Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées, Emmanuel Macron s’est positionné comme un fervent défenseur d’une ligne dure vis-à-vis de la Russie dans le conflit ukrainien. Cependant, cette posture, qualifiée de belliciste par de nombreux observateurs, apparaît non seulement comme une folie stratégique, mais aussi comme un acte suicidaire pour la France et son peuple. En poussant à une escalade militaire sans limite, Macron expose les Français à des risques inutiles, ruine les finances publiques et isole le pays sur la scène internationale, tout cela pour masquer ses échecs domestiques.
La folie belliciste : une escalade dangereuse et irresponsable
Emmanuel Macron n’hésite pas à agiter le spectre d’une intervention militaire directe en Ukraine, évoquant l’envoi de troupes occidentales sans exclure aucune option. Cette rhétorique guerrière, réitérée lors de sommets et d’entretiens, vise à se positionner en leader européen, mais elle masque une imprudence flagrante. Des critiques soulignent que derrière ce discours, Macron cherche à se refaire une santé politique sur l’échiquier européen, au détriment de la raison et de la sécurité nationale. Ses déclarations, comme celles affirmant qu’il n’y a « aucune limite » au soutien à l’Ukraine, transforment la France en cible potentielle, sans que les intérêts vitaux du pays ne soient réellement engagés.
Cette obsession pour l’Ukraine, qualifiée de « folie belliciste », entraîne une surenchère militaire qui isole la France.
Même des alliés comme l’Allemagne expriment des réserves, et des figures comme Matteo Salvini, vice-premier ministre italien, ont publiquement moqué Macron. Lors d’un événement public, Salvini a lancé : « Si Emmanuel Macron veut des soldats en Ukraine, qu’il y aille lui-même. Mets un casque, prends un fusil et vas-y toi-même en Ukraine ! »
Cette pique acerbe, reprise largement, souligne le ridicule de la position macronienne, suggérant que le président français devrait donner l’exemple au lieu d’entraîner les autres dans sa croisade personnelle. En réponse à ces propos jugés « inacceptables » par Paris, le ministère français des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadrice italienne, Emanuela D’Alessandro, pour des clarifications. Cette mesure diplomatique, loin de renforcer la position française, n’a fait qu’accentuer les frictions entre Paris et Rome, révélant l’isolement croissant de Macron sur la scène européenne. Salvini, connu pour ses positions critiques envers l’escalade en Ukraine, a ainsi mis en lumière le fossé entre les va-t-en-guerre comme Macron et les leaders plus prudents, qui refusent d’envoyer leurs soldats dans un conflit lointain et suicidaire. Cette affaire illustre parfaitement comment la bellicosité de Macron, motivée par un ego surdimensionné, provoque des tensions inutiles au sein de son propre camp, affaiblissant son apparente unité. Bien que Macron ait soutenu certaines propositions de cessez-le-feu, ses critiques l’accusent de les conditionner à des exigences qui prolongent le conflit, alignant la France sur l’OTAN et les intérêts
impérialistes américains.
Un suicide économique et militaire pour le peuple français
Les conséquences de cette politique sont suicidaires pour le peuple français. Macron dilapide des milliards d’euros en aide militaire à l’Ukraine – plus de 2 milliards récemment annoncés – alors que la France est en faillite, avec une dette colossale et une pauvreté montante. Ces fonds, détournés vers un conflit lointain, privent les Français de ressources essentielles : transports sanitaires, soins de santé, et soutien aux agriculteurs ruinés par les importations ukrainiennes. Nicolas Dupont-Aignan s’est dit « effaré » par ces dépenses, soulignant comment elles affaiblissent l’économie nationale sans perspective de remboursement, dans un pays corrompu comme l’Ukraine.
Militairement, Macron dépouille l’armée française de ses armements pour les envoyer en Ukraine, laissant les stocks en dénuement total et rendant la France vulnérable. Des généraux comme Burkhard ont mis en garde contre cette impréparation, mais Macron persiste, transformant l’économie en « économie de guerre » pour justifier des impôts accrus et une soumission à l’UE et à l’Allemagne. Cette fuite en avant, motivée par des échecs internes, expose les jeunes Français à un risque de conscription inutile, comme l’envoi d’instructeurs militaires, critiqué pour sa légèreté et son inconséquence.
L’isolation et les réactions : un rejet massif de la politique Macronienne
Les oppositions à cette ligne suicidaire sont nombreuses. Florian Philippot dénonce un duo de « dingos » avec le chancelier allemand Merz, accusant Macron d’être belliciste, eurogaga et déterminé à entraîner la France dans la guerre. Les sondages révèlent que seulement 9% des Français croient en une victoire ukrainienne, et 30% plaident pour des négociations de paix, contre la propagande belliciste de Macron. Des analystes comme Régis de Castelnau qualifient cette aide de « suicide politique », dictée par des influences américaines et des motifs internes, ignorant l’intérêt des européens pour des relations normales avec la Russie. La gauche appelle également à une dénonciation commune de ce narratif, pour la paix en Ukraine et ailleurs.
Rejeter la folie pour sauver la France
Emmanuel Macron, en pyromane en chef, torpille la paix en Ukraine pour des raisons personnelles, menant la France vers un suicide collectif. Cette politique belliciste, qui sabote les efforts de paix comme ceux de Trump, affaiblit l’Europe et ruine les Français, tout en les exposant à des risques nucléaires inutiles. Il est urgent de destituer ce dirigeant irresponsable, de sortir de l’engrenage OTAN-UE et de privilégier la diplomatie pour une France souveraine et en paix. Sans cela, le peuple français paiera le prix fort d’une guerre qui n’est pas la sienne.
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