Le livre Original Sin de Jake Tapper et Alex Thompson, publié ces jours-ci, a révélé un scandale d’une ampleur sans précédent : la dissimulation méthodique de l’état de santé déclinant de Joe Biden par son entourage, le Parti démocrate et une presse complaisante. Cette omerta, orchestrée par une « secte insulaire » selon les auteurs, a trahi la confiance des Américains et provoqué des répercussions géopolitiques dramatiques, notamment dans la gestion de la guerre en Ukraine. Ce mensonge d’État, aggravé par le non-respect des obligations de suivi médical présidentiel, constitue un déni de démocratie d’une gravité extrême. Ce scandale ne se limite pas aux États-Unis : il met en lumière des failles similaires dans d’autres pays, notamment en France, où les médias, prompts à crier au « complotisme », protègent souvent les puissants au détriment de la vérité. Les responsables doivent être arrêtés, jugés et condamnés sans clémence pour leurs actes.
Une dissimulation orchestrée : un vol de la démocratie
Basé sur plus de 200 témoignages, Original Sin démontre que Joe Biden souffrait d’un déclin physique et cognitif marqué bien avant sa campagne de réélection de 2024. Des incidents accablants, comme son incapacité à reconnaître George Clooney, un proche soutien, lors d’un événement en juin 2024, ou ses difficultés à suivre des conversations simples, prouvent qu’il était inapte à exercer ses fonctions. Pourtant, son entourage – surnommé « le Politburo » – a tout fait pour masquer cette réalité. Des aides, c’est-à-dire des conseillers politiques, assistants personnels et collaborateurs proches, ont restreint l’accès au président, isolant même des membres du Cabinet et des hauts fonctionnaires. La famille Biden, notamment Jill Biden, a entretenu une mythologie autour de sa prétendue résilience, renforçant l’illusion d’un président en pleine possession de ses moyens.
Ce camouflage n’était pas une simple question de loyauté. En maintenant Biden en poste malgré son incapacité, ses proches et le Parti démocrate ont privé les Américains de leur droit à un président pleinement fonctionnel. Mais alors, si Biden n’était pas en état de gouverner, qui prenait les décisions ? Cette question est terrifiante : des acteurs non élus, potentiellement des membres de l’État profond ou des conseillers comme Jake Sullivan ou Antony Blinken, ou même Barack Obama (qui n’a jamais caché sa volonté de faire un troisième mandat) ont pu diriger le pays dans l’ombre. Cela équivaut à un vol de la souveraineté populaire, une usurpation du pouvoir démocratique d’une gravité sans précédent.
Le scandale du suivi médical : une violation inacceptable
Aux États-Unis, le suivi médical du président est une obligation institutionnelle, encadrée par des protocoles stricts. Le médecin de la Maison Blanche, actuellement le Dr. Kevin O’Connor, est tenu de publier des rapports réguliers sur la santé du président, comme le stipule la tradition et les attentes de transparence démocratique. Pourtant, les rapports sur Biden, souvent vagues ou excessivement optimistes, n’ont jamais reflété la réalité de son déclin. Selon Original Sin, l’entourage de Biden a influencé ces évaluations, minimisant les signes de détérioration pour maintenir l’illusion de sa compétence. Ce manquement est un scandale en soi : non seulement l’équipe médicale a failli à son devoir de vérité, mais elle a également permis à un président inapte de rester en fonction, au mépris des institutions démocratiques.
Ce problème n’est pas unique aux États-Unis. Dans de nombreux pays, les dirigeants sont soumis à des examens médicaux réguliers, mais la transparence reste souvent limitée. En France, par exemple, la santé des présidents est un sujet tabou. Contrairement aux États-Unis, aucun protocole officiel n’oblige le président de la République à publier un bulletin de santé détaillé. Des cas comme celui de François Mitterrand, dont le cancer a été dissimulé pendant des années, montrent que la France n’est pas exempte de ce type d’omerta. Sous Emmanuel Macron, aucune information médicale n’est rendue publique, et les spéculations sur sa santé (en matière d’addictions notamment) ou celle d’autres figures politiques sont systématiquement balayées comme des « rumeurs ». Cette opacité, justifiée par la protection de la vie privée, prive les citoyens d’une information cruciale : un dirigeant en mauvaise santé peut-il gouverner efficacement ? En France, comme aux États-Unis, l’absence de transparence médicale renforce le risque de décisions prises par des cercles non élus, sapant la légitimité démocratique.
(NDLR : Il est à noter que tout salarié doit se soumettre à une visite médicale. L’employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs, Article L4121-1 du code du Travail).
La complicité des médias internationaux de grand chemin
Le silence des médias a été un pilier essentiel de cette supercherie. Aux États-Unis, des figures comme Jake Tapper, qui a modéré le débat présidentiel de juin 2024 révélant la fragilité de Biden, admettent aujourd’hui avoir sous-estimé la situation. Pendant des années, la presse mainstream a minimisé les signaux alarmants – pertes de mémoire, discours incohérents, apparitions publiques contrôlées – les qualifiant d’attaques partisanes. En France, des médias comme Le Monde, L’Express ou Le Point n’ont jamais enquêté sérieusement sur l’état de santé de Biden, contribuant à une illusion de normalité.
Ce silence n’est pas innocent. Par calcul politique ou alignement idéologique avec les démocrates, la presse internationale a trahi sa mission d’informer. Ce « Parti des médias », comme l’appelle Martial Bild, directeur du média alternatif TVL (qui propose un journal télévisé sans langue de bois quotidiennement), a menti au public, privant les citoyens des informations nécessaires pour juger de la légitimité de leur dirigeant. En France, cette tendance est exacerbée par une propension croissante à disqualifier toute critique comme « complotiste ». Depuis des années, les médias hexagonaux, comme leurs homologues internationaux, brandissent ce terme pour discréditer les voix dissidentes, même lorsque celles-ci soulèvent des questions légitimes. Cette stratégie, particulièrement visible ces dernières années, protège les puissants et étouffe le débat public.
Les complots viennent du pouvoir, pas du Peuple
L’accusation de « complotisme » est d’autant plus ironique que, depuis que le monde est monde, les complots sont orchestrés par ceux qui détiennent le pouvoir, non par le peuple. De l’assassinat de Jules César aux machinations des cours royales, en passant par les scandales modernes comme le Watergate ou l’affaire Mitterrand, l’histoire montre que les intrigues naissent dans les cercles élitistes, pas dans les rangs des citoyens ordinaires. Dans le cas de Biden, le véritable complot – la dissimulation de son état de santé – a été ourdi par son entourage, le Parti démocrate et l’État profond, avec la complicité des médias. Pourtant, ceux qui ont osé alerter ont été taxés de propagandistes. Cette inversion accusatoire est une tactique classique pour protéger les puissants et museler la vérité.
En France, cette dynamique est particulièrement préoccupante. Les médias mainstream, souvent alignés sur les récits officiels, qualifient systématiquement de « complotistes » ceux qui questionnent les décisions du pouvoir, qu’il s’agisse de la gestion de la crise sanitaire, des politiques migratoires ou des relations internationales. Cette stigmatisation, amplifiée par une presse internationale de plus en plus homogène, empêche l’émergence d’un débat pluraliste et protège les élites de toute reddition de comptes. Le cas Biden montre que les prétendus « complots » sont souvent des vérités que le pouvoir cherche à étouffer.
Conséquences géopolitiques : la guerre en Ukraine et au-delà
Les répercussions de ce scandale dépassent les frontières américaines. La présidence Biden, marquée par son incapacité à prendre des décisions éclairées, a coïncidé avec des choix géopolitiques aux conséquences dramatiques. Le plus criant est la gestion de la guerre en Ukraine. Sous Biden, les États-Unis ont adopté une posture belliqueuse, fournissant des milliards de dollars en armes et en soutien logistique à l’Ukraine, tout en prolongeant un conflit qui a coûté des centaines de milliers de vies. Si Biden n’était pas en mesure de diriger, qui a décidé de cette escalade ? Était-ce l’État profond, des conseillers ou des intérêts militaro-industriels ou toute cette engeance ?
L’élection de Donald Trump en 2024, marquée par une volonté de désescalade, met en lumière l’ampleur des erreurs commises. Trump a promis de négocier une issue rapide au conflit ukrainien, un contraste saisissant avec la stratégie de confrontation privilégiée sous Biden. Si un président compétent avait été en poste, ou si les démocrates avaient permis un processus démocratique transparent, des solutions diplomatiques auraient pu être explorées plus tôt, épargnant d’innombrables vies. La responsabilité des démocrates et de l’État profond dans cette tragédie humaine est écrasante.
Un appel à la justice : pas de clémence pour les coupables
Ce scandale, aggravé par la violation des obligations médicales, ne peut rester sans suite. La dissimulation de l’état de santé de Biden a saboté la démocratie américaine et contribué à des décisions internationales aux conséquences irréversibles. Les responsables – proches de Biden, hauts fonctionnaires démocrates, membres de l’État profond et même le personnel médical impliqué – doivent répondre de leurs actes. Les centaines de milliers de morts en Ukraine, les souffrances infligées par un conflit prolongé inutilement, et la trahison de la confiance des électeurs exigent une justice implacable.
Des enquêtes indépendantes doivent identifier qui a pris les décisions clés pendant les périodes où Biden était inapte et pourquoi les rapports médicaux ont été falsifiés. Les coupables doivent être arrêtés, jugés et condamnés sans indulgence. Ce n’est pas seulement une question de responsabilité politique, mais de justice pour les victimes d’un mensonge d’État qui a bouleversé le cours de l’histoire.
La presse alternative : un rempart contre le mensonge
Face à l’omerta des grands médias, certaines voix ont joué un rôle crucial en alertant sur le déclin de Biden dès les premiers signes. Malgré les accusations de « complotisme », ces médias alternatifs ont fait ce que la presse mainstream a refusé : dire la vérité. Leur courage doit inspirer une remise en question profonde du rôle des médias dans nos démocraties. Les citoyens méritent une information libre, honnête et indépendante, loin des calculs politiciens et des pressions des élites.
Réveiller l’opinion publique
Le scandale révélé par Original Sin est une alarme mondiale. La dissimulation du déclin de Joe Biden, amplifiée par la violation des obligations médicales et la complicité des médias, n’est pas une simple anecdote : c’est un crime contre la démocratie, une trahison des électeurs et une catastrophe géopolitique. En France, comme ailleurs, l’opacité sur la santé des dirigeants et la stigmatisation des voix dissidentes renforcent ce danger. Les démocrates, l’État profond et leurs relais médiatiques ont menti, et ce mensonge a coûté cher – en vies humaines, en stabilité mondiale et en confiance publique. L’opinion publique doit se mobiliser pour exiger vérité et justice. Les responsables doivent payer, et le système qui a permis cette supercherie doit être démantelé. La vérité, quoi qu’il en coûte, doit triompher.
Laisser un commentaire