Le réseau Soros : un cheval de Troie mondialiste dans le viseur de Trump

Le réseau Soros : un cheval de Troie mondialiste dans le viseur de Trump

George Soros, milliardaire hongro-américain, a bâti un empire philanthropique via les Open Society Foundations (OSF), présenté comme un défenseur de la « société ouverte » inspirée du philosophe Karl Popper. Cette vision philosophique, centrée sur la fallibilité humaine et la réflexivité, sert de cadre à des interventions globales promouvant l’ouverture des frontières, les droits humains et la démocratie. Pourtant, derrière cette façade humaniste se cache une stratégie visant à éroder les valeurs ancestrales du monde entier – familiales, spirituelles, communautaires – au profit d’un ordre matérialiste, robotisé et impersonnel où dominent les logiques marchandes et la surveillance technocratique.

Les OSF, fondées en 1979, ont dépensé plus de 23 milliards de dollars en trois décennies, avec un budget annuel avoisinant 1,7 milliard en 2023, finançant des milliers d’organisations dans plus de 100 pays. Soros, influencé par Popper, voit dans les sociétés fermées des ennemis du libéralisme, réduisant l’histoire occidentale à une généalogie totalitaire de Platon à Marx, ignorant les traditions réalistes comme l’augustinisme ou le thomisme. Sa théorie de la réflexivité – où les actions influencent la réalité perçue – s’applique non seulement à la finance, où il a spéculé sur des crises comme celle de la Banque d’Angleterre en 1992, mais aussi à la politique, transformant les sociétés en systèmes cybernétiques manipulables.

La façade humaniste : ingénierie sociale et déconstruction globale

Les OSF se présentent comme promoteurs de justice raciale, d’éducation et de réformes judiciaires, soutenant des mouvements comme Black Lives Matter avec des dizaines de millions de dollars. En réalité, ces financements alimentent une ingénierie sociale inspirée de Gregory Bateson et de la cybernétique, utilisant la « schismogenèse » pour fracturer les sociétés sur des lignes ethniques, culturelles ou identitaires.

Soros, élève de Popper, distingue une ingénierie utopiste menant au totalitarisme, mais son projet d’ouverture forcée impose un impératif catégorique : toute fermeture est réactionnaire, fasciste.

En Europe, via des think tanks comme l’European Council on Foreign Relations (ECFR), fondé en 2007 avec des fonds OSF représentant un tiers de son budget (plus de 2 millions d’euros en 2017), Soros influence les politiques étrangères. L’ECFR, regroupant des figures comme Nathalie Loiseau ou Ursula von der Leyen, pousse pour une intégration européenne alignée sur le globalisme, favorisant l’immigration massive et la déconstruction des souverainetés nationales. Des analystes brésiliens comme William Gonçalves dénoncent cette interférence comme une menace à la démocratie, contrastant avec des visions trumpiennes du globalisme comme ennemi.

Suppression des valeurs ancestrales : du local au global

Le réseau Soros cible les valeurs ancestrales au-delà de l’Occident. En Afrique, des financements soutiennent des flux migratoires qui déstabilisent les structures tribales et familiales, favorisant un nomadisme matérialiste. En Asie, des nations comme l’Inde ou le Kazakhstan rejettent ses interventions pour atteinte à l’intérêt national. Les révolutions colorées – en Géorgie, Ukraine ou Kirghizistan – maquillent des coups d’État en soulèvements populaires, financés par OSF pour « ouvrir » des marchés et imposer le libéralisme. Soros admet son rôle en Ukraine en 2014, utilisant même des dynamiques antisémites structurelles pour des fins antirusses.

Cette déconstruction favorise un monde robotisé : algorithmes de surveillance, consommation effrénée, réification de l’humain en objet connecté. Promotion d’idéologies woke, LGBTQ et climatiques via USAID, érodant les repères spirituels et communautaires. En Hongrie, Viktor Orbán a expulsé les OSF en 2018 pour avoir miné l’identité chrétienne ; en Russie, elles sont « indésirables » depuis 2015. Des philosophes comme Alexandre Douguine voient dans l’immigration massive un pilier sorosien du libéralisme, impossible à contrer sans vaincre l’idéologie.

Le cheval de Troie des mondialistes : financements occultes et totalitarisme déguisé

Soros incarne un « philanthropocapitalisme » globaliste, court-circuitant les processus démocratiques via des think tanks (groupes de réflexion) et ONG. L’ECFR, modelé sur le Council on Foreign Relations américain, oriente l’Europe vers un extrême-centre, finançant des plans migratoires comme celui de Merkel en 2015, calqué sur des propositions sorosiennes. Des liens avec USAID transforment l’aide en outil d’influence, finançant des procureurs aux États-Unis qui refusent de punir les crimes, contribuant au chaos urbain.

Elon Musk a accusé George Soros de « haïr l’humanité » et de vouloir éroder la civilisation par le biais de ses fondations. Soros a admis avoir nourri des « fantasmes messianiques » dès l’enfance, qu’il a pu réaliser grâce à sa fortune, révélant ainsi une hubris mégalomane. Cependant, son empire philanthropique se contracte : passant d’une présence dans plus de 100 pays à une structure réduite avec des fermetures d’offices régionaux, des effectifs ramenés à moins de 600 employés et une restructuration impliquant des coupes budgétaires significatives. 

Vers un réveil des peuples : résistance aux forces matérialistes

Le paradoxe sorosien est flagrant : promouvoir l’ouverture mène à un totalitarisme technocratique, avec frontières internes, surveillance et concurrence fracturée pour un contrôle supranational. Des leaders comme Trump appellent à des enquêtes RICO contre Soros pour organisation de manifestations violentes. En Birmanie, Russie ou Chine, ses fondations sont chassées ; aux États-Unis, des réseaux comme ceux de Musk contrebalancent son influence.

Pour contrer ce cheval de Troie, réguler les financements étrangers des ONG et revitaliser les identités culturelles est impératif. Les valeurs ancestrales – famille, spiritualité, communauté – sont le rempart contre un monde impersonnel où l’humain est réduit à un consommateur sous algorithmes. Le réseau Soros, malgré sa façade, menace la civilisation ; son exposition annonce un réveil global des peuples.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

NOUS CONCERNANT
NOUS CONCERNANT
MultiPol 360
À l’heure où tout semble s’effondrer dans les sociétés humaines et où ceux qui prônaient un Nouvel Ordre Mondial unipolaire découvrent avec rage que la majorité des peuples du monde n’acceptent plus la dictature occidentale, notre équipe a décidé de vous présenter ce monde en mutation en analysant les faits principaux qui sont soit occultés soit manipulés par les médias aux ordres. Nous couvrons l’essentiel de l’actualité française et internationale sans que vous perdiez votre temps à chercher parmi les milliers d’informations qui nous sont proposées chaque jour. Aujourd’hui, ceux qui veulent s’informer pour approcher la vérité et résister à la désinformation du Système ont un nouvel outil à leur disposition : Il s’appelle MultiPol360. Nous sommes heureux de le mettre à votre disposition. Bienvenue dans le monde multipolaire de demain !

NOS CONSEILS DE LECTURE

Vous y trouverez des conseils de lecture qui vous aideront à mieux comprendre les enjeux de la géopolitique et des interactions qui gouvernent notre monde.

SITES AMIS