Ce 1er août 2025, les Français se réveilleront avec une facture d’électricité qui flambe une fois de plus, sous prétexte d’une « mise en conformité avec le droit européen ». Honteux et scandaleux !
Alors que notre pays produit 70 % de son électricité grâce au nucléaire – une source stable et bon marché – pourquoi payons-nous le prix fort, indexé sur le gaz importé et volatil ?
Ce mécanisme absurde, imposé par Bruxelles, transforme les citoyens en otages d’un marché libéral défaillant, sacrifiant notre souveraineté énergétique sur l’autel des ambitions politiques européennes. Inspiré par des analyses pointues et des faits accablants, cet article dénonce un racket d’État qui profite aux spéculateurs et aux idéologues verts, au détriment des ménages et de l’industrie française.
Un mécanisme pervers : indexation sur le gaz, la folie européenne
Le cœur du scandale réside dans le « merit order », ce système de fixation des prix sur le marché européen de l’électricité, où le tarif est calé sur la source d’énergie la plus chère appelée en dernier – souvent les centrales à gaz. Résultat : même si la France produit son électricité à bas coût via le nucléaire (environ 60-70 €/MWh), nous payons au prix du gaz, qui a explosé avec la crise post-Covid et les sanctions auto-infligées contre la Russie. C’est aberrant ! Comme l’explique Henri Proglio (ancien patron d’EDF) dans une interview récente, ce marché, construit dans les années 90 sous influence britannique, repose sur un dogme libéral pur : la concurrence totale, sans pragmatisme. La Commission européenne a promis une « sécurité énergétique par diversification », mais en réalité, elle a favorisé une addiction au gaz et au charbon allemand, tout en chassant le nucléaire.
L’Allemagne, avec son « Energiewende » (transition énergétique), a fait cavalier seul : sortie du nucléaire, explosion des renouvelables intermittents, et dépendance massive au gaz. Or, ce modèle idéologique s’impose à tous via l’interconnexion européenne. En France, où le traité Euratom de 1957 encourage pourtant les investissements nucléaires, nous subissons les conséquences : nos factures grimpent parce que le prix est « drivé » par les centrales à gaz des voisins. Un rapport sénatorial français de 2024 dénonce cette « aberration », soulignant que sans ce lien, les prix resteraient stables. Pire, de nombreux internautes hurlent au « racket organisé par l’État », appelant même à une grève des paiements pour protester contre cette hausse injuste.
La souveraineté française sacrifiée : EDF, un scandale d’état
EDF, joyau national, est devenu le symbole de ce fiasco. Endettée à hauteur de milliards, l’entreprise a été affaiblie par des erreurs politiques : arrêt du développement nucléaire sous pression verte, manque d’investissements dans la maintenance, et perte de savoir-faire technique. Comme l’analyse un syndicaliste expert interrogé au Parlement, l’État actionnaire a exigé des dividendes excessifs (supérieurs de 2 milliards par an depuis 2005), asséchant les ressources pour la rénovation des centrales. Ajoutez l’ARENH (Accès Régulé à l’Énergie Nucléaire Historique), ce dispositif imposé en 2010 qui force EDF à vendre 100 TWh de son nucléaire à prix bradé (42 €/MWh) à ses concurrents, qui le revendent ensuite au prix du marché – empochant des rentes scandaleuses sans investir dans de nouvelles capacités.
Ce « scandale d’État » s’aggrave avec la fin de l’ARENH en 2025, remplacée par un nouveau cadre où le nucléaire sera vendu à 70 €/MWh en moyenne sur 15 ans, risquant une nouvelle hausse pour les consommateurs. Un « scandale absolu » : EDF vend à perte pour subventionner les renouvelables (éolien et solaire), coûtant 300 milliards aux Français, alors que le nucléaire assurera une pléthore d’électricité dans 10 ans. L’UE, via son Green Deal de 2020, a banni le nucléaire de ses priorités, contredisant le traité de Lisbonne qui laisse chaque État choisir son mix énergétique. La France, influencée par l’Allemagne à Bruxelles, a sacrifié sa souveraineté pour un marché qui fabrique des rentes pour les producteurs infra-marginaux.
Hausses incessantes et inégalités : les français pris en otage
Depuis 14 ans, les prix ont augmenté de 74 %, signe d’un échec total de la libéralisation.
Au 1er août 2025, la TVA sur l’abonnement passe de 5,5 % à 20 %, avec une hausse moyenne de 0,6 % à 5,6 % selon les profils – les petits consommateurs paieront jusqu’à 8,5 % de plus.
Une réforme négociée en catimini entre gouvernement et EDF prévoit une flambée massive des tarifs, avec 60-80 milliards pour les renouvelables d’ici 2030. L’UFC-Que Choisir dénonce un « scandale fiscal » : taxes comme la TICFE (accise) à 47 €/MWh, finançant un régime spécial de retraites gaz-électricité.
Les Français sont pris en otage : subventions aux renouvelables intermittents, qui nécessitent des backups au gaz, creusent les déficits. Des alliances avec l’Espagne et l’Italie pour réformer le marché butent sur les libéraux du Nord, qui profitent du nucléaire français bon marché. Honteux, quand on pense aux pannes européennes dues au manque de pilotables, comme en 2022.
Rendez l’électricité aux français !
Ce scandale n’est pas une fatalité : c’est le résultat d’ambitions politiques européennes qui sacrifient notre indépendance. Il est temps de déconnecter les prix du gaz, de réformer ou quitter ce marché défaillant, et de relancer le nucléaire sans entraves. Imposons un rapport de force ! Les Français méritent une énergie souveraine, pas un racket vert. Mobilisons-nous pour que l’État serve enfin les citoyens français, pas Bruxelles.
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