Von der Leyen roulée dans la farine par Trump (et nous avec !)

Von der Leyen roulée dans la farine par Trump (et nous avec !)

Dans un spectacle pathétique de faiblesse diplomatique, Ursula von der Leyen, la présidente non élue de la Commission européenne, a plié l’échine devant Donald Trump lors de leurs « négociations » sur les droits de douane. Ce qui était censé être une défense vigoureuse des intérêts européens s’est transformée en une reddition totale, avec l’UE acceptant des tarifs de 15% sur la plupart de ses exportations vers les États-Unis. Pendant ce temps, le Royaume-Uni, qui a eu le bon sens de quitter cette prison bureaucratique qu’est l’UE, a négocié seul un accord bien plus avantageux : seulement 10% de tarifs sur ses produits, y compris les voitures, réduits de 27,5% à ce taux modéré. Cette disparité flagrante met en lumière l’incompétence crasse des technocrates bruxellois et pose une question brûlante : à quoi sert vraiment l’Union européenne, si ce n’est à nous affaiblir ?

Les faits accablants de l’accord

Rappelons les faits, tels que rapportés par The Guardian et Reuters. Von der Leyen, après des « négociations intenses » – ou plutôt une séance de supplique – au golf de Trump en Écosse, a accepté un accord asymétrique et humiliant. L’UE paiera 15% de tarifs sur ses exportations vers les US, tandis que les produits américains entreront en Europe avec des tarifs zéro dans de nombreux secteurs.

En prime, l’Europe s’engage à déverser des centaines de milliards dans l’économie américaine : 750 milliards de dollars pour des achats d’énergie américaine, 600 milliards d’investissements supplémentaires, et même des achats massifs d’armements.

Trump, triomphant, a qualifié cela de « plus gros deal de tous les temps », pendant que von der Leyen bredouillait des platitudes sur la « stabilité » et la « prédictibilité ». Stabilité pour qui ? Certainement pas pour les industries européennes, qui vont souffrir de cette hausse des coûts, ni pour les consommateurs qui paieront la facture.

Le succès éclatant du Royaume-Uni post-BREXIT

Comparez cela à la performance du Royaume-Uni. Seul, sans le poids mort des 27 États membres et de leurs querelles internes, le Royaume-Uni a obtenu un accord en mai dernier avec Trump : 10% de tarifs sur les voitures et d’autres biens, en échange d’ouvertures mineures sur le bœuf et l’éthanol américains. Comme le note la BBC, cela crée même une division absurde en Irlande, où l’Irlande du Nord bénéficie du taux britannique de 10%, tandis que la République d’Irlande, coincée dans l’UE, subit les 15%. Voilà la « force » promise par l’UE : une Europe divisée, affaiblie, et ridiculisée sur la scène internationale. Le Royaume-Uni, libéré des chaînes de Bruxelles, prouve qu’un pays souverain peut négocier bien mieux que ce monstre bureaucratique.

Le déni de démocratie : comment l’UE nous a été imposée

Et dire que l’on nous a forcé à intégrer cette aberration ! Souvenez-vous : en France, lors du référendum de 2005 sur la Constitution européenne, 55% des Français ont voté non, exprimant un rejet clair de cette Europe supranationale.

Mais les élites, sourdes à la voix du peuple, ont ignoré ce verdict et imposé le traité de Lisbonne par la petite porte parlementaire.

On nous vendait alors l’idée que « à plusieurs, on est plus forts » ; avec aujourd’hui 27 pays, nous devrions être invincibles ! Au lieu de cela, nous voilà à genoux devant Trump, pendant que des nations isolées comme le Royaume-Uni ou le Japon (qui a aussi négocié 15%, mais avec des concessions moindres) s’en sortent mieux.

L’UE n’est qu’une illusion de puissance, un club où les petits pays freinent les grands, et où les décisions sont prises par des technocrates incompétents comme von der Leyen, non élus et déconnectés de la réalité. Déjà, le Général de Gaulle avait compris ce que deviendrait cette Europe supranationale : « Vous savez ce que ça veut dire, la supranationalité ? La domination des Américains. L’Europe supranationale, c’est l’Europe sous commandement Américain. Les Allemands, les Italiens, les Belges, les Pays-Bas sont dominés par les Américains. Il n’y a que la France en Europe qui ne soit pas dominée. Pour la dominer aussi, on s’acharne à vouloir la faire entrer dans un machin supranational aux ordres de Washington. De Gaulle ne veut pas. »

L’inutilité dangereuse de l’UE et ses conséquences

Cette « union » est non seulement inutile, mais dangereuse. Elle nous coûte des milliards en contributions nettes, impose des réglementations absurdes qui étouffent nos entreprises, et nous prive de souveraineté sur des enjeux cruciaux comme le commerce. Les négociations avec Trump en sont la preuve éclatante : au lieu d’une voix forte et unie, nous avons eu une cacophonie interne, avec la France et l’Espagne plaidant pour la fermeté, tandis que l’Allemagne et l’Italie poussaient pour un accord rapide par peur des représailles. Résultat ? Une capitulation qui profite aux États-Unis et affaiblit l’Europe. Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, l’a bien résumé : « Trump a mangé von der Leyen au petit-déjeuner ». Et il a raison – cette femme, parachutée à la tête de la Commission sans un seul vote populaire, incarne tout ce qui ne va pas dans l’UE : arrogance, incompétence, et soumission aux puissants.

Appel urgent au FREXIT : sortons de cette prison !

Il est temps d’en finir. La France doit quitter cette UE moribonde, gouvernée par des apparatchiks non élus qui nous mènent à la ruine. Reprenons notre souveraineté, négocions nos propres accords, et redevenons une nation forte et indépendante. Le Brexit a montré la voie ; le Frexit est la solution. Sinon, nous continuerons à payer pour des échecs comme celui-ci, pendant que le monde rit de notre faiblesse. Von der Leyen dehors, l’UE dehors – pour un avenir libre et prospère !

Sur RTL, le ministre de l’Industrie Marc Ferracci a révélé, sans même s’en rendre compte, pourquoi l’UE négocie évidemment moins bien ses accords commerciaux que des pays souverains…

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