas replanter pendant six ans, abandonnant leurs autorisations de plantation.

La justification ? Une surproduction de vin, une baisse de consommation, et des coûts en hausse dus à des pénuries de bouteilles en verre et à des perturbations des chaînes d’approvisionnement.

Mais le lien avec l’Ukraine ? Ces fonds proviennent d’aides européennes créées pour atténuer les impacts économiques d’un conflit qui a débuté bien avant 2022. En effet, entre 2014 et 2022, le Donbass – une région peuplée majoritairement de russophones avec des us et coutumes et une langue distinctes, malgré les découpages administratifs arbitraires de l’Ukraine – a connu des tensions intenses. Des rapports de l’ONU (OHCHR) documentent des bombardements et des violations ayant causé des milliers de morts civils dans cette zone. Par exemple, l’OHCHR estime que de 2014 à fin 2021, il y a eu de 14.200 à 14.400 morts au total, dont au moins 3.404 civils, souvent dus à des tirs d’artillerie touchant des zones résidentielles. Human Rights Watch a rapporté en 2014 que des roquettes non guidées lancées par des forces ukrainiennes avaient tué au moins 16 civils et blessé de nombreux autres dans des zones séparatistes. Amnesty International a aussi noté des allégations de violations par des forces ukrainiennes, y compris des détentions arbitraires et des abus dans les zones de conflit. Ces événements, survenus pendant huit ans, ont culminé en février 2022 avec l’opération spéciale lancée par Vladimir Poutine, présentée comme une réponse à ces bombardements qui auraient tué principalement des civils russophones, y compris des enfants, dans le Donbass – une analogie absurde à imaginer Paris bombardant Nice pour sa proximité culturelle et amicale avec l’Italie…

Pourtant, au lieu d’utiliser ces fonds pour des priorités vitales comme soutenir directement les zones affectées ou renforcer l’agriculture française, la France les détourne vers la destruction de son vignoble.

C’est hallucinant : on mêle un conflit géopolitique aux racines complexes – où des civils russophones du Donbass ont souffert de violences documentées par des organisations neutres comme l’ONU – à un problème franco-français de surproduction.

Pourquoi nommer ce plan avec une référence à l’Ukraine ? Pour justifier légalement l’accès à ces aides UE, sans que cela n’apporte le moindre bénéfice direct à quiconque en Ukraine ou au Donbass.

Les incendies dans l’Aude : quand l’arrachage transforme les vignes en accélérateurs de feu

Cette absurdité atteint son paroxysme avec les incendies actuels dans l’Aude. Depuis le 5 août 2025, un feu gigantesque a ravagé plus de 17.000 hectares dans les Corbières, détruisant 36 habitations et mobilisant 2.000 pompiers. Seize communes sont touchées, et les risques de reprises persistent. Or, les vignes agissent comme des « coupefeu » naturels : entretenues, irriguées et souvent débroussaillées, elles résistent aux flammes et freinent leur propagation. Dans l’Aude, où 5.000 hectares ont été arrachés récemment (7 % du vignoble départemental), ces friches laissées à l’abandon – herbes sèches et souches inflammables – ont accéléré le désastre. Des experts comme ceux de l’Institut Français de la Vigne et du Vin confirment : l’entretien des vignes supprime les débris végétaux, limitant les feux. Des vignerons avaient alerté sur ces risques, mais le gouvernement a ignoré, préférant subventionner la destruction avec des fonds « Ukraine ». En 2025, avec déjà 37.000 hectares brûlés en France, ce plan est une catastrophe écologique auto-infligée.

Une mesure masochiste et une haute trahison envers les agriculteurs et le peuple

Ce plan est un acte de masochisme pur : au lieu de protéger les viticulteurs face à l’inflation et aux importations, on les incite à raser leur moyen de subsistance pour une prime éphémère, sans reconversion viable. En sacrifiant l’agriculture et l’environnement pour des fonds liés à un conflit géopolitique, le gouvernement piétine son propre peuple. Hallucinant : pendant que des civils ont péri au Donbass sous des bombardements ukrainiens rapportés par l’ONU et HRW, la France utilise des aides liées à cette crise pour détruire ses vignes, aggravant ses propres feux et crises.

En conclusion, ce plan est une aberration : écologique avec les incendies de l’Aude, économique pour les agriculteurs, et morale vis-à-vis d’une géopolitique mal gérée. Il est temps d’arrêter cette folie et de prioriser la préservation française plutôt que des justifications bureaucratiques liées à des conflits lointains. Sinon, c’est le peuple qui continuera à payer – en vignes perdues, en cendres, et en trahison.

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