Un nouveau scandale éclabousse les États-Unis, et cette fois, c’est Kamala Harris qui se retrouve sous les feux des critiques. Selon des révélations récentes, l’ancienne vice-présidente aurait remis un chèque faramineux de 7 milliards de dollars à une obscure fondation baptisée Climate United Fund, censée lutter contre le changement climatique. Petit hic : cette entité, basée à Bethesda, Maryland, n’existait pas cinq mois avant de recevoir ce pactole. Incorporée au Delaware le 30 novembre 2023, elle aurait décroché la plus grosse subvention à but non lucratif de l’histoire américaine sans même avoir eu le temps de poser une plaque sur sa porte. Alors, erreur monumentale ou magouille bien huilée ? Plongeons dans ce bourbier financier qui sent bon l’idéologie verte et l’argent facile.
Une fondation fantôme pour un jackpot bien réel
Les faits sont têtus : sous l’administration Biden, près de 20 milliards de dollars auraient été injectés dans des groupes environnementaux fraîchement créés, selon des sources comme le New York Post. Parmi eux, Climate United Fund se taille la part du lion avec ces 7 milliards, remis en grande pompe par Kamala Harris herself, épaulée par Michael Regan, patron de l’Agence de protection de l’environnement (EPA). Mais où est passée la transparence ? Cette fondation, qui n’apparaît dans aucun registre public notable avant fin 2023, semble être sortie de nulle part pour encaisser un chèque qui ferait saliver n’importe quel entrepreneur. Pas de site web officiel, pas d’historique, pas de projets concrets dévoilés au moment de l’attribution. On nous parle de « résilience climatique » et d’ »énergies propres », mais pour l’instant, le seul vert qu’on voit, c’est celui des billets.
Les défenseurs de cette opération jurent que c’est un investissement d’avenir, une réponse urgente à la « crise climatique ». Mais quand une organisation aussi jeune et opaque décroche un tel magot sans passer par les fourches caudines d’un contrôle rigoureux, les soupçons s’installent. S’agit-il d’un coup de poker pour arroser des alliés politiques sous couvert d’écologie, ou juste d’une incompétence crasse ? Les contribuables américains, eux, ont le droit de se poser la question : où va leur argent ?
Les « réchauffistes » dans le viseur : une hystérie qui coûte cher
Ce scandale met surtout en lumière les dérives d’une mouvance qu’on pourrait appeler les « réchauffistes » – ces apôtres du climat qui brandissent la fin du monde comme un étendard pour justifier des dépenses astronomiques. Leurs arguments ? La planète brûle, les océans montent, et chaque dollar non dépensé aujourd’hui nous condamne demain. Mais à y regarder de plus près, leur discours sent la panique fabriquée et les calculs douteux.
Prenons leur obsession pour le CO². Oui, les émissions augmentent, mais les prédictions apocalyptiques des modèles climatiques se sont souvent révélées exagérées. Les ouragans ne sont pas plus fréquents qu’il y a un siècle, les températures extrêmes ne tuent pas plus qu’avant – merci la climatisation et les infrastructures modernes. Pourtant, les réchauffistes insistent : il faut « décarboner » à tout prix, même si ça signifie engloutir des milliards dans des projets flous ou des technologies pas encore au point, comme les éoliennes qui massacrent les oiseaux ou les panneaux solaires fabriqués en Chine avec du charbon. Et quand on leur demande des preuves tangibles que ces 7 milliards vont « sauver la planète », on n’obtient que des slogans : « agir maintenant ou jamais ». Facile à dire quand ce n’est pas leur portefeuille qui trinque.
Leur autre cheval de bataille, c’est l’urgence. Mais cette urgence ressemble à une excuse bien pratique pour court-circuiter toute vérification. Pourquoi donner 7 milliards à une fondation sans passé ni bilan, sinon parce que « le temps presse » ? C’est le même refrain qu’on entend depuis des décennies : en 1989, l’ONU prédisait la submersion des côtes d’ici 2000 ; en 2006, Al Gore jurait que la calotte glaciaire fondrait avant 2013. On est en 2025, et devinez quoi ? Les plages sont toujours là, et les ours polaires aussi. Peut-être qu’avant de vider les caisses publiques, il serait temps de demander des comptes aux prophètes de malheur.
Un système qui pue la politicaillerie
Ce scandale, c’est aussi la chronique d’un système où l’idéologie prime sur la raison. Sous Biden, l’agenda climatique a été poussé à coups de milliards, souvent au profit d’organisations proches du pouvoir démocrate. Climate United Fund n’est pas un cas isolé : des dizaines de groupes similaires ont vu le jour ces dernières années, dopés par des fonds fédéraux. Coïncidence ? Peu probable. Quand Kamala Harris, figure de proue d’un parti qui se drape dans la vertu écologique, distribue des chèques géants sans sourciller, on est en droit de se demander si l’objectif est vraiment de « sauver la planète » ou de récompenser des copains.
Et pendant ce temps, les Américains lambda galèrent avec une inflation galopante et des factures d’énergie qui grimpent. Ces 7 milliards auraient pu financer des hôpitaux, des routes, ou même – soyons fous – réduire les impôts. Mais non, ils sont partis dans un puits sans fond, au nom d’une cause que beaucoup commencent à voir comme une vache à lait pour les initiés.
Conclusion : l’heure des comptes
Le scandale du Climate United Fund n’est pas qu’une histoire de gros sous mal placés. C’est un symptôme d’une époque où la peur du climat sert de prétexte à des abus de pouvoir et à une gabegie financière. Les réchauffistes peuvent bien agiter leurs graphiques et leurs larmes de crocodile, mais les faits sont là : 7 milliards de dollars ont été balancés à une entité quasi-fantôme, et personne ne sait encore ce qu’ils vont devenir. Si c’est ça, l’avenir vert qu’on nous promet, il ressemble surtout à une arnaque bien ficelée. Il est grand temps que les citoyens exigent des réponses – et que les responsables rendent des comptes.
Membre d’associations à conseil scientifique, Philippe Hansen a décidé de prendre la parole sur TVL à contre courant de personnes climato-réalistes, rapidement présentées comme « climatologies-sceptiques ». Il développe un point de vue particulier basé sur la défense du nucléaire français et la mise en place d’un dispositif « sortir du pétrole », des énergies fossiles. Voix discordante à qui l’on reproche une vision sans réalisme ou catastrophiste, Philippe Hansen n’élude aucune question comme le rôle du GIEC, le changement climatique comme nouvelle religion, le fiasco de l’éolien . TVL lui donne la parole. A vous de juger et de commenter .
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