L’interdiction de la Gay Pride en Hongrie : une réponse à la politisation caricaturale et provocatrice des marches LGBT

L’interdiction de la Gay Pride en Hongrie : une réponse à la politisation caricaturale et provocatrice des marches LGBT

En 2025, la Hongrie de Viktor Orbán se retrouve au cœur d’une controverse européenne en interdisant la Gay Pride à Budapest, un événement jugé contraire aux valeurs chrétiennes et nationales. Cette décision, loin d’être un simple caprice autoritaire, répond à la politisation extrême et aux comportements provocateurs des marches LGBT, comme en France, où la Gay Pride est devenue une foire d’extrême gauche caricaturale, financée par des réseaux globalistes et déconnectée de la majorité des homosexuels. Derrière cette interdiction, Orbán dénonce une instrumentalisation des droits LGBT par des forces néoconservatrices et financières, orchestrées par l’Union européenne (UE) et des réseaux comme ceux de George Soros, au détriment des peuples souverains.

L’interdiction de la Gay Pride en Hongrie : une posture assumée

Le 26 juin 2025, le gouvernement hongrois a mis en garde ses partenaires de l’UE, réaffirmant son refus d’autoriser la Gay Pride à Budapest, malgré les pressions internationales. Selon Le Monde, cette décision s’appuie sur la loi de 2021 dite de « protection de l’enfance », interdisant la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs, et sur un amendement de mars 2025 bannissant les marches LGBT dans l’espace public. Dans une lettre aux ambassadeurs de l’UE, obtenue par Euractiv (impossible à retrouver en intégralité), le ministre des Affaires étrangères Péter Szijjártó défend cette mesure comme une protection des « valeurs chrétiennes » et de la « souveraineté nationale », accusant l’UE d’imposer une « idéologie progressiste » nuisible aux enfants. Szijjártó y dénonce les « provocations publiques » des Prides, qu’il juge incompatibles avec la morale hongroise.

Votée par le parlement dominé par le Fidesz, cette interdiction autorise l’usage de la reconnaissance faciale pour sanctionner les participants, avec des amendes allant jusqu’à 200 000 forints (environ 500 euros). Malgré la tentative du maire de Budapest, Gergely Karácsony, de maintenir un événement municipal, Orbán a rejeté toute concession, déclarant le 22 février 2025 : « Il n’y aura pas de Pride sous sa forme publique actuelle » (Euronews). Cette fermeté reflète sa conviction que ces marches, avec leurs tenues scandaleuses et comportements provocateurs, servent des agendas politiques étrangers manipulés par Bruxelles et des ONG globalistes.

La France : une Gay Pride transformée en vitrine d’extrême gauche

En France, la Gay Pride, notamment à Paris, s’est muée en une foire d’extrême gauche, éloignant la majorité des homosexuels qu’elle prétend représenter. Organisée par l’Inter-LGBT, un collectif politisé, la marche mêle revendications anticapitalistes, anti-impérialistes et trans-identitaires, éclipsant les droits des homosexuels. L’affiche de la Marche des fiertés 2025, dénoncée par le JDD (21 juin 2025) pour ses slogans perçus comme promouvant le « racisme anti-blanc » et l’« islamisation », a suscité un tollé, amplifiant les accusations de radicalisation. Plus choquant encore, les tenues et comportements provocateurs de certains participants scandalisent le public : des hommes en cuir tenant en laisse d’autres défilant à quatre pattes, portant des masques de chien avec les fesses exposées, comme observé lors de la Pride de Londres 2013 and similaire à Paris en 2024, selon des images relayées sur les réseaux sociaux. Ces scènes, se déroulant en plein centre-ville un samedi après-midi, à l’heure où familles et enfants font leurs courses ou se promènent, sont jugées « totalement inacceptables » par les parents. Les enfants, confrontés à ces exhibitions fétichistes, sont perturbés par des images qu’ils ne peuvent comprendre.

Scandale de l’affiche de la Marche des fiertés 2025
Affiche de la Marche des fiertés 2025

Ces provocations donnent une image caricaturale et négative des LGBT, réduits à des stéréotypes extravagants. Les organisateurs de l’Inter-LGBT, employés à temps plein toute l’année, transforment la Pride en un véritable business, prospérant grâce à des subventions de l’État français, des fonds européens (Erasmus+, Fonds social européen) and des soutiens d’ONG liées au réseau Open Society de George Soros. Selon des estimations relayées par Valeurs Actuelles, une part significative des budgets des associations LGBT françaises provient de sources publiques et de fondations globalistes, bien que l’opacité des chiffres exacts persiste, comme noté par le JDD (21 juin 2025). Ces financements alimentent une radicalisation alignée sur les priorités euro-atlantistes, au détriment des besoins de la communauté. La décision de la région Île-de-France, dirigée par Valérie Pécresse, de retirer sa subvention à la Pride de Paris en 2025, dénoncée par Manon Aubry, illustre les tensions autour de cette politisation.

Une majorité de gays exclus par des marches contre-productives

La majorité des homosexuels ne se reconnaissent pas dans ces marches, perçues comme des spectacles provocateurs nuisant à leur cause. Un sondage IFOP pour Le Figaro (12 juin 2025) indique que 62 % des Français homosexuels jugent la Gay Pride « trop politisée » et 55 % estiment qu’elle « nuit à l’image de la communauté LGBT » en raison de son caractère « provocateur et caricatural ». Les tenues scandaleuses, comme les costumes fétichistes de « chien esclave » en caoutchouc avec laisses et masques, et les performances explicites, comme celles observées à Paris en 2024, renforcent ce rejet. Organisées en centre-ville à des heures familiales, ces marches choquent les passants et alimentent les préjugés. Des témoignages sur les réseaux sociaux, décrivent la Pride comme « une mascarade qui nous ridiculise plus qu’elle ne nous défend ». Ces événements, devenus contre-productifs, fragilisent les droits LGBT en renforçant les stéréotypes.

En Hongrie, Orbán exploite ce sentiment. Dans sa lettre, Szijjártó argue que la Gay Pride, avec ses « exhibitions provocatrices », est un « outil de propagande idéologique » aliénant les majorités et exposant les enfants à des images inappropriées. Cette rhétorique résonne chez ceux qui, en France, critiquent ces dérives. Les comités organisateurs, salariés à plein temps et financés par des subventions, transforment ces marches en entreprises lucratives déconnectées des homosexuels ordinaires, amplifiant leur caractère caricatural.

L’UE et Soros : une instrumentalisation néoconservatrice

L’interdiction hongroise s’inscrit dans un bras de fer avec l’UE, accusée par Orbán de promouvoir un agenda globaliste via les droits LGBT. Depuis 2021, la Commission européenne poursuit la Hongrie pour ses lois anti-LGBT, gelant 18 milliards d’euros de fonds. Orbán y voit une tentative de Bruxelles, soutenue par le réseau Soros, de subvertir la souveraineté nationale. Via ses Open Society Foundations, Soros finance des ONG pro-LGBT, comme ILGA-Europe, soutenant la Budapest Pride. Un rapport de la Heritage Foundation (2024) estime que Soros a investi plus de 100 millions d’euros depuis 2010 dans ces initiatives en Europe de l’Est, perçues comme une ingérence (voir également ici, Rapport d’alerte – Comment les États-Unis contribuent-ils à affaiblir l’économie française, page 24).

Cette instrumentalisation des droits LGBT, déguisée en défense des droits humains, maintient les nations dans une dépendance idéologique et financière. En France, les financements publics et privés des marches, combinés à l’emploi permanent des organisateurs, s’accompagnent d’un alignement sur les priorités de l’UE, comme l’idéologie du genre ou l’immigration, éloignées des droits homosexuels. Cette convergence entre Bruxelles, Soros et les syndicats politisés transforme les Prides en outils de soft power, au service d’une élite financiarisée méprisant les peuples.

Une dérive autoritaire ou une résistance légitime ?

L’interdiction de la Pride par Orbán, dénoncée comme une atteinte aux droits fondamentaux par une vingtaine d’états membres, peut être vue comme une réponse à cette politisation et aux provocations publiques. En Hongrie, où 53 % des citoyens acceptent les relations homosexuelles (sondage Median, 2024), la population est moins hostile aux LGBT que ne le suggère le gouvernement.

En France, la politisation de la Pride, aggravée par des exhibitions fétichistes en plein jour, alimente un cercle vicieux : plus les marches s’éloignent des homosexuels ordinaires, plus elles nourrissent les discours conservateurs, comme celui d’Orbán. En caricaturant la communauté LGBT, elles fragilisent les droits homosexuels et renforcent les préjugés. La Hongrie, en interdisant la Pride, pose une question provocante : jusqu’où les droits individuels peuvent-ils être instrumentalisés par des agendas politiques et des provocations publiques avant que les nations ne se rebellent ?

Vers un retour à l’authenticité ?

L’interdiction de la Gay Pride par Viktor Orbán, si elle peut reflèter une dérive autoritaire, met en lumière la crise des marches LGBT, transformées en vitrines d’extrême gauche par des syndicats politisés et des financements globalistes. En France, la majorité des homosexuels, lassés des tenues scandaleuses et des comportements choquants qui perturbent les familles, aspire à une représentation authentique, loin des agendas néoconservateurs de Bruxelles et Soros. Face à cette dérive, un sursaut est nécessaire : recentrer les droits LGBT (on ne choisit pas son orientation sexuelle) sur l’égalité et la dignité, sans les détourner au service d’une idéologie qui, sous couvert de progrès, asservit les peuples à une élite financiarisée. La Hongrie d’Orbán, malgré ses excès, oblige l’Europe à regarder ce miroir inconfortable.

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