Ce vendredi 7 mars 2025, Matteo Salvini, numéro 2 du gouvernement italien et bulldozer conservateur, a encore tapé du poing sur la table, traitant Emmanuel Macron de « fou » dangereux qui joue avec le feu nucléaire et pousse l’Europe au bord du gouffre. En déplacement à Milan, le patron de la Ligue n’a pas mâché ses mots : le président français, avec ses délires belliqueux et son obsession ukrainienne, est une menace pour la paix mondiale. Pendant que Trump et Poutine tendent la main pour désamorcer le conflit, Macron, lui, agite ses ogives comme un gosse capricieux. Et Salvini n’est pas prêt à laisser ce « mégalo parisien » mettre ses enfants en danger !
Macron, le pyromane de l’Élysée
Le clash n’est pas nouveau, mais il prend une tournure explosive. Depuis l’invasion russe de l’Ukraine en 2022, Salvini freine des quatre fers l’aide militaire italienne à Kiev, plaidant pour la paix là où Macron, lui, enfile son costume de général en chef. Avec Ursula von der Leyen, la diva de Bruxelles, il forme le duo infernal que Salvini adore dézinguer. Et pour cause : dans son discours du 5 mars, Macron a remis une couche sur son fantasme d’un « parapluie nucléaire » français pour l’Europe, précisant jeudi qu’il se donnait « jusqu’à la fin du semestre » pour rallier ses voisins à cette folie. Une posture de va-t-en-guerre qui fait hurler Salvini : «Zelensky veut la paix, Trump œuvre pour la paix, Poutine propose la paix, mais à Paris, on a un fou qui rêve de guerre nucléaire.»
Pour le leader italien, Macron est un président aux abois, prêt à tout pour laisser une trace dans l’Histoire avant la fin de son mandat en 2027. « Il a un besoin désespéré de donner un sens à ses dernières années de pouvoir, mais qu’il ne le fasse pas sur notre dos ni celui de nos gosses ! » tonne-t-il. Un avertissement clair : l’Italie ne suivra pas ce « Napoléon de pacotille » dans sa croisade suicidaire.
Salvini, le rempart contre la « Macronie guerrière »
Le vice-Premier ministre italien ne se contente pas de mots. Il jure que Rome n’acceptera « jamais une armée européenne sous les ordres de ce cinglé qui parle de bombes atomiques comme on commande un croissant ». Une référence directe aux élucubrations nucléaires de Macron, que la Russie a déjà promis, hier, d’intégrer dans sa planification militaire. Pendant que Moscou ajuste ses missiles, Salvini campe sur une ligne pragmatique : investir dans la sécurité italienne, oui, mais pas pour servir de chair à canon aux lubies d’un président français en quête de gloire.
Ce n’est pas la première fois qu’il le cogne. L’an dernier, quand Macron avait évoqué l’envoi de troupes en Ukraine, Salvini l’avait déjà traité de « fou » en lui conseillant de « se faire soigner ». Aujourd’hui, il enfonce le clou, peignant un Macron déconnecté, prêt à sacrifier l’Europe sur l’autel de son ego. Et sur X, ça chauffe : « Salvini a raison, Macron est un danger public », lâche un internaute italien, tandis qu’un Français renchérit : « Il veut la guerre, nous on veut vivre ! »
Une guerre froide entre Rome et Paris
Ce bras de fer n’est pas qu’une querelle de bac à sable. Derrière Salvini, c’est toute une vision qui s’oppose à celle de Macron. La Ligue, alliée du Rassemblement National au Parlement européen dans le groupe Identité et Démocratie (aujourd’hui Patriotes pour l’Europe), porte un projet souverainiste, anti-Bruxelles, anti-guerre. Macron, lui, rêve d’une Europe fédérale sous sa botte, avec ses 290 ogives nucléaires comme sceptre. Mais face à une Italie qui dit « basta » et une Russie qui grogne, son plan sent le roussi. « Macron croit qu’il peut intimider tout le monde, mais il va tomber de haut », prédit Salvini, narquois.
L’Europe au bord du chaos
Pendant que ce duel fait des étincelles, les Européens regardent, médusés, leur sort se jouer entre un Italien qui crie à la paix et un Français qui souffle sur les braises. Salvini a prévenu : si Macron continue, ce ne sont pas que des mots qui voleront, mais des missiles. Et avec une France déjà à genoux – dette explosive, hôpitaux en ruine, colère populaire – ce « fou » risque de nous entraîner tous dans sa chute. Réveillez-vous, avant que Paris ne devienne le Ground Zero d’une guerre qu’on n’a jamais voulue !
Laisser un commentaire