Dans une audience récente au Sénat américain, des experts médicaux ont livré des déclarations choc sur les effets secondaires potentiels des vaccins contre le COVID-19, en particulier concernant la formation de caillots sanguins inhabituels et résistants.
Cette commission d’enquête, présidée par le sénateur Ron Johnson, s’est penchée sur les allégations selon lesquelles les autorités sanitaires auraient minimisé ou occulté certains risques associés à ces injections, comme la myocardite et d’autres complications vasculaires. Sans entrer dans les détails politiques, ces révélations soulèvent des questions cruciales sur la sécurité des vaccins et appellent à une vigilance accrue, y compris en France.
Un contexte de controverse persistante
L’audience, intitulée « La corruption de la science et des agences fédérales de santé : Comment les responsables sanitaires ont minimisé et caché la myocardite et d’autres effets indésirables associés aux vaccins COVID-19 », s’est tenue le 21 mai 2025 au Sénat américain. Elle a réuni plusieurs témoins, dont des cardiologues et des spécialistes en médecine materno-fœtale, qui ont partagé leurs observations cliniques et des données scientifiques sur les impacts des vaccins à ARNm. Au cœur des débats : la protéine spike, produite par ces vaccins, accusée de provoquer des dommages vasculaires graves.
Les experts ont insisté sur le fait que ces effets ne sont pas anecdotiques, mais observés à une échelle inédite depuis le déploiement massif des vaccins. Ils ont critiqué le manque de transparence des agences de santé, appelant à une réévaluation immédiate des recommandations vaccinales.
Des caillots sanguins « résistants » et inhabituels
L’un des moments les plus marquants de l’audience a été le témoignage du Dr Peter McCullough, cardiologue, décrivant une augmentation spectaculaire des cas de caillots sanguins chez ses patients. « Ces cinq dernières années, je n’ai jamais traité autant de caillots sanguins en plusieurs décennies de pratique clinique comme cardiologue », a-t-il déclaré, reliant directement ces complications à l’infection par le virus ou à la vaccination. Selon lui, la protéine spike provoque des caillots « très résistants », rendant leur traitement plus difficile que les cas classiques.
Un autre expert a utilisé une métaphore frappante pour illustrer le problème : les caillots normaux ressemblent à des spaghettis faciles à séparer, mais ceux induits par la protéine spike sont comme une « casserole de spaghettis brûlés » qu’il faut frotter avec une éponge abrasive pour les enlever.
Il a expliqué que la protéine spike déclenche une inflammation, perturbe les barrières endothéliales des vaisseaux sanguins et induit une fibrine résistante à la dégradation, favorisant ainsi des agrégats amyloïdes qui contribuent à des pathologies de coagulation. « La protéine spike n’est pas une protéine bénigne. Elle déclenche l’inflammation et endommage les vaisseaux sanguins », a-t-il insisté.
Ces observations cliniques s’appuient sur des études montrant que la protéine spike circule dans le sang pendant six à neuf mois après l’injection, causant des dommages généralisés au cœur, au cerveau et à d’autres organes. Les témoins ont souligné que continuer à vacciner la population sans tenir compte de ces risques est « parfaitement imprudent et insensé », appelant à un avertissement clair sur les emballages des vaccins, y compris pour le risque de décès. De plus, dès juillet 2021, une étude publiée dans la revue Cell a démontré que la protéine spike n’était pas l’antigène idéal, car la nucléoprotéine offrait une immunité large et durable, contrairement à la spike. Malgré cela, les autorités n’ont rien changé.
Au-delà des caillots : myocardite et impacts sur la grossesse
Les témoignages ne se sont pas limités aux caillots sanguins. Un spécialiste a rapporté une explosion de cas de myocardite, une inflammation cardiaque potentiellement fatale, particulièrement chez les jeunes hommes. « Avant la pandémie, je n’avais eu que deux patients avec ce problème. Il y a maintenant 1.650 articles dans la littérature scientifique sur la myocardite liée aux vaccins COVID », a-t-il affirmé.
Un obstétricien-gynécologue a quant à lui alerté sur les risques pour les femmes enceintes, citant 37 effets indésirables associés aux vaccins, dont des fausses couches, des naissances prématurées et des malformations fœtales. Il a dénoncé la promotion des vaccins chez les futures mères, expliquant que la protéine spike traverse le placenta et produit des effets chez le fœtus.
Un appel à l’action en France
Ces révélations américaines résonnent particulièrement en France, où les débats sur les effets secondaires des vaccins COVID persistent, et où certains politiques remettent la pression pour des injections obligatoires. Alors que les députés français sont en vacances, il est urgent de les interpeller pour lancer une commission d’enquête similaire. Les citoyens méritent la vérité sur les risques potentiels, et les responsables doivent rendre des comptes. Comme l’ont souligné les experts outre-Atlantique, ignorer ces signaux pourrait être une erreur grave. Il est temps d’exiger justice : que les coupables soient traduits en justice pour protéger la santé publique.
Cette audience rappelle que la science doit primer sur les intérêts, et que la transparence est essentielle pour restaurer la confiance. Les Français, comme les Américains, ont le droit de savoir.
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