Macron : l’été meurtrier

Macron : l’été meurtrier

Le narratif toxique d’un président belliciste

Dans un discours prononcé le 13 juillet 2025 à l’Hôtel de Brienne, devant les forces armées françaises, Emmanuel Macron a une fois de plus sonné l’alarme sur ce qu’il décrit comme une « aggravation des menaces » pesant sur la liberté et la paix en Europe. Appelant à une nouvelle hausse du budget des armées pour « rester libres », le président de la République a peint un tableau apocalyptique d’un monde où la Russie, l’Iran, et d’autres « puissances d’annexion » menacent notre continent. Mais derrière ces mots grandiloquents se cache une réalité bien plus sombre : une folie belliciste qui risque d’entraîner la France et l’ensemble des Français dans un conflit suicidaire, potentiellement mondial.

Ce discours n’est pas un simple avertissement ; c’est une préparation psychologique à la guerre, un narratif toxique qui, comme nous vous en avions déjà fait part concernant l’allocution délirante de son porte-serviette Thierry Burkhard (voir ici), vise à envoyer les Français à la mort pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres.

Rappelons les faits. Dans son intervention, Macron évoque un « moment de bascule » où la liberté est « si menacée » comme jamais depuis 1945. Il parle de l’invasion de l’Ukraine comme d’une guerre portée « sur notre sol », ignorant sciemment que l’Ukraine n’est pas membre de l’UE ni de l’OTAN, et que la France n’est pas directement attaquée. Il accuse les « impérialismes » et les « puissances d’annexion » – sous-entendant clairement la Russie – de bafouer le droit international, tout en appelant les Européens à « assurer notre sécurité nous-mêmes ». Et pour couronner le tout, il plaide pour une augmentation massive du budget militaire, déjà gonflé sous son mandat de 32 à plus de 67 milliards d’euros. Mais qui menace vraiment qui ? Comme nous vous le soulignons il y a quelques jours, c’est l’Occident, via l’OTAN, qui n’a cessé d’étendre son influence vers l’Est depuis les années 1990, malgré les promesses faites à la Russie post-soviétique. Poutine a proposé à plusieurs reprises des partenariats avec l’Europe – adhésion à l’OTAN en 2001, zone économique de Lisbonne à Vladivostok en 2010 – mais ces offres ont été rejetées au profit d’une stratégie d’encerclement. Cette rhétorique macronienne n’est pas nouvelle ; elle s’inscrit dans une lignée de discours alarmistes qui masquent une incompétence flagrante et une déconnexion totale avec la réalité des Français.

Prenons un instant pour disséquer ce discours et révéler sa dangerosité. Macron parle de « liberté des peuples attaqués par les impérialismes », mais oublie commodément les interventions occidentales en Yougoslavie, en Libye, en Irak, en Syrie, qui ont semé le chaos et créé des vides remplis par des groupes terroristes. Il évoque la « liberté bafouée quand les règles de la guerre sont effacées », mais ferme les yeux sur les bombardements ukrainiens sur le Donbass depuis 2014, qui ont fait des milliers de victimes civiles russophones – un fait que nous comparions à un hypothétique bombardement de Marseille par Paris pour « apprendre à bien voter ». La guerre en Ukraine ? Un prétexte, un rideau de fumée pour justifier l’escalade. Comme le note cet article, c’est un coup d’État fomenté par la CIA en 2014 qui a allumé la mèche, suivi de sabotages délibérés des négociations de paix par les États-Unis et le Royaume-Uni. Macron, en appelant à plus d’armes et à une Europe « sécurisée par nous-mêmes », n’est pas un défenseur de la paix ; il est un pyromane qui verse de l’huile sur le feu.

Macron et ses alliés : échecs nationaux et isolement international

Macron, cet homme qui rate tout ce qu’il entreprend, de la réforme des retraites à la gestion de la dette publique, en passant par les Gilets Jaunes et les élections législatives récentes où son parti a été laminé, veut maintenant nous entraîner dans une guerre qui pourrait bien être la dernière pour notre nation. Détesté par une majorité de Français – sondages après sondages montrent que plus de 60% des citoyens le rejettent, le voyant comme un président des riches, arrogant et autoritaire – il s’accroche au pouvoir en agitant le spectre de la menace extérieure. Regardons son bilan : une dette publique à 110% du PIB, une inflation galopante due en partie aux sanctions anti-russes qui ont fait exploser les prix de l’énergie, une industrie en déshérence avec des délocalisations massives, et une immigration incontrôlée qui exacerbe les tensions sociales. Ses « réformes » n’ont fait qu’accroître les inégalités : les riches s’enrichissent, les classes moyennes s’appauvrissent.

Mais ce n’est pas seulement en France qu’il est haï ; sur la scène internationale, Macron est isolé, moqué, et considéré comme un va-t-en-guerre imprudent. Seule une petite « bande des 4 » – lui-même, Keir Starmer au Royaume-Uni, Friedrich Merz en Allemagne, et Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne – le soutient dans cette dérive belliciste. Ces quatre-là, tous détestés dans leurs propres pays pour leurs politiques libérales austères et leur alignement atlantiste, forment un club élitiste qui préfère les intérêts des États-Unis et des multinationales à la paix et à la souveraineté des peuples européens. Starmer, fraîchement élu au Royaume-Uni, est déjà contesté pour son austérité ; Merz en Allemagne représente une CDU en perte de vitesse face à l’AfD ; von der Leyen, réélue de justesse à la Commission, est accusée de corruption et de bellicisme. Ces quatre-là forment un axe des perdants, alignés sur Washington, qui sacrifient l’Europe pour des guerres par procuration. Internationalement, Macron est ridiculisé – rappelez-vous son humiliation au Sahel, où la France a été chassée du Mali et du Niger après des années d’opérations coûteuses et inefficaces.

Gouvernance par la terreur : du COVID à la menace russe, un modèle dangereux

Et que dire de la gouvernance par la terreur, cette méthode favorite de Macron pour imposer ses volontés ? Ce discours en est l’incarnation parfaite, avec ses appels à la « mobilisation » et à la « mémoire collective » via les commémorations de la Libération (dont le Général de Gaulle avait refusé de participer à la commémoration). Mais cela nous renvoie directement à la crise du COVID-19, où Macron a excellé dans l’exagération et la peur pour contrôler la population. Souvenez-vous : en 2020, il déclarait une « guerre » contre le virus, imposant des confinements draconiens, des passeports sanitaires, et des mesures liberticides qui ont ruiné l’économie, isolé les familles, et semé la division. Les modélisations alarmistes – prédisant des millions de morts si on ne confinait pas – se sont révélées exagérées, comme l’ont admis par la suite des experts indépendants. Des pays comme la Suède, sans confinement strict, ont eu des résultats similaires ou meilleurs en termes de mortalité, prouvant que la terreur était un outil de pouvoir plus qu’une nécessité sanitaire. Macron a utilisé la peur pour suspendre les libertés fondamentales : fermeture des écoles, interdiction de manifester, surveillance accrue via des apps de traçage. Résultat ? Une dette publique explosée, une santé mentale dégradée, et une défiance accrue envers les institutions.

Aujourd’hui, il recycle la même recette avec la « menace russe ». Au lieu du virus invisible, c’est l’ « arc de crise » du golfe de Guinée au Proche-Orient qui sert d’épouvantail. Il parle de « liberté individuelle » menacée par les écrans et les manipulations étrangères, mais c’est son gouvernement qui censure les voix dissidentes sur les réseaux sociaux, accusant toute critique de la politique ukrainienne d’être « pro-Poutine ». Comme pendant le COVID, où les sceptiques étaient traités de complotistes, aujourd’hui, ceux qui appellent à la négociation avec la Russie sont diabolisés. Cette gouvernance par la terreur divise pour mieux régner : elle oppose les Français entre « patriotes » prêts à mourir pour Kiev et « traîtres » qui préfèrent la paix. Mais le peuple n’est pas dupe. Les manifestations contre la réforme des retraites, les Gilets Jaunes, les agriculteurs en colère – tout montre que les Français en ont assez de cet autoritarisme masqué sous des discours grandiloquents.

Le danger que fait courir Macron à l’ensemble des Français est immense. Imaginez : une guerre contre la Russie, une puissance nucléaire, avec des millions de soldats entraînés et un territoire immense. La France, avec son armée sous-financée malgré les hausses budgétaires, ses soldats épuisés par des opérations extérieures interminables (Sahel, Moyen-Orient), serait balayée en quelques semaines. Nos jeunes, nos familles, nos villes – tout sacrifier pour quoi ? Pour défendre les intérêts géopolitiques des États-Unis, qui ajoutent « une forme d’incertitude » comme le dit Macron lui-même, en référence aux élections américaines et à un possible retour de Trump isolationniste ? Non, merci ! 

Ce discours prépare le terrain à l’envoi de troupes françaises en Ukraine, comme Burkhard l’a insinué en désignant la Russie comme « premier adversaire ». C’est une folie suicidaire, un narratif qui conditionne les citoyens à accepter la guerre comme inévitable, tout comme les Russes sont soi-disant « conditionnés dès l’enfance » selon Burkhard – une inversion accusatoire flagrante.

Français : réagissez pour sauver la paix et la nation !

Ne tombez pas dans le panneau de cette folie belliciste. Macron veut vous faire croire que la guerre est inévitable, que sacrifier nos fils et filles en Ukraine est un devoir pour « rester libres ». Mais la vraie liberté, c’est de refuser cette escalade, de réclamer des négociations immédiates avec la Russie – comme Poutine l’a proposé avec des conditions claires : neutralité de l’Ukraine, reconnaissance des territoires russophones. Soutenez les voix de la paix, comme celles des intellectuels, des syndicats, et des partis qui osent défier le narratif atlantiste. Manifestez, votez, boycottez les médias qui propagent la peur. Souvenez-vous du COVID : nous avons été manipulés par la terreur, et cela a coûté très cher. Ne laissons pas Macron nous entraîner dans une guerre nucléaire pour masquer ses échecs.

Ce discours du 13 juillet n’est pas un appel à la vigilance ; c’est un cri de guerre d’un président aux abois. La folie belliciste de Macron met en danger non seulement la France, mais l’Europe entière. Peuple français, réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard. 

La paix n’est pas une faiblesse ; c’est notre force. Rejetons la terreur, rejetons Macron, et choisissons la souveraineté véritable.

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