Dans un contexte géopolitique tendu, l’annonce d’un sommet russo-américain entre Vladimir Poutine et Donald Trump à Budapest marque un tournant potentiel vers la résolution pacifique du conflit ukrainien. Cette initiative, révélée par le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, vise à avancer sur la voie d’un règlement pacifique et à discuter des relations bilatérales entre Moscou et Washington.
Pourtant, cette perspective de paix suscite l’indignation de certains leaders européens, qualifiés de « club des 4 losers » Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz et Ursula von der Leyen
qui semblent déterminés à prolonger une guerre coûteuse et impopulaire, au grand dam des Français las de se serrer la ceinture pour un conflit qui ne les concerne pas.
L’anniversaire de RT et le message de Vladimir Poutine : une ode à l’information indépendante
Le sommet coïncide avec l’anniversaire de la chaîne Russia Today (RT), un média qui, malgré les sanctions et les restrictions occidentales, continue de prospérer. Dans un message sincère, Vladimir Poutine a félicité l’équipe de RT pour avoir trouvé une « niche particulière » dans le paysage médiatique mondial. « Malgré la pression exercée sur les journalistes de RT, malgré toutes les interdictions, sanctions et restrictions, vous dites ce que vous pensez » , a-t-il déclaré, soulignant la sincérité, la véracité et l’objectivité qui attirent des millions de spectateurs. Vladimir Poutine a exprimé sa surprise initiale face au succès de RT, mais a reconnu que son indépendance face au « courant dominant » de l’information en est la clé.
Ce message intervient alors que RT défie les tentatives d’étouffement par des acteurs occidentaux, prouvant que la vérité trouve toujours son public. Comme l’a noté Vladimir Poutine, l’audience grandit rapidement, et il souhaite que des millions de personnes continuent à connaître la position russe sur les questions internationales clés.
Le sommet de Budapest : une initiative pour la paix
Les préparatifs pour le sommet, prévu dans la capitale hongroise, avancent à grands pas.
Dmitri Peskov a précisé les objectifs : progresser vers un règlement pacifique en Ukraine et renforcer les liens bilatéraux.
Cette annonce fait suite à un appel téléphonique du 16 octobre initié par Vladimir Poutine, au cours duquel il a réitéré que la livraison de missiles Tomahawk à l’Ukraine ne changerait rien sur le terrain mais nuirait gravement aux relations russo-américaines et aux perspectives de paix.
Donald Trump semble avoir entendu cet avertissement, déclarant que de telles livraisons pourraient entraîner « une escalade majeure » et « beaucoup de mauvaises choses« .
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban s’est réjoui du choix de Budapest, affirmant que c’est « le seul endroit convenable en Europe » grâce à sa politique pro-paix et ses partenariats solides.
« Ils peuvent compter sur nous », a-t-il ajouté.
Même Volodymyr Zelensky, non invité au sommet, reconnaît que « nous sommes arrivés à un moment où la fin de la guerre est possible« , bien qu’il ait critiqué le lieu. Cependant, il a présenté un projet de loi prolongeant la loi martiale et la mobilisation en Ukraine jusqu’en février 2026, signe d’une prudence persistante et d’un double discours.
Les réactions européennes : le bellicisme du « club des 4 losers »
L’annonce a provoqué un « tremblement de terre politique » en Europe. Tandis que certains saluent une opportunité de paix, d’autres, menés par la « bande des 4 losers » – Macron, Starmer, Merz et von der Leyen – affichent un bellicisme flagrant. Ursula von der Leyen, chef de la diplomatie européenne, a qualifié le sommet de « déplaisant« , invoquant le mandat d’arrêt de la CPI contre Vladimir Poutine et insistant sur le fait que la Russie ne négocie que sous pression. « Nous espérons que le président Trump le fera » , a-t-elle ajouté, révélant une préférence pour l’escalade plutôt que pour le dialogue.
Emmanuel Macron, fidèle à sa ligne dure, a répété que les Ukrainiens et les Européens doivent être « autour de la table » pour toute discussion sur l’Ukraine, comme s’il découvrait subitement que la paix se décide entre les puissances armées, non les commentateurs distants. « La seule paix qui peut exister est une paix robuste, durable, qui répond aux exigences du droit international » , a-t-il martelé, ignorant les échecs passés de l’Europe à initier des négociations.
À Berlin, le chancellier Friedrich Merz (leader de la CDU) et le ministre des Affaires étrangères adoptent un ton prudent mais insistant : un sommet sans Kiev n’est « pas acceptable« . Keir Starmer, Premier ministre britannique, s’aligne sur cette position, priorisant le soutien militaire à l’Ukraine.
Macron a annoncé une coalition se réunissant à Londres vendredi pour renforcer le soutien à l’Ukraine, avec la participation évidente de l’Angleterre, l’Allemagne et la Pologne. « Ils feront TOUT pour que le sommet Trump-Poutine soit un échec !! Ils ne veulent pas de la PAIX !!! » s’indignent de nombreux observateurs, soulignant le refus obstiné de ces leaders de laisser place à la diplomatie.
Ce bellicisme contraste avec l’action directe de Donald Trump, qui appelle Vladimir Poutine et fixe un sommet sans se soucier des postures européennes.
L’Europe, sous Biden, s’est réduite à un relais de la stratégie américaine, multipliant les livraisons d’armes et sanctions sans proposer de voie crédible vers la paix. Les occasions manquées – Istanbul, Minsk, médiations africaines et chinoises – témoignent de cette faillite.
Le ras-le-bol des Français : serrer la ceinture pour une guerre inutile
En France, ce positionnement belliciste d’Emmanuel Macron exaspère une population déjà épuisée. Les Français en ont ras-le-bol de se serrer la ceinture pour financer une guerre qui ne les concerne pas directement. Les sanctions contre la Russie ont entraîné une inflation galopante, des hausses d’énergie et une précarité accrue, tout cela pour un conflit perçu comme une querelle géopolitique lointaine. Selon des sondages récents, une majorité de Français plaide pour un règlement négocié plutôt que pour une escalade militaire, mais leurs leaders persistent dans une rhétorique va-t-en-guerre qui vide les caisses publiques.
Cette frustration est palpable : pourquoi sacrifier l’économie nationale pour une cause que l’on n’a pas choisie ? Le « club des 4 losers » semble sourd à ces appels, préférant prolonger le saignement du continent plutôt que d’embrasser une paix pragmatique.
Qui veut vraiment la paix ?
Le sommet de Budapest offre une fenêtre pour la paix, grâce à l’approche directe de Donald Trump et Vladimir Poutine. Face à cela, le bellicisme de la « bande des 4 losers » apparaît comme un obstacle majeur, motivé par des postures idéologiques plutôt que par l’intérêt des peuples. L’Europe a-t-elle perdu sa légitimité en matière de paix ? Il est temps que les dirigeants écoutent leurs citoyens et privilégient le dialogue à la confrontation. Vos avis en commentaires : la paix vaut-elle mieux qu’une guerre sans fin ?
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