Le 14 août 2024, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) déclarait une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) pour la recrudescence de la variole du singe (mpox) en République démocratique du Congo (RDC) et sa propagation vers des pays voisins. Près d’un an plus tard, en juin 2025, lors de la quatrième réunion du comité d’urgence, l’OMS a prolongé cette déclaration, citant une hausse continue des cas et une propagation géographique, malgré des progrès dans certains pays. Avec plus de 20.000 cas confirmés dans 80 pays au 31 octobre 2024, et des foyers persistants en Afrique, l’OMS maintient l’alerte, appelant à des fonds supplémentaires et à une coordination globale. Mais cette prolongation soulève des questions : s’agit-il d’une menace réelle ou d’une nouvelle tentative pour imposer des mesures restrictives, rappelant le scénario du COVID-19 ?
Une alarme persistante, mais des faits contestés
L’OMS met en avant le variant Clade 1b, plus contagieux et potentiellement plus sévère, avec une transmission accrue en RDC, au Burundi et en Ouganda. En 2025, des cas importés ont été signalés aux États-Unis, en Irlande et au Soudan du Sud, alimentant les craintes d’une propagation mondiale. Pourtant, la mortalité reste faible dans les pays développés (moins de 1 %), et la transmission se limite principalement aux contacts étroits, souvent sexuels ou familiaux. Au Royaume-Uni, par exemple, seulement 572 cas de Clade IIb ont été rapportés de 2023 à juillet 2025, sans explosion majeure.
Des voix critiques, comme celle de la Dr Sherri Tenpenny, qualifient cette urgence de « fake » qui s’est essoufflée, avec des vaccins inutilisés et expirés gaspillant des milliards sans responsabilité.
En février 2025, l’OMS a prolongé l’USPPI pour la troisième fois, citant la violence en RDC et un manque de fonds. Mais des baisses de cas observées, comme en Ouganda ou en Sierra Leone, sont attribuées à une immunité naturelle et des interventions locales plutôt qu’à une menace imminente.
Vers un retour des mesures liberticides ?
L’OMS appelle à une surveillance renforcée, des vaccinations ciblées et une intégration dans les systèmes de santé, avec un appel à 145 millions de dollars pour 2025. Des recommandations temporaires incluent des dépistages aux frontières et une coordination internationale, évoquant les restrictions du passé. Sur Reddit, des utilisateurs s’inquiètent d’un possible retour aux confinements, bien que des experts affirment que le mpox ne justifie pas de telles mesures en raison de sa transmission limitée.
Des publications alarmistes prétendent que l’OMS ordonne des « mega confinements » pour une souche mortelle, mais l’organisation dément, qualifiant cela de désinformation. Des critiques soulignent que le Règlement sanitaire international révisé permet à l’OMS d’imposer une surveillance numérique et une censure, supprimant les références aux droits humains pour un « récit unique ». Cela ravive les craintes d’un agenda globaliste, avec des liens à des figures comme Bill Gates ou des simulations comme Event 201.
Résister à la panique orchestrée
Malgré des cas réels en Afrique, l’extension de l’USPPI (urgence de santé publique de portée internationale) en 2025 semble disproportionnée, servant potentiellement à collecter des fonds (87,4 millions demandés initialement, puis plus) et à tester des mécanismes de contrôle. Comme pour le COVID, l’OMS risque de transformer une épidémie localisée en prétexte pour des passes vaccinaux et restrictions.
Les citoyens doivent scruter ces alarmes, soutenir les analyses critiques et refuser les procédures liberticides au nom d’un agenda supranational. Pour rester lucide et calme face à ces nouvelles alertes, rappelons le coût financier astronomique de la pandémie COVID-19 : selon des estimations de l’OMS elle-même, la lutte contre le virus a coûté entre 8,1 et 15,8 billions de dollars au niveau mondial, incluant les pertes de PIB et les coûts liés aux décès.
D’autres sources, comme le Fonds monétaire international (FMI), évaluent les pertes cumulées de PIB mondial à près de 22 billions de dollars entre 2020 et 2025, sans compter les 19,5 billions de dollars mobilisés par les gouvernements et banques centrales en soutiens économiques.
Ces chiffres colossaux, équivalant à plusieurs fois le PIB annuel de grands pays, soulignent les conséquences dévastatrices d’une panique généralisée et d’une réponse disproportionnée, nous invitant à la prudence et à une évaluation critique avant d’accepter de nouvelles mesures restrictives.
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