L’UE sur le sentier de la guerre : un schéma terrifiant qui rappelle la montée insidieuse du nazisme

L’UE sur le sentier de la guerre : un schéma terrifiant qui rappelle la montée insidieuse du nazisme

La confession choc d’un insider européen

Dans les couloirs feutrés de Bruxelles, où se tissent les toiles d’une intégration européenne toujours plus intrusive, un historien proche des réseaux d’influence de l’Union européenne vient de lâcher une bombe qui devrait faire trembler chaque citoyen du continent. Sylvain Kahn, professeur à Sciences Po et fin connaisseur des arcanes bruxellois, a avoué sans ambages dans une interview récente que

la marche forcée vers une armée européenne et un État européen supranational passe inévitablement par… la guerre

Oui, vous avez bien lu : la guerre, non pas comme une menace à éviter, mais comme un outil nécessaire pour forger cette entité tentaculaire qui effacera les nations souveraines. Et l’ennemi désigné ? La Russie, bien sûr, diabolisée à outrance pour justifier cette escalade funeste. L’heure est grave, mes amis – gravissime, même. Si nous laissons faire ces élites déconnectées, obsédées par leur rêve impérialiste, nous courons droit vers un conflit majeur qui pourrait engloutir l’Europe dans les flammes d’une nouvelle guerre mondiale. C’est un cri d’alarme que je lance ici : réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard !

L’accélération folle vers l’armée européenne

Imaginez : en moins de dix ans, l’UE a opéré une mutation radicale en matière de défense, créant une agence européenne dédiée, un fonds pour armer l’Ukraine en détournant des budgets initialement prévus pour d’autres usages, et même en s’endettant à hauteur de 150 milliards d’euros pour financer le réarmement des États membres. Un commissaire européen à la défense a été nommé pour la première fois, et un marché intérieur de l’armement est en train de voir le jour. Ces avancées, qualifiées d’ « incrémentales » par Kahn, sont conçues pour s’enchaîner inexorablement, comme une machine infernale que rien n’arrête une fois lancée. C’est la Commission européenne, cette institution supranationale aux pouvoirs croissants, qui tire les ficelles. Et pour quoi ? Pour bâtir un État européen, pardi ! Kahn le dit sans détour :

« La séquence que nous vivons, j’en suis persuadé, va déboucher sur la création d’un État européen sans que les acteurs gouvernementaux en aient forcément conscience. »

Et il cite le sociologue Charles Tilly : « La guerre a fait l’État et l’État a fait la guerre. » Traduction : sans guerre, pas d’État européen. C’est glaçant.

Les avertissements multipliés et orchestrés

Cette confession n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans un contexte où les avertissements se multiplient. Le journaliste qui a réalisé cette interview, un habitué des affaires européennes, a lui-même relayé sur les réseaux sociaux un message alarmant :

« La guerre qui aurait dû mobiliser la jeunesse, ce n’est pas celle de Gaza dont les enjeux de sécurité sont nuls pour l’Europe, c’est celle qui ravage l’Ukraine, car elle risque d’être mobilisée sur le front de l’Est d’ici 2030. En effet, la guerre avec la Russie est désormais considérée comme quasi-certaine. »

Mobilisée sur le front de l’Est ? Nos jeunes, chair à canon pour un conflit artificiellement gonflé ? C’est inacceptable ! La Commission européenne elle-même juge probable une guerre d’ici 2030, et des hauts gradés français, comme le chef d’état-major des armées et celui de l’armée de terre, ont récemment multiplié les déclarations tonitruantes sur la « menace russe » imminente, dans les 3 ou 4 ans à venir. Un général bien connu des plateaux télé, Vincent Desportes, a enfoncé le clou sur une grande chaîne nationale : « Menace russe en Europe, la France doit se réveiller, elle est en danger. » Tout cela sent l’orchestration, une campagne de peur savamment dosée pour nous pousser dans les bras d’une UE belliqueuse.

Le parallèle inquiétant avec la gestion du covid

Mais arrêtons-nous un instant sur cette comparaison effarante avec le Covid, que Kahn lui-même évoque pour justifier cette accélération. Lors de la pandémie, l’UE n’avait aucune compétence en matière de santé – et pourtant, elle a pris le contrôle, achetant des milliards de doses de vaccins, imposant des règles uniformes, au mépris des souverainetés nationales.

« Quand le Covid est apparu, l’Union n’avait pas le temps et pas de compétences dans ce domaine et pourtant les décisions ont été prises très rapidement. C’est pareil avec la défense. Le tempo s’accélère. »

C’est un aveu : l’UE profite des crises pour étendre son emprise, comme un virus qui mute et se propage. Hier, la santé ; aujourd’hui, la défense. Demain, quoi ? Un État totalitaire où les nations ne sont plus que des provinces administratives ?

La guerre comme fondement de l’état européen

Et pour couronner le tout, Kahn plaide pour une « puissance publique européenne » qui passerait commande d’armes, fusionnant les industries nationales en un monstre continental. La France, deuxième exportateur mondial d’armes, verrait son industrie pillée au profit d’un conglomérat dominé par les Allemands et les bureaucrates de Bruxelles. Finie la concurrence ; place à la centralisation forcée !

Vers une industrie d’armement continentale et centralisée

Kahn le dit :

« L’enjeu aujourd’hui est donc de créer une commande publique européenne afin de pousser à des investissements de long terme et bien sûr à des regroupements industriel. Cela implique de créer une puissance publique européenne… Une puissance publique européenne, c’est un état qui passera commande. »

Cette mission pourrait être confiée à la Commission européenne, à l’Agence européenne de défense ou à une coalition d’État. Au regard de l’histoire, la forme n’a pas d’importance. Déjà, la puissance industrielle est là puisque sur les 25 premiers exportateurs mondiaux d’armes, on compte 10 pays européens qui pour l’instant se font concurrence sur les marchés extérieurs, on doit mettre fin à cette fragmentation pour pouvoir réarmer l’Europe.

L’analogie terrifiante avec la montée du nazisme

Cette montée en puissance de l’UE vers la guerre évoque irrésistiblement la montée du parti nazi en Allemagne dans les années 1930, qui a débouché sur la Seconde Guerre mondiale – le conflit le plus destructeur de l’histoire humaine, avec ses dizaines de millions de morts, ses villes rasées, ses horreurs innommables. À l’époque, l’Allemagne, ravagée par la crise économique de 1929, le chômage de masse et l’humiliation du Traité de Versailles, a vu émerger un régime démagogue qui promettait la grandeur retrouvée. Hitler et ses sbires ont surfé sur la misère sociale, accusant un ennemi extérieur – les Juifs, les communistes, les voisins – de tous les maux. Les médias, complaisants ou collaborationnistes, ont relayé la propagande sans broncher, diabolisant à outrance pour justifier le réarmement massif et l’expansionnisme.

Et le peuple ? Il a fermé les yeux, occupé par son quotidien précaire, laissant les « grandes gueules » du régime s’exprimer à sa place et avancer leurs pions funestes.

Pourquoi a-t-on laissé faire Hitler ? les leçons pour aujourd’hui

Aujourd’hui, l’analogie est frappante – et terrifiante. L’Europe post-Covid ploie sous une crise économique et sociale persistante : inflation galopante, dette abyssale, inégalités croissantes, précarité énergétique due à des sanctions mal pensées contre la Russie. Les élites européennes, comme les nazis jadis, usent d’un discours démagogue :

« L’Europe unie pour la paix et la prospérité ! » Mais derrière ce vernis, c’est l’impérialisme qui pointe.

La Russie est l’ennemi parfait, dépeinte comme une menace existentielle, un ogre prêt à envahir l’Europe entière. Kahn l’admet : une partie des Européens, dont les Français, « ne sont pas conscients de la menace russe. » Mais quelle menace, au juste ?

La Russie n’a aucune intention d’attaquer l’OTAN ; c’est une fable pour justifier l’escalade.

Comme les nazis diabolisaient les Juifs pour unifier le peuple dans la haine, l’UE diabolise Poutine pour unifier les nations dans la peur. Les médias mainstream, collaborationnistes avec ce narratif, bombardent les citoyens de propagande : articles alarmistes, reportages biaisés, experts autoproclamés qui répètent en boucle la « menace russe ». Et le peuple ? Il ferme les yeux, scrollant sur ses réseaux sociaux, occupé par ses factures et son job précaire, laissant les bureaucrates de Bruxelles et les généraux de plateau télé décider de son destin.

Quand j’étais petit, je posais souvent cette question à mes aînés : pourquoi a-t-on laissé faire Hitler ? Pourquoi n’a-t-on pas empêché cet impérialisme ravageur avant qu’il ne soit trop tard ? Les réponses étaient évasives, embarrassées – « c’était compliqué », « personne n’imaginait l’horreur ». Aujourd’hui, je sais. C’était une crise économique et sociale qui a aveuglé les masses, des médias complaisants qui ont normalisé la folie, un discours démagogue qui flattait les peurs, et surtout une diabolisation outrancière d’un ennemi pour masquer les vraies ambitions. Mais le pire, c’est la bêtise collective d’un peuple qui ferme les yeux ou regarde ailleurs, laissant les « grandes gueules » – politiciens, experts, journalistes – s’exprimer à sa place et avancer leurs agendas destructeurs. Il y a donc une véritable responsabilité du peuple ! Oui, nous sommes coupables si nous laissons faire.

En 1930, les Allemands ordinaires ont élu les nazis ; en 2025, les Européens ordinaires laissent l’UE nous entraîner vers l’abîme sans broncher.

L’Histoire se répète-t-elle ? Si nous ne réagissons pas, oui – et avec des armes nucléaires cette fois.

Les parallèles historiques approfondis

Poussons l’analogie plus loin. Le réarmement nazi a commencé discrètement : violation du Traité de Versailles, remilitarisation de la Rhénanie en 1936, Anschluss en 1938. À chaque étape, les puissances européennes ont cédé, espérant apaiser le monstre. Aujourd’hui, l’UE viole ses propres traités en s’arrogeant des compétences en défense qu’elle n’avait pas, empruntant des milliards sans mandat clair, créant des fonds détournés pour armer l’Ukraine. Et comme les nazis ont unifié l’industrie allemande sous contrôle étatique pour produire tanks et avions, l’UE veut une « commande publique européenne » pour fusionner nos industries d’armement. Finie la souveraineté française ; place à un cartel continental où les décisions se prennent à Bruxelles, loin des peuples. Kahn le dit : « On doit mettre fin à cette fragmentation pour pouvoir réarmer l’Europe. » Fragmentation ? C’est le mot code pour « nations indépendantes ». Et l’ennemi ? Hier, la Pologne ou la Tchécoslovaquie ; aujourd’hui, la Russie, accusée de tous les maux pour justifier l’expansion de l’OTAN et de l’UE vers l’Est.

La vraie menace : l’UE elle-même et le mythe russe

Mais attention : il n’y a pas de menace russe réelle en France ou en Europe occidentale. C’est un mensonge éhonté ! La Russie défend ses intérêts en Ukraine, un conflit régional gonflé en guerre existentielle par des faucons atlantistes et européistes. La vraie menace, c’est l’UE elle-même – ce mastodonte totalitaire qui érode nos libertés, impose des sanctions qui nous ruinent (regardez les prix de l’énergie !), et nous pousse vers un conflit pour réaliser son rêve d’État supranational.

Comme les nazis ont promis la « Grande Allemagne », l’UE promet la « Grande Europe »

mais à quel prix ? Des millions de vies ? Des villes en ruines ? Une génération sacrifiée sur le « front de l’Est » ? Et n’oublions pas le rôle des États-Unis : avec Trump de retour, l’Amérique se désengage tout en s’enrichissant de nos erreurs, laissant l’Europe seule face à ses démons. Mais au lieu de chercher la paix, l’UE accélère vers la confrontation, profitant du vide pour consolider son pouvoir.

La responsabilité collective et l’urgence d’agir

Cette irresponsabilité collective est criminelle. Les peuples portent une part de blame : absorbés par leur « petit quotidien » – Netflix, courses, boulot – ils ignorent les signaux d’alarme. Les sondages montrent que beaucoup de Français sous-estiment la « menace russe », mais c’est parce qu’ils sentent intuitivement le mensonge. Pourtant, ils ne bougent pas ! Comme en 1933, quand les Allemands ont voté pour Hitler par lassitude, nous risquons de laisser les élites nous entraîner dans l’horreur par apathie. Kahn l’admet : les gouvernements eux-mêmes n’ont pas conscience de ce qu’ils créent. Mais nous, nous savons maintenant. Partagez, informez, résistez ! Si nous laissons faire, 2030 sera l’année zéro d’une nouvelle apocalypse.

Un appel urgent à la Résistance et à la Paix

En conclusion, cet aveu de Kahn n’est pas anodin : c’est le révélateur d’un plan machiavélique où la guerre sert de catalyseur à un État européen totalitaire. Comme la montée nazie a mené à la Shoah et aux bombes sur l’Europe, cette escalade pourrait déboucher sur un conflit nucléaire. L’heure est grave – non, elle est désespérée si nous ne réagissons pas. Sortons de cette torpeur ! Refusons la diabolisation, exigeons la paix, protégeons nos nations.

Sinon, l’histoire nous jugera comme elle a jugé ceux qui ont laissé faire Hitler : coupables d’aveuglement fatal.

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