Rétablissement des frontières : une nécessité pour protéger notre pays du naufrage

Rétablissement des frontières : une nécessité pour protéger notre pays du naufrage

Face à une vague migratoire incontrôlée, plusieurs pays européens, comme la Belgique et l’Allemagne, ont pris une décision radicale : rétablir les contrôles à leurs frontières. Cette mesure, autrefois impensable dans l’espace Schengen, est devenue une nécessité absolue. Sans frontières solides, nos nations risquent de sombrer dans la décadence, la pauvreté et la violence. L’idée d’un monde sans barrières a montré ses limites : il est temps d’aider les pays en difficulté chez eux, d’arrêter de déstabiliser des régions entières, et de reprendre le contrôle de notre destin. L’Union européenne, avec ses lois imposées, est un frein à cette reconquête. Quitter l’UE devient une option sérieuse, tandis que de l’autre côté de l’Atlantique, Donald Trump montre l’exemple avec une politique migratoire musclée.

Une nécessité face à la décadence et à la violence

La Belgique a annoncé en juin 2025 le renforcement des contrôles à ses frontières avec les pays voisins, ciblant les axes autoroutiers pour traquer les migrants irréguliers. L’Allemagne, dès septembre 2024, a rétabli des contrôles terrestres à toutes ses frontières pour six mois, une mesure prolongée face à la pression migratoire et à la montée des violences. Onze des vingt-sept membres de l’UE ont suivi cet exemple, de l’Autriche à la France, en réponse à une réalité brutale : l’immigration massive, mal gérée, engendre chaos et insécurité.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En France, 800.000 personnes subissent des violences physiques hors cadre domestique chaque année, souvent liées à des tensions dans des quartiers où l’immigration est concentrée. À Marseille, 44 règlements de comptes mortels en 2023 étaient liés au narcotrafic, alimenté par des réseaux transnationaux. En Belgique, Alain Destexhe, sénateur honoraire, dénonce une société « trop communautarisée » pour fonctionner, où des ghettos ethniques minent la cohésion nationale. Sur les réseaux sociaux, les Européens expriment leur ras-le-bol : « Les Allemands arrêtent des clandestins tous les jours venant de France. Pourquoi on les laisse entrer ? »

Sans frontières, les pays s’exposent à une spirale de pauvreté et de violence. Les ressources s’épuisent, les services publics s’effondrent, et les tensions communautaires explosent. La Belgique, avec sa « politique migratoire la plus dure jamais vue », et l’Allemagne, sous pression de l’extrême droite, ont compris que laisser les portes ouvertes revient à inviter le désordre. La décadence n’est pas une fatalité : elle est le fruit d’une naïveté qui a trop duré.

Aider chez eux, pas chez nous

L’idée d’accueillir tous les miséreux du monde est un mirage. Les pays européens n’ont ni les moyens ni la capacité d’absorber des millions de migrants sans se détruire. Si l’on veut aider, il faut le faire là où les problèmes naissent : dans les pays d’origine. Des programmes de développement, d’éducation et de stabilisation doivent être mis en place au Sahel, au Moyen-Orient ou en Asie centrale, pas dans nos banlieues déjà à bout de souffle. Mais pour cela, il faut arrêter de déstabiliser ces régions. Les interventions militaires occidentales en Irak, en Libye ou en Syrie ont semé le chaos, provoquant des exodes massifs. La misère et les conflits qu’elles ont engendrés poussent des populations entières vers l’Europe et les États-Unis. Il est temps de cesser ces guerres inutiles et de laisser ces pays se reconstruire.

Sur les réseaux sociaux, des voix s’élèvent : « On bombarde leurs pays, et après on s’étonne qu’ils viennent chez nous ? Arrêtons de foutre le bordel chez eux ! » Cette idée gagne du terrain : aider sur place, avec des projets concrets, est plus efficace et moins coûteux que d’importer des problèmes. La Belgique, en renforçant ses frontières, envoie un signal clair : la charité commence chez soi, et la sécurité nationale passe avant tout.

Trump : une leçon de fermeté

Aux États-Unis, Donald Trump ne fait pas dans la dentelle. Depuis son retour à la Maison-Blanche en 2025, il a imposé un « travel ban » interdisant l’entrée aux ressortissants de 12 pays, dont l’Iran, l’Afghanistan et plusieurs nations africaines, et des restrictions sur sept autres, comme le Venezuela. Officiellement, c’est pour protéger l’Amérique des « terroristes étrangers », mais le message est clair : l’immigration doit être contrôlée, et les intérêts nationaux priment. À Los Angeles, où des émeutes anti-expulsions ont éclaté en juin 2025, Trump a envoyé 700 Marines pour mater les manifestants, défiant les autorités locales démocrates. « Nous ne laisserons pas une ville américaine être envahie par des ennemis étrangers », a-t-il déclaré, comparant l’immigration illégale à une menace de guerre.

Trump va plus loin, critiquant l’Europe pour son « immigration hors de contrôle ». Dans un discours du 10 juin 2025, il a pointé du doigt le « chaos » et le « désordre » en France, en Allemagne et ailleurs, exhortant les Européens à agir « avant qu’il ne soit trop tard ». Sa politique, bien que controversée, résonne chez beaucoup : sur X, des Américains et des Européens saluent sa fermeté, disant que « l’Europe devrait prendre exemple ». Son approche – frontières fermées, expulsions massives, sanctions contre les pays laxistes – montre qu’un pays peut dire non sans culpabilité.

L’UE : une prison qui dicte et détruit

L’Union européenne est le boulet qui empêche les nations de se protéger. Ses règles imposent aux États membres d’accueillir des migrants sous peine de sanctions, tout en limitant leur capacité à contrôler leurs frontières. Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a dénoncé en juin 2025 les règles de Schengen, conçues « dans un autre monde », qui ne répondent plus aux défis actuels. Neuf pays, dont l’Italie et le Danemark, veulent affaiblir la Cour européenne des droits de l’homme, qui bloque les refoulements en invoquant des droits universels souvent détournés.

Schengen, censé garantir la libre circulation, est devenu une passoire. Onze pays ont réintroduit des contrôles, preuve que le système ne fonctionne plus. Sur X, les critiques fusent : « Schengen, c’est la libre circulation des clandestins, pas des citoyens ! » L’UE, avec sa bureaucratie bruxelloise, dicte aux nations ce qu’elles doivent faire, sapant leur souveraineté. La Belgique, en renforçant ses contrôles, défie ces règles, tout comme l’Allemagne, malgré les protestations du Luxembourg, qui craint des pertes économiques.

La solution ? Quitter l’UE. Des pays comme la Hongrie de Viktor Orban, qualifiée de « pays chrétien » par des conseillers de Trump, montrent qu’on peut résister à Bruxelles. Le Brexit, malgré ses défauts, a rendu au Royaume-Uni un contrôle partiel de ses frontières. Les Européens, lassés de voir leurs pays envahis par des migrants et leurs lois dictées par des technocrates, regardent cette option avec sérieux. Sur les réseaux sociaux, le sentiment est clair : « L’UE nous enchaîne. Sortons, reprenons nos frontières ! »

Un sursaut ou la chute

Rétablir les frontières n’est pas un caprice, c’est une question de survie. Sans contrôle, nos pays s’enfoncent dans la pauvreté, la violence et la désunion. La Belgique et l’Allemagne ont pris le taureau par les cornes, mais ce n’est qu’un début. Aider les pays pauvres doit se faire chez eux, avec des projets concrets, pas en ouvrant grand nos portes. Et il faut arrêter de déstabiliser des nations entières par des guerres ou des ingérences qui jettent des millions de gens sur les routes.

Trump, avec sa poigne de fer, montre qu’un pays peut dire stop. L’Europe, elle, est paralysée par une UE qui préfère les idéaux utopiques à la réalité. Quitter cette prison bureaucratique est la seule voie pour reprendre le contrôle. Les Français, les Belges, les Allemands veulent vivre en paix, pas dans un chaos importé. Il est temps de fermer les frontières, de taper fort sur la délinquance, et de rendre à nos nations leur fierté. Sinon, c’est la chute.

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