Cinq ans après le début de la pandémie de COVID-19, un voile se lève sur l’une des plus grandes erreurs collectives de l’histoire moderne : la politique vaccinale imposée par les gouvernements occidentaux.
Inspirée par des lobbies pharmaceutiques omnipotents et une presse complice, cette stratégie de vaccination de masse à ARNm a non seulement échoué à éradiquer le virus, mais a potentiellement semé les graines de maladies graves, comme le suggère une étude sud-coréenne récente.
Publiée en octobre 2025 dans Biomarker Research, cette recherche sur plus de 8 millions de personnes à Séoul révèle une augmentation significative des risques de cancers thyroïdiens, gastriques, colorectaux, pulmonaires, du sein et de la prostate un an après vaccination. Alors que nombres de publications alertent sur ces « preuves irréfutables » de dangers cachés, il est temps de dénoncer cette folie : une politique débile, motivée par la cupidité et la corruption, qui a sacrifié la souveraineté des peuples au profit de Big Pharma. Et si certains pays, refusant cette voie, s’en sont mieux sortis ? C’est l’heure de la vérité, avant que les vaccins ne deviennent le scandale du siècle.
Une étude sud-coréenne qui frappe comme un marteau : les cancers post-vaccinaux
L’étude de Kim et al., intitulée « 1-year risks of cancers associated with COVID-19 vaccination : a large population-based cohort study in South Korea » , n’est pas une simple note de bas de page. Basée sur des données de l’assurance santé nationale coréenne couvrant 8,4 millions d’individus entre 2021 et 2023, elle utilise des modèles de Cox proportionnels pour évaluer les risques cumulatifs de cancers un an après vaccination. Après appariement par score de propension (1:4), les chercheurs ont analysé 595.007 vaccinés contre 2.380.028 non vaccinés.
Les résultats sont accablants : les ratios de risque (HR) montrent une élévation significative pour six types de cancers. Thyroïde : HR 1,35 (IC 95% : 1,21-1,51) ; gastrique : 1,34 (1,13-1,58) ; colorectal : 1,28 (1,12-1,47) ; poumon : 1,53 (1,25-1,87) ; sein : 1,20 (1,07-1,34) ; prostate : 1,69 (1,35-2,11). Les vaccins à ARNm sont liés aux risques accrus de thyroïde, colorectal, poumon et sein ; les vaccins à ADN codant (comme AstraZeneca) à thyroïde, gastrique, colorectal, poumon et prostate. Chez les hommes, gastrique et poumon ; chez les femmes, thyroïde et colorectal. Les plus jeunes (<65 ans) sont vulnérables au thyroïde et au sein, les plus âgés (>75 ans) à la prostate. Les rappels aggravent les risques gastriques et pancréatiques.
Bien que l’étude note des limitations – comme un biais de surveillance (les vaccinés consultent plus) – et appelle à plus de recherches, elle contredit le narratif officiel d’une vaccination « sûre et efficace » . Des critiques, comme Al Jazeera, soulignent que les auteurs n’établissent pas de causalité, mais l’association épidémiologique est trop forte pour être ignorée. Ce n’est pas une « fake news » : c’est une alerte scientifique relayée par des milliers d’internautes, tandis que les médias mainstream l’ignorent.
Cette étude n’est que la pointe de l’iceberg. Des signaux similaires émergent : myocardites, thromboses, troubles neurologiques.
Mais la politique vaccinale, imposée sans débat, a balayé ces signaux sous le tapis.
Une politique complètement débile : confinements inutiles et vaccins imposés
De 2020 à 2023, l’Occident a suivi une stratégie absurde : confinements draconiens, masques obligatoires, passeports vaccinaux, et une campagne de vaccination massive sans alternatives. Résultat ? Des millions de vies brisées, des économies en ruines, et un virus qui mute librement. La Suède, refusant les confinements stricts, a opté pour des recommandations volontaires : écoles ouvertes, restaurants fonctionnels, confiance dans les citoyens. Résultat : une mortalité excédentaire comparable à ses voisins nordiques (Norvège, Danemark, Finlande) sur la période 2020-2022, mais avec moins de dommages collatéraux – suicides en hausse de 20% en Europe due aux confinements, contre stabilité en Suède.
La Floride, sous DeSantis, a rejeté les masques et confinement : taux de mortalité par habitant inférieur à la moyenne américaine, économie préservée. La Corée du Sud, sans confinement mais avec traçage massif, a confiné le virus tôt. Ces exemples prouvent : la coercition n’était pas nécessaire.
Les pays « hérétiques » s’en sont mieux sortis, avec moins de traumas psychologiques (dépression +30% en France post-confinements) et une résilience économique supérieure.
Au lieu de cela, la France et l’Europe ont imposé une vaccination obligatoire déguisée, via le pass sanitaire. Une débilité : ignorer l’immunité naturelle, sous-estimer les variants, et forcer un produit expérimental sur des milliards. Comme l’écrivent de nombreux observateurs : « Les responsables directs des MILLIONS de morts, d’invalidités et de blessures causées par les programmes de vaccination de masse à ARNm seront finalement poursuivis en justice. Face à l’accumulation des preuves, des tribunaux de Nuremberg 2.0 sont inévitables. » Hyperbole ? Peut-être, mais les preuves s’accumulent.
Big pharma : la puissance occulte qui a corrompu les états
Derrière cette folie, Big Pharma tire les ficelles. Pfizer, Moderna, AstraZeneca : des profits records – 100 milliards de dollars en 2021-2022 pour Pfizer seul. Comment ? Par un lobbying vorace. Aux USA, 227 millions dépensés en 2025 pour influencer le Congrès. En Europe, l’EFPIA (lobby pharma) a bloqué la levée des brevets pour les vaccins, via des menaces d’investissement réduit (voir ici et ici). Ursula von der Leyen, avec ses casseroles (Pfizergate : contrats opaques à 35 milliards via SMS), incarne cette porosité.
La corruption est systémique : dons aux campagnes, revolving doors (ex-regulateurs chez Pfizer). Le PREP Act américain immunise les labos contre les poursuites, sauf « faute intentionnelle » . En Europe, l’EMA est inféodée : 40 millions d’euros de lobbying en 2015 pour assouplir les règles. Résultat : vaccins imposés sans alternatives (hydroxychloroquine bannie), malgré des études montrant leur efficacité précoce. Big Pharma n’a pas sauvé le monde ; elle l’a saigné.
La presse complice : même The Lancet au service du mensonge
La presse, censée veiller, a collaboré. The Lancet , fleuron scientifique, a publié en 2020 une étude frauduleuse sur l’hydroxychloroquine (financée par Surgisphere, données falsifiées), discréditant un traitement abordable pour favoriser les vaccins. Retractée, elle a semé le doute. Pendant la pandémie, The Lancet a minimisé les effets secondaires, publiant des éditos pro-vaccins financés par Bill Gates (qui détient des parts chez Pfizer).
Les médias mainstream (BBC, CNN, et quasiment tous les médias français) ont relayé des fake news : « vaccins 100% efficaces » (alors que le variant Delta les contourne). Censure sur X et YouTube : publications sur les myocardites supprimés. Comme le note @Beatrice_Rosen : « Une info que vous ne verrez développé sur aucun média français labellisé. » Cette collusion a étouffé le débat, favorisant l’hystérie vaccinale.
Effacer les preuves : une stratégie pour éviter les procès
Pour esquiver les tribunaux, Big Pharma et les États effacent les traces. Le PREP Act protège jusqu’en 2024 ; le CICP (programme de compensation) est un « trou noir » : moins de 10% des réclamations payés, sans recours judiciaire. Données VAERS (système officiel américain de pharmacovigilance pour les vaccins) sous-rapportées ; études critiques retractées (comme celle de The Lancet sur les autopsies post-vaccinales).
En 2025, des plaintes émergent, très peu en France ; en revanche, elles sont très nombreuses aux États-Unis : au Kansas, contre Pfizer pour « mensonges » sur la myocardite. Les dangers persistent : cancers turbo (comme en Corée), infertilité suspectée, troubles auto-immuns. Cacher cela ? Une lâcheté criminelle.
La procédure normale : violée pour le COVID
Un vaccin classique suit un processus rigoureux : phases 1-3 (sécurité, efficacité, sur 10-50 000 personnes, 5-10 ans), puis BLA (biologic license application) pour approbation pleine. Le COVID ? EUA : 2 mois de suivi, pas d’approbation complète initiale. Pfizer a eu son EUA en décembre 2020, pleine approbation en août 2021 – après 6 mois, contre 10 ans habituels.
Même la langue française est modifiée :
Autrefois, le mot « vaccin » avait un sens clair et fort. Dans le Larousse médical de 1980, on lisait : « Vaccin : préparation d’un virus ou d’un microbe atténué ou inactivé, introduit dans l’organisme pour produire l’immunité contre la maladie correspondante. »
Autrement dit : une fois vacciné, on ne tombait plus malade, on ne transmettait plus le virus. C’était l’immunité stérile, la promesse absolue des vaccins qui ont vaincu la variole et presque éradiqué la polio.
Puis vint le COVID est arrivé.
Les injections à ARNm et à vecteur viral n’empêchaient ni l’infection ni la contagion : les « infections chez les vaccinés » sont devenues la norme, pas l’exception. Pour ne pas avoir à reconnaître l’échec de la promesse initiale, il a suffi de… changer la définition même du mot vaccin.
En septembre 2021, le dictionnaire américain Merriam-Webster a modifié sa définition en ligne :
– avant → « produit qui confère une immunité »
– après → « produit qui stimule une réponse immunitaire »
Le CDC a fait exactement la même chose quelques jours plus tard : le mot « immunité » a été remplacé par « protection ».
En clair : on a vidé le mot « vaccin » de sa signification historique – empêcher la maladie – pour le réduire à un simple « coup de pouce immunitaire », histoire de pouvoir continuer à dire que ça « marche » même quand les doubles, triples, quadruples doses n’empêchent ni d’être contaminé ni de contaminer les autres.
C’est la plus grande escroquerie sémantique de l’histoire de la médecine : en quelques clics, on a fait disparaître deux siècles de définition pour sauver la face d’une campagne vaccinale qui n’a jamais tenu parole.
Vers une justice ? Nuremberg 2.0 et la souveraineté retrouvée
Des « Nuremberg 2.0 » se profilent : plaintes en Allemagne contre BioNTech, aux USA contre Pfizer. Les vaccins ARNm, non des « vaccins » traditionnels, ont été imposés sans consentement éclairé. Les dangers actuels – cancers, cœurs abîmés – exigent reconnaissance et indemnisations.
Et pourtant, la mécanique du mensonge ne s’est pas arrêtée.
L’ingénierie sociale de manipulation massive qui a été rodée avec le COVID, cette même machine à fabriquer la peur 24 h/24, à diaboliser toute voix dissidente, à imposer une pensée unique par la censure, la culpabilisation et la coercition, est aujourd’hui recyclée à plein régime pour nous précipiter dans une guerre mondiale.
Le scénario est identique :
- Création d’un « ennemi absolu » (hier le « virus mortel », aujourd’hui « Poutine le nouveau Hitler »).
- Saturation médiatique avec des images choc, des chiffres sortis de leur contexte, des experts auto-proclamés qui répètent tous le même récit.
- Réduction au silence des contradicteurs (hier les médecins « antivax », aujourd’hui les « agents russes ou « complotistes pro-Poutine »).
- Appel à l’« unité sacrée » pour justifier des sacrifices toujours plus grands (hier le passe sanitaire, aujourd’hui les 2 % du PIB pour l’OTAN, les chars en Ukraine, demain peut-être la conscription).
- Promesses de « victoire rapide » (on nous avait déjà vendu ça en 1914 : résultat, 4 ans de guerre et 18,6 millions de morts) et de « retour à la normale » une fois l’ennemi écrasé… promesses que l’on sait déjà intenables.
Aujourd’hui c’est la Russie que l’on déshumanise à outrance pour justifier l’envoi de centaines de milliards d’euros et de dollars en armes, la hausse vertigineuse des budgets militaires, et le risque réel d’un conflit nucléaire. Demain, si demain il y a, ce sera la Chine, accusée de tous les maux (Taïwan, espionnage, pandémie suivante, réchauffement climatique, etc.). Après la Chine ? L’Iran ? L’Inde ? Ou simplement les peuples récalcitrants de l’intérieur qui refuseront la prochaine « union sacrée » ?
Le même logiciel psychologique, les mêmes agences de communication, les mêmes think-tanks financés par les mêmes complexes militaro-industriels et pharmaceutiques tournent à plein régime.
Le COVID a été le laboratoire grandeur nature de la soumission des masses ; la guerre qui vient en est l’application industrielle.
Refuser cette spirale infernale commence par un seul acte : dire NON, comme certains pays l’ont fait face à la vaccination forcée, comme des millions de citoyens le font déjà face à la propagande guerrière. La souveraineté des peuples, la paix entre nations, le refus de se laisser manipuler : voilà l’unique antidote à cette folie qui, après nous avoir empoisonnés avec des injections expérimentales, veut maintenant nous envoyer nous entretuer pour les profits des mêmes marchands de mort.
Le temps de l’impunité est révolu… et le temps de la résistance souveraine commence.


Laisser un commentaire