Chaos sécuritaire en France : délinquance explosive et échec Macronien

Chaos sécuritaire en France : délinquance explosive et échec Macronien

Dans la nuit du 18 au 19 juillet 2025, la paisible ville de Compiègne, dans l’Oise, s’est transformée en zone de guerre urbaine.

Une trentaine d’émeutiers masqués, armés de mortiers de feux d’artifice, ont assailli le commissariat local avec plus de 40 tirs, avant de piller un bureau de tabac, causant des dommages estimés à 40.000 euros.

Cet assaut, suspecté d’être une riposte à des opérations anti-drogue récentes, n’a abouti qu’à deux arrestations pour l’instant, laissant les habitants sidérés et les forces de l’ordre débordées. Le maire LR Philippe Marini clame que la ville ne « cédera pas », mais ces mots sonnent creux face à un chaos récurrent – rappelons que ce même bureau de tabac avait déjà été incendié lors des émeutes post-Nahel en 2023. Cet épisode n’est pas isolé : il illustre la dégradation alarmante de la sécurité en France, où la délinquance explose sous un gouvernement macronien impuissant, préférant les discours lénifiants aux actions concrètes. Pendant que les citoyens vivent dans la peur réelle, les élites minimisent le tout en un simple « sentiment d’insécurité » – une farce qui ne fait plus rire personne.

Une dégradation de la sécurité : des chiffres qui criant au scandale

Les statistiques officielles pour 2024 et les premières tendances de 2025 peint un tableau apocalyptique : la délinquance n’est pas en baisse, mais stabilisée sur des niveaux catastrophiques, avec des hausses ciblées qui terrorisent la population. En 2024, on dénombre 1.186 homicides (soit trois par jour), 338.980 coups et blessures volontaires, et une explosion des violences sexuelles (+7 %, dont +9 % pour les viols). Les destructions et dégradations volontaires atteignent 527.800 cas, tandis que les infractions liées aux stupéfiants bondissent, alimentant un cercle vicieux de violence. Dans des départements comme la Seine-Saint-Denis, les atteintes aux biens chutent légèrement (-6,34 %), mais c’est une maigre consolation face à une hausse des tentatives d’homicides (+7 % nationalement).

Cette « stabilisation inquiétante » masque une réalité : la France est en proie à une insécurité galopante, avec des villes comme Compiègne devenant des terrains de jeu pour bandes organisées. Les vols d’accessoires sur véhicules augmentent (+4 % en 2024), et les violences intrafamiliales sur mineurs grimpent de 11 %. Pendant ce temps, le gouvernement Macron, avec ses promesses vides, laisse les forces de l’ordre sous-équipées et les citoyens livrés à eux-mêmes. C’est l’empire du laxisme : une délinquance qui prospère sur l’impunité, transformant nos rues en far west moderne.

La farce scandaleuse d’Éric Dupond Moretti : un « sentiment d’insécurité » pour mieux nier la réalité

Ah, Éric Dupond-Moretti ! L’ancien garde des Sceaux macronien, ce ténor du barreau reconverti en ministre de la Justice, qui osait déclarer en 2020 que l’insécurité n’est qu’un « sentiment » alimenté par les médias et les chaînes d’info en continu. « Il y a de l’insécurité, certes, mais aussi un sentiment d’insécurité », pontifiait-il, accusant les critiques d’entretenir une « vision mensongère ». Pour lui, parler d’ « ensauvagement » relève des « bas instincts » et n’est qu’un fantasme populiste. Quelle ironie ! Pendant que des émeutiers pillent et attaquent les commissariats, Dupond-Moretti minimise, comme si les balles de mortiers étaient imaginaires et les boutiques saccagées un simple mirage médiatique. En 2025, il ose encore accuser les médias d’avoir « tronqué » ses propos – pauvre victime d’une presse malveillante ! Non, monsieur l’ex Ministre, ce n’est pas un « sentiment » : c’est une réalité sanglante que vos politiques laxistes ont amplifiée. Votre déni est une insulte aux victimes, un sketch comique si ce n’était pas tragique. Comme le raille Gérard Larcher : « L’insécurité n’est pas un sentiment, mais une réalité ». Bravo pour cette perle macronienne, qui résume l’aveuglement élitiste face au chaos quotidien.

La délinquance des mineurs : une bombe à retardement exponentielle

Au cœur de cette dérive, la délinquance juvénile explose en violence, même si les chiffres officiels – souvent truqués ou manipulés selon le criminologue Xavier Raufer – montrent une baisse quantitative globale. En 2024, les mineurs représentent 18 % des mis en cause pour infractions pénales, un chiffre en hausse constante comme le constate Raufer qui dénonce des « corrections aux contours mystérieux » dans les données du ministère de l’Intérieur, comme au premier semestre 2024 où 23 % des jours étaient manquants en raison d’un prétendu « problème informatique ».
Les actes graves s’envolent : selon Raufer, les homicides et tentatives ont atteint 5.067 cas de juillet 2023 à juin 2024 (+28 % en quatre ans), les coups et blessures volontaires hors famille pour les plus de 15 ans ont grimpé à 142.700 en juillet 2023 (+15 % en quatre ans, soit 391 victimes par jour), et les vols avec armes ont augmenté de 6 % à 9.053 cas sur la même période. La prostitution de mineurs a doublé depuis 2016 pour atteindre environ 10.000 cas officiels en 2023 (estimations jusqu’à 20.000), touchant majoritairement des filles de 12-14 ans fugueuses (84 %), souvent piégées par le trafic de drogue. Les violences sur mineurs intrafamiliales augmentent de 11 %, et 19 % des trafiquants de stupéfiants sont des mineurs, avec plus de 60 % des victimes et auteurs de violence liée à la drogue ayant moins de 25 ans, comme le souligne Raufer dans ses analyses sur le narcotrafic. Causes ?
Un mélange toxique : bandes organisées, trafic de drogue, rajeunissement des délinquants (deux fois plus d’ados impliqués dans coups et blessures, sept fois plus dans vols violents). Près de neuf Français sur dix perçoivent une hausse, et ils ont raison : la part des mineurs dans les mis en cause baisse (de 17 % à 12 % depuis 2016), mais la gravité des actes grimpe en flèche, transformant nos quartiers en poudrières. L’attaque de Compiègne, où 41 % des arrestations impliquent des mineurs presque tous liés au trafic de drogue, en est l’illustration parfaite – une génération perdue dans le laxisme éducatif et judiciaire.

Des solutions urgentes : apprendre de la France et de l’étranger pour sortir du marasme

Face à ce fiasco, des solutions existent, mais le gouvernement les ignore superbement. En France, la réforme de la justice des mineurs (ordonnance de 1945 modifiée en 2021) privilégie l’éducatif : sanctions éducatives, centres éducatifs fermés (CEF), probation, et obligation de formation pour sortir de la délinquance. Des propositions comme démanteler les réseaux de trafic, supprimer l’hébergement hôtelier pour délinquants mineurs, et développer des réponses agiles (prise en charge socio-éducative pour mineurs isolés) pourraient inverser la tendance.

La prison reste un dernier recours, mais pour les récidivistes violents, elle doit être plus accessible, avec un âge de responsabilité pénale fondé sur le discernement plutôt que l’âge fixe.

À l’étranger, des modèles inspirants : En Europe, l’accent est sur la réinsertion via des dispositifs comme la surveillance sous probation ou les établissements fermés, avec un focus sur l’intérêt de l’enfant (Conseil de l’Europe). Aux États-Unis ou au Royaume-Uni, des approches mixtes combinent répression (peines minimales pour actes graves) et prévention (programmes communautaires contre les bandes). La France pourrait adopter 60 propositions locales pour prévenir : renforcer les conseils locaux de sécurité, impliquer les familles, et investir dans l’éducation professionnelle pour briser le cycle. Mais tant que le macronisme persiste dans son déni, ces solutions resteront lettre morte. Il est temps d’agir : réprimer les coupables, protéger les innocents, et balayer les illusions d’un « sentiment » qui n’existe que dans les salons parisiens.

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