L’assaut contre les racines chrétiennes de la France : la résurgence de la Terreur ?

L’assaut contre les racines chrétiennes de la France : la résurgence de la Terreur ?

Un incident récent à l’église de la Madeleine à Paris illustre parfaitement la dérive actuelle contre les symboles chrétiens.

Le 26 juillet dernier, des militants propalestiniens, arborant des keffiehs, ont perturbé une messe en exhibant des images de victimes de Gaza et en lisant un texte dénonçant un « génocide » et une « famine organisée » par l’État israélien.

Les fidèles, outrés, ont réagi par des cris, avant que deux policiers en civil n’interviennent pour évacuer les intrus. Monseigneur Patrick Chauvet, curé de la paroisse, a porté plainte le lendemain, déclarant : « On ne peut pas perturber un culte, moment de silence et de recueillement. L’église n’est pas politique. » Cet acte, loin d’être isolé, s’inscrit dans une vague d’attaques contre le christianisme, qui reste la religion la plus visée en France malgré les discours officiels sur la tolérance.

Les chrétiens, principales victimes des actes anti-religieux

Les statistiques sont accablantes : en 2024, les services de renseignement ont recensé 770 actes antichrétiens, en baisse par rapport aux années précédentes mais toujours bien supérieurs aux autres formes de haine religieuse. Au premier semestre 2025, ce chiffre s’élève déjà à 322 actes, soit une hausse de 13 % par rapport à la même période en 2024. Parmi ces actes, 62 % sont des vandalismes, 10 % des incendies criminels et 7 % des violences physiques. Ces chiffres contrastent avec les hausses d’actes antimusulmans (+75 % début 2025) ou antisémites (niveau « très élevé »), mais soulignent que les chrétiens subissent la majorité des agressions antireligieuses en France. Pourquoi ce silence médiatique ? Parce que cibler l’Église semble moins « politiquement incorrect » dans un pays qui se vante d’être la « fille aînée de l’Église » mais refuse de plus en plus ses racines ancestrales.

L’extrême gauche française : une offensive croissante contre les symboles de l’église

L’extrême gauche, souvent prompte à défendre les minorités, n’hésite pas à s’attaquer aux symboles chrétiens, perçus comme des vestiges d’un ordre ancien à déconstruire. Un exemple flagrant date de 2020 : à Sumène, dans le Gard, une statue de la Vierge installée en 1950 a été décapitée, sa tête retrouvée au sol près d’une grosse pierre, signe évident d’un vandalisme délibéré. Le maire a porté plainte, notant un rapport évident avec la destruction à la disqueuse d’une croix au Pic Saint-Loup peu avant.

Ces actes ne sont pas isolés. En 2021, une procession catholique à Paris a été violemment attaquée par des militants criant « À mort les fachos ! », illustrant une hostilité viscérale.

Plus récemment, en 2024, des tags – imputés à des groupes radicaux de gauche dans un contexte de polarisation – ont souillé l’église Saint-Louis à Boulogne-sur-Mer. Et en 2023, une hausse notable des attaques antichrétiennes a été liée au climat politique, avec 32 attaques sur des propriétés d’églises et 7 violences physiques. L’extrême gauche, héritière idéologique de la déchristianisation révolutionnaire, voit dans ces symboles des obstacles à son projet utopique.

Même Emmanuel Macron participe à l’érosion de la foi catholique

Si l’extrême gauche agit par la rue, l’extrême centre, incarné par Emmanuel Macron, opère par les institutions. À Notre-Dame de Paris, Macron a flirté avec la violation de la séparation de l’Église et de l’État en prononçant un discours politique lors de la réouverture en décembre 2024. Bien qu’il fut contraint de choisir le parvis sur la pression de l’Église, son intervention dans un lieu sacré a été vue comme une entorse à la loi de 1905, glorifiant une « France unie » tout en ignorant les racines spirituelles de la cathédrale. Pire, il impose le remplacement de vitraux du XIXe siècle, classés monuments historiques (Viollet-le-Duc, Architecte français, 1814-1879) et intacts après l’incendie de 2019, par des créations contemporaines – un projet contesté par les experts du patrimoine, mais validé malgré tout fin 2024. Cette « modernisation » est perçue comme une déconstruction des symboles religieux au profit d’un art abstrait, mondialiste. Ajoutons la mort « étonnante » du général Jean-Louis Georgelin en 2023, chargé de la reconstruction : officiellement un accident de randonnée dans les Pyrénées, mais des suspicions persistent chez certains observateurs, vu son rôle clé et ses tensions avec les architectes (depuis 2019, aucune avancée de l’enquête). Macron, en somme, semble vouloir effacer l’héritage catholique pour une France « déconstruite », comme il l’a évoqué en appelant à « déconstruire notre propre histoire ».

Le système contre les racines ancestrales : la France, fille aînée de l’église, en péril

Ce refus systémique de laisser les Français « garder les pieds sur terre » et leur « colonne vertébrale ancestrale » – la France comme « fille aînée de l’Église » – est évident. Macron lui-même a reconnu les « racines judéo-chrétiennes » en 2018, mais ses actes contredisent ses mots. Au lieu de préserver cet héritage, le pouvoir promeut une laïcité agressive qui nie les fondations chrétiennes, favorisant un mondialisme sans âme où l’identité nationale est diluée.

La résurgence de la Terreur révolutionnaire : un parallèle accablant

Ce phénomène n’est pas nouveau : il fait écho à la Terreur de la Révolution française (1793-1794), où l’extrême gauche et l’extrême centre d’alors massacraient des prêtres ou les forçaient à adapter leurs prêches à une idéologie « républico-compatible » sous peine de mort. Des milliers de clercs furent guillotinés ou noyés lors des « noyades de Nantes », dans une campagne de déchristianisation forçant le culte de la Raison. Robespierre, incarnait cette furie antichrétienne, promouvant la Vertu par la Terreur. Aujourd’hui, l’extrême gauche française, avec Jean-Luc Mélenchon en figure de proue, est la résurgence de ces « colonnes de la Terreur ». Mélenchon, qui se compare ouvertement à Robespierre, défend le suffrage universel et le partage, mais son radicalisme idéologique vise à déraciner les traditions chrétiennes au nom d’une « révolution citoyenne ».

De l’autre côté, l’extrême centre macronien joue le rôle d’un Robespierre modernisé : non par idéologie pure, mais par cupidité, sacrifiant les intérêts français à un mondialisme élitiste. Macron, en remplaçant le peuple par une immigration massive et en diluant l’identité chrétienne, impose une « secte » globaliste où la France perd son âme. Les uns (Mélenchon) agissent par utopie destructrice, les autres (Macron) par opportunisme économique. Ensemble, ils déconstruisent les racines chrétiennes pour un ordre nouveau, athée et déshumanisé : ils sont les deux faces d’une même pièce.

De la Madeleine vandalisée à Notre-Dame « modernisée », la France risque de perdre son essence. Il est temps de défendre ses racines, avant que la Terreur ne revienne sous un masque contemporain.

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